Un rêve incomplet

2 minutes de lecture

Je suis chez moi, dans ma salle de bain en train de me brosser les cheveux. J'entends le bruit de la sonnette. Je grommelle, pose ma brosse et vais répondre à l'appel. J'appuie sur le bouton du son, sans faire attention au visage de cette personne.

– C'est quoi ? dis-je en râlant intérieurement.

– C'est moi, ouvre-moi s'il te plais j'ai besoin de toi. J’entends la voix de Justin ce qui me fais tourné le regard vers la caméra.

– Comment tu sais ou j'habite ? Ma voix étonner, la seule question que me viens en tête immédiatement.

– Suffis de regarder les boîtes aux lettres, ou snapchat, mais j'ai vraiment besoin de toi, tout de suite. Je souffle énerver pour aucune raison valable. Je lui dis d'entré en mettant sa capuche. Il me questionne à quoi cela peut servir, mais je ne répond pas et lui ordonne de faire ce que je lui dis si il veut vraiment entré.

Je l'attend au bout du couloir, je le vois enlever sa capuche, en me regardant il y découvre mes yeux remplit de noirceur le fixé dangereusement.

– Que ce que tu veux, pour que soit si important ? dis-je sèchement lui faisant signe de me suivre vers les pièces principales. N'entendant pas sa voix, je le foudroie du regard. Ses yeux rond étonner par ce qui me semble mon apparence, et mes yeux.

– Quoi !? Ses mains répondent à la place de sa voix, il me désigne entièrement, je me regarde et me rend compte que je suis en pyjama, un shot gris très court, et un vieux tee-shirt écrit ''I love everybody but I don't want anyone'' Je ricane et lui dis de ne pas en tenir compte.

 En traversant le salon on entend des bruits venant de la cuisine. Aussi curieux l'un comme l'autre, nous allons voir par curiosité ; des gens danses sur la tables, dans une ambiances tamisé, et d'autres qui les regards profiteur du spectacle.

– Je dérangeais peut-être ? Dit Justin, le regard interrogateur.

– Apparemment. Mais là n'est pas la question. Que ce que tu veux ? Dis-je en m’éloignant de la cuisine, croisant les bras, les yeux sévère.

– Il faut que tu m'aide, il me faut des cigarette...

– T'es sérieux ! Tu me dis que c'est urgent juste pour sa, tu sais ce que je risque si on voit que tu es chez moi ? Sur un ton de rage je l'interromps, mais je ne veux pas en entendre d’avantage, je lui ordonne de sortir immédiatement de chez moi, pointant la porte du doigt.

 Mon rêve se termine sur cette colère, sans avoir plus d'explications de sa part.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Ayato Yamada ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0