Day 02 (Partie 02)

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Maintenant que toutes les conditions étaient réunies, il était désormais temps pour Alicia de s’amuser. Pour ce faire, la jeune femme commença par déboutonner lentement la chemise qu’elle portait. Elle la jeta ensuite dans le carton, puis passa à son pantalon. La jeune femme dévoila alors une partie de ses sous-vêtements à Chrees. À l’occurrence, il s’agit d’une petite culotte rouge en dentelle.

- J’espère que tu apprécies ce que tu vois. Le spectacle ne fait que commencer, lui dit-elle en mettant le vêtement dans le carton.

Contrairement à sa chemise, mademoiselle Garnier prit soin de se baisser très lentement, mettant ainsi en évidence certaines de ses magnifiques formes. Le jeune homme ne savait pas quel plan sordide elle préparait en lui montrant de telles choses, néanmoins, il ne pouvait pas omettre le fait que ce qu’il voyait à ce moment lui plaisait énormément.

Alicia continua sa séance de strip-tease, s’assurant au passage de le faire avec la plus grande des délicatesses. Après quelques minutes, la demoiselle n’avait plus que ses sous-vêtements sur elle, ce qui ne manqua pas d’exciter le jeune homme ligoté sur la chaise. Garnier regarda Moure droit dans les yeux avant de descendre progressivement au niveau de son entrejambe. Elle avait alors l’impression que son sexe était sur le point de déchirer son pantalon, ce qui lui donna certaines idées.

Ce fut donc avec un sourire narquois que la jeune femme se rapprocha de Chrees. Celui-ci, qui comprit immédiatement que cela n’annonçait rien de bon, émit alors divers sons incompréhensibles à cause de la boule de geisha qu’il avait dans la bouche. La jeune femme passa ses jambes de part et d’autre de son corps afin que sa poitrine soit à quelques centimètres du visage de son prisonnier. Moure ne pouvait alors s’empêcher de remarquer à quel point elle sentait bon. Il se dit alors que si les évènements s’étaient déroulés différemment, il se serait sûrement tapé cette femme. Néanmoins, les choses étant telles qu’elles étaient, il n’y avait aucun moyen pour qu’il couche avec Alicia par plaisir. S’il le faisait, ce serait sans aucun doute pour la violenter, la punir, et de lui faire toutes les choses horribles qu’un homme pouvait faire à une femme.

Alicia était donc debout devant le jeune homme. Elle échangea à nouveau un regard avec Chrees et remarqua que le sien était rempli d’un subtil mélange de colère et d’excitation. La demoiselle se dit alors qu’il était un piètre représentant de son genre. Alors qu’il était à sa merci, qu’elle pouvait lui faire subir les pires supplices, il trouvait toujours un intérêt dans son corps.

La jeune femme passa ses mains derrière son dos et dégrafa son soutien-gorge, dévoilant par la même occasion sa somptueuse et ferme poitrine. Le cœur de Moure se mit alors à battre de plus en plus vite tandis qu’il commençait à ressentir d’étranges sensations au niveau de son pénis.

- Alors, ça te plait ? lui demanda-t-elle tout en laissant tomber son vêtement à côté d’eux.

Mademoiselle Garnier savait très pertinemment qu’il était incapable de répondre et faisait uniquement cela pour le frustrer un peu plus. Après lui avoir posé la question, la jeune femme attrapa sa tête et la plaça directement entre ses deux seins. Elle lui dit également qu’elle était au courant du fait qu’il aimait cela. Alicia s’assura donc de bien graver la forme de sa poitrine dans la mémoire de Chrees et d’imprimer son odeur sur son visage.

Au bout de quelques minutes, alors qu’il semblait manquer légèrement d’oxygène, la jeune femme relâcha son emprise sur Moure. Elle recula ensuite de quelques pas et se retourna. Elle plaça ensuite ses pouces à l’intérieur de sa petite culotte et descendit progressivement. Doucement, mais sûrement, la demoiselle se penchait de plus en plus vers l’avant, dévoilant au passage ses parties intimes. À ce moment, Chrees ne savait toujours pas ce qu’elle avait en tête et préférait rester sur ses gardes.

Après avoir finalement retiré sa petite culotte, Alicia ne la jeta ni à même le sol ni dans le carton. Bien au contraire, elle se retourna une fois de plus et alla la mettre sur la tête du jeune homme. Chrees découvrit par la même occasion que la demoiselle avait quelques penchants particuliers comme le fait qu’elle avait taillé les poils de sa zone pubienne de sorte que ceux-ci forment un cœur.

Mademoiselle Garnier se mit soudainement à genoux devant lui. Elle posa par la suite ma main sur sa cuisse et remonta progressivement vers son entrejambe.

- Hum ! Elle a l’air très très grosse ! s’exclama-t-elle en touchant le pénis de Chrees.

La jeune femme s’empressa de défaire la boucle de ceinture et de déboutonner le pantalon de son prisonnier. Elle plongea ensuite sa main à l’intérieur uniquement pour se rendre compte que ses spéculations étaient correctes. Le sexe de Moure, qui était comprimé par ses vêtements, était désormais libre et affichait de magnifiques proportions.

- Dame nature semble t’avoir bien gâté, dit-elle de nouveau alors qu’elle détenait la bite de Chrees dans sa main.

La demoiselle approcha lentement ses lèvres du gland et, alors qu’elle s’apprêtait à les poser dessus, recula soudainement.

- Non ! Ça va pas le faire ! rétorqua-t-elle.

Alicia lâcha la bite de Moure, attrapa son pantalon, et le tira vers elle. Elle voulait l’en débarrasser afin d’être beaucoup plus à l’aise. Après trois minutes de lutte contre Chrees qui ne voulait absolument pas se laisser faire, la jeune femme parvint à retirer le vêtement. Mademoiselle Garnier redressa ensuite le jeune homme qui avait entretemps basculé en arrière. Une fois cela fait, elle remit à genoux et saisit à nouveau le pénis de Moure.

Comme précédemment, Alicia approcha ses lèvres du gland. Elle les posa délicatement dessus avant de les retirer quelques instants plus tard. La jeune femme se mit ensuite à faire des mouvements de va-et-vient avec sa main. Au bout de 2-3 min, elle ouvrit doucement sa bouche et introduisit le pénis à l’intérieur.

La jeune femme taillait une pipe à Chrees tout en l’observant du coin de l’œil. Elle n’attendait qu’une seule chose : que celui-ci se détende. Pendant ce temps, elle mit tout en œuvre pour que ce dernier atteigne ce stade. Pour ce faire, elle suce, caressa, et lécha son sexe. Elle goba de temps en temps ses bijoux de famille, usant de sa langue pour lui faire éprouver certaines sensations agréables. Moure, qui avait baisé sa garde depuis un moment déjà, se dit que si cela était sa punition, alors il l’acceptait volontiers. Ce n’était pas tous les jours qu’il pouvait subir un traitement aussi plaisant. Toutefois, il était très loin de se douter que le pire était à venir.

Alors que Chrees profitait les yeux fermés de ce que mademoiselle Garnier avait à lui offrir, cette dernière, qui avait à ce moment le pénis du jeune homme dans sa bouche, le mordit soudainement avec beaucoup de violence. Moure ouvrit instantanément ses yeux et hurla de douleur. Malheureusement, ses cris furent étouffés par ce qu’il avait dans la bouche.

- Croyais-tu vraiment que tu étais là pour prendre du plaisir ? Détrompe-toi ! Dans ce scénario, monsieur n’a pas droit à ça, rétorqua-t-elle tout en saisissant les testicules du jeune homme.

Sans crier gare, mademoiselle Garnier fit pression dessus, ce qui poussa Moure à pousser de nouveaux cris de douleur. Des larmes se mirent à couler le long du visage du jeune homme, ce qui n’empêcha cependant pas Alicia de continuer. La demoiselle remit le pénis de Chrees dans sa bouche, le suce durant de nombreuses secondes, et le mordit une fois de plus.

La jeune femme venait à peine de débuter que Moure n’en pouvait déjà plus. Il voulait que ça s’arrête, qu’elle arrête. Il essaya de le lui dire, de la supplier, mais rien à faire. Alicia continuait d’enchainer les séances de fellation suivies par des séances d’intenses pressions et elle ne comptait pas s’arrêter là. Au bout d’une vingtaine de minutes, tout le sexe du jeune homme était recouvert de marques de dents. Le simple fait de le toucher provoquait de désagréables sensations chez lui. De son côté, Moure semblait être mal en point. Il respirait fortement, avait le visage complètement recouvert de larmes, et le corps de sueur.

- Je pense que nous sommes bons pour passer à l’étape suivante, dit soudainement Alicia.

En entendant ce qu’elle venait de dire, Chrees se mit à paniquer. Il se remit alors à crier et à la supplier, mais sans succès. La boule de geisha l’empêchait d’articuler. Pendant ce temps, la jeune femme se redressa et partit en direction du carton.

- Tu sais, je n’avais pas vraiment prévu de faire cela, mais que veux-tu ? Une bonne bite comme la tienne mérite d’être montée, rétorqua-t-elle en récupérant quelque chose à l’intérieur du carton.

Moure écarta grandement les yeux alors qu’il se demanda quel instrument de torture la jeune femme alla sortir de là. Heureusement pour lui, si tant est que l’on pût formuler cela ainsi, ce que mademoiselle Garnier tenait dans la main n’était nulle autre qu’un préservatif.

La demoiselle revint auprès du jeune homme toujours avec un sourire narquois sur les lèvres. Elle déchira ensuite l’emballage du préservatif, le sortit, et vint le placer sur le sexe de Moure. À cause des nombreuses morsures qu’il avait subies, la mise en place de l’objet en plastique fut très désagréable. Néanmoins, ce n’était pas le problème d’Alicia. Tout ce qui l’intéressait à ce moment était son plaisir personnel.

Maintenant que tout était prêt, la jeune femme plaça ses jambes de part et d’autre de Chrees. Elle attrapa ensuite son pénis, le mit juste à l’entrée de son vagin, puis descendit progressivement. Cela faisait de nombreux mois qu’Alicia n’avait pas eu de relation sexuelle. À cause de cela, la pénétration fut un tantinet douloureuse. Cependant, centimètre après centimètre, elle continuait de l’introduire en elle jusqu’à ce qu’elle soit complètement assise sur le jeune homme. De son côté, ce qui était censé être un doux moment se transforma en quelque chose de complètement différent. Moure qui avait prévu de violer la demoiselle quelques dizaines de minutes auparavant se retrouvait désormais dans la position de la personne violée.

- Vraiment gâté par la nature ! s’exclama Alicia en faisant une légère grimace.

Cette dernière, qui avait au préalable passé ses bras autour du cou de Chrees, entama son premier mouvement de va-et-vient. Elle monta donc tout doucement jusqu’à ce que la moitié du pénis soit à l’extérieur de son vagin, puis redescendit tout aussi lentement. Elle répéta ces deux actions de nombreuses fois jusqu’à ce qu’elle soit à l’aise avec les dimensions de ce troisième membre. Dès que ce fut le cas, elle accéléra le rythme et mit plus d’entrain dans ses mouvements.

Tandis que mademoiselle Garnier profitait de chaque instant, Moure vivait un véritable cauchemar. Non seulement le viagra qu’elle lui avait fait boire le maintenait en érection, mais les morsures infligées par la jeune femme faisaient en sorte que chacun de ses mouvements de va-et-vient était plus douloureux les uns par rapport aux autres. Jamais durant ses 27 années d’existence il n’avait subi un tel châtiment. Il trouvait que ce qu’elle lui faisait était inhumain. Chrees voulait retourner en arrière, au moment où il avait aperçu ce bar nommé « Dionysos » et dire à son lui passé de ne pas rentrer à l’intérieur, de continuer son chemin, et de ne pas se retourner. Malheureusement pour lui, il était déjà trop tard, beaucoup trop tard.

Malgré l’atroce douleur, le jeune homme parvint néanmoins à jouir au bout d’une trentaine de minutes. Il passa alors que cela devait s’arrêter à ce niveau. Malheureusement pour lui, il avait été le seul à avoir éjaculé. La demoiselle avait encore de l’énergie à revendre, d’autant plus que cela fait très longtemps qu’elle ne l’avait pas fait. À cela s’ajouta le fait que l’effet du viagra était toujours actif. Le pénis du jeune homme était donc toujours aussi dur qu’au départ. De ce fait, Alicia pouvait continuer son petit rodéo sans craindre une baisse de tension de la part de son prisonnier.

La jeune femme repartit donc pour un second tour de piste qui dura à peu près une vingtaine de minutes. Cela fut toujours trop court pour elle et elle continua donc de baiser le jeune homme qui commençait à ressentir le contrecoup de cette activité physique sans repos. Il voulut une fois de plus la supplier, mais entre la douleur et la fatigue, il n’eut pas la force de le faire. Seules les larmes coulant le long de son visage indiquaient qu’il était encore conscient.

Le troisième round de Moure fut de loin le plus douloureux. Néanmoins, cela allait également être son dernier. En effet, la jeune femme se rapprochait de plus en plus de son but. Non seulement sa cadence avait encore augmenté, mais elle avait également resserré son étreinte autour de Chrees. À cela s’ajoutaient une respiration de plus en plus forte et des tétons beaucoup plus durs collés contre le torse du jeune homme. Alicia était sur le point de jouir. La demoiselle ne se relâcha pas et poursuivit son rodéo. Un aller-retour, puis un autre, puis un autre. La pièce était remplie des gémissements de plus en plus forts de Garnier.

Finalement, au bout de trente autres minutes, la jeune femme exécuta son dernier mouvement de va-et-vient avant de s’arrêter brusquement. Tout son corps se mit alors à trembler tandis que sa respiration était beaucoup plus forte que précédemment. Elle se mordait également la lèvre inférieure et resserra une fois de plus son étreinte tout en plantant ses ongles dans le dos de Chrees. Alicia venait de jouir et c’était bon, très bon.

Durant les quelques minutes qui suivirent, Garnier resta immobile sur Chrees. Ce ne fut que lorsqu’elle reprit complètement son souffle et ses esprits qu’elle se leva, dévoilant au passage le préservatif plein de sperme. Elle décida de le laisser là en souvenir de cette première nuit. La jeune femme récupéra ensuite son soutien-gorge et sa petite culotte et marcha en direction du carton, ce qui fut quelque peu difficile. Elle attrapa ce dernier, prit la direction de la sortie, et lança un dernier regard à Moure qui semblait s’être endormi entre-temps.

- À tout à l’heure, dit-elle avant de franchir le pas de la porte.

Alicia ferma à clé derrière elle et remonta dans sa chambre. Arrivée sur place, elle déposa le carton dans un coin et s’effondra dans son lit, trop épuisée pour prendre une douche. Cet évènement venait de marquer le début d’une très longue série de parties de jambes en l’air.

A suivre !!!

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