Fin?

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Glonh, content d'avoir vaincu avec succès Kartokth, se tenait debout devant le trou, ses mains sur une épée, cette fois-çi, en or. Kartokth avait perdù l'épée de Glonh, ce qui ralentissait sa force. Aussi, ses chances de gagner étaient infiniment minimes. Pourtant, glonh, en avait plus que Kartokth.

Aussi, Kartokth remarqua alors que sur l'épée de son ennemi se trouvait des écritaux. Une formule magique. Il reconnît d'un coup le sort gravé dans l'arme: La formule de création. Il comprit donc tout. Quatre épées ont étées cachées dans la dernière guerre, sur terre. Une en fer, une en bois, une en or, et une en métal. Chacune de ces épées avaient un pouvoir infini. Celle en fer, le pouvoir de contrôler les mines. Celui qui l'avait pouvait faire sortir toutes les ressources des mines sans même y entrer.

Ensuite, il y avait l'épée en bois. Elle avait comme pouvoir de contrôler les forêts, et d'animer les arbres, et même les commander. Ce n'était pas si puissant, comme pouvoir élémantal, comparé à l'épée de métal. L'épée de métal contrôlait les éclairs, l'eau, la pluie et les nuages. Finalement, Kartokth se souvint du pouvoir de la dernière épée: Celle en or. Le pouvoir de créer n'importe quoi qui existe, même inventer une créature ou un objet, même une matière, c'était possible, si on avaient cette arme en main.

Kartokth regarda longuement l'épée. Qu'allait t'il faire?? Glonh était prêt à tuer, et peut-être même, il allait utiliser l'épée contre lui!!! Kartokth lut l'incantation qui était inscrite sur l'épée:

-Haaaaaaaaaaaa!!! Gaaaaaahaaaaaaa, Jaaaaaaa!!! Viens en peur de peine, contrôle, contrôle!!! Crée!! Crée!!! Vive toi de ton pouvoir de point en mer!!! Appèle les pouvoirs de créations!!! Appèle des soeurs et frères!! Tes pouvoirs, l'univers!! Crée un monstre qui bloquera Glonh dans sa quête!!!!!!!

Le suspens était intense. Glonh n'en croyait pas ses yeux: Un lion aux dents pointues se tenait sur Kartokth, les pattes prêtes à bondir sur Glonh. Le sort avait bien marché. Émù, Kartokth allait enfin pouvoir rentrer chez lui. Enfin...si il arrivait à éviter la mort. Un lion se tenait devant lui!! Ils n'étaient qu'en France!!! Pas au sud!! Le lion bondit droit sur Glonh, et le dévora. Un cris strident se fit entendre. Un cri de douleurs...Glonh était mort. Le lion le dévorait.

Par chance, l'épée tomba droit dans le trou, pour aller dans la main de Kartokth, qui avait un grand sourire au visage. Il s'aggrippa aux parois du trous et sortit. Il évita le lion, qui était en train de dévorer sa proie, et courut dans les champs mouillés. La nuit était pleine. Il pleuvait encore dru, mais Kartokth s'en fichait bien: Il allait retourner chez lui!!!!! Attendez...Non!! L'épée glissa de ses doigts pour retomber dans le trou. Pas grave, c'était une perte de temps.

Sa sueur coulait sur son front pendant qu'il courait sans pause dans les terrains sauvages.

-J'hidrorre trop...Je ne pourrais pas le faire...

Mais quelques heures plus tard, il se retrouva dans un endroit sans égal: Des montagnes vertes, remplies de forêts. Des nuages, sur ces forêts, de feuilles, habritaient des centaines d'espèces d'animaux. Kartokth suait encore, mais se tenait sur une colline d'herbe. Il regardait le paysage. Un ciel jaune, rause et rouge, trempé d'orangâtre, aparaissait sous ses yeux. Il pleuvait encore un peut mais le soleil avait commencé à se lever, doucement. Il regarda alors les prés, tout devant lui. Ces prés lui semblait infinis. Il regarda tout au loin, au sud, et vit un lac. Le reflet du soleil se levant éclairait l'eau bleue claire. Mais il se posait une question bien difficile à répondre: Où allait t'il dormir?? Il continua à avancer.

Une de ses bottes en cuir de vache était un peu cassée. Il s'arrêta, prit sa main gauche et enleva sa botte. Il la secoua. Un petit filet de sang coula du fond de la botte. Il la jeta. Kartokth n'avait jamais vù un tel paysage. Même à son époque, c'était rare, pour lui.

Quelques heures encore après, il trouva une clairière au millieu d'une forêt, posée juste au bas d'une immanse montagne rocailleuse.

-Hmm...oui, je pourrais me faire un petit habris...À moins qu'il n'y aillent une meute de loups dans le coin...

Il regarda longtemps la clairière. Il se dit alors que se serait parfait. Il se gratta les cheveux, et pensait. Allait t'il continuer sans fin à aller rejoindre sa famille où allait t'il en profiter de cette clairière pour ce reposer? Il se rappellait de sa famille. Ses parents et ses grands-parents, aussi, n'arrivaient jamais à ce décider en famille. Il avait hérité de ça.

Il se décida: Il allait se reposer pour avoir assez de forces le lendemain. Il était déjà le matin, environ sept heures. Il n'avait maintenant plus l'épée de création. Mais il se demandait encore pourquoi l'épée l'avait obéi? La légende disait que seul un dieux pouvait contrôler les épées sans même la prendre de la main d'un ou d'une autre.

Était t'il un dieu? Non. Non. C'était trop dùr à avaler pour lui. Il lui fallait arrêter ses allusions...

NON!! Il n'était pas un dieu!! Il n'était rien!!! RIEN, BON SANG!!! RIEN!!!

Tout ses sens en alertes, il s'asseyit proche d'une petite roche, grise. Il mit ses deux mains sur son front sale pour réfléchir.

-Non, non, ce n'est pas possible...je ne crois pas à ces légendes...Mais pourtant, ces monstres, au château?? Des chiens cornus, sanguinaires!!! Et si j'était un dieu?? Et si ma destinée était d'être un dieu??

Non.

Il repensa à l'épée, si il l'avait eue.. Il aurait tout simplement pù l'utiliser pour rentrer chez lui...Au moins, il aurait pù se créer un char, ou même, plus simplement, un cheval, pour monture. Mais l'épée n'était t'elle pas truquée? Peut-être. Il était tout curieux de le savoir. Aussi, c'était compliqué, pour lui.

Bref, il décida de se confier à se créer un habris. C'était plutôt simple, pour lui. Plus simple que d'être au château, et de se battre contre des monstres et des guerriers ennemis. Il avait du pitié pour tout ceux qui étaient morts. Pendant qu'il était au château, il s'était fait plusieurs amis...

Kartokth commenca à pleurer. De peine. Une des larmes coula sur le sol, et se dilua pour créer une petite goutte de boue. Au lieu de continuer à pleurer, il prit une bûche de bois qui se plaçait droit devant lui. Il regarda la roche, puis la bûche, puis la roche, puis de nouveau la bûche.

Après des heures de travaux, il avait trouvé une grande quantitée utile de bois mort. Il avait taillé la pierre avec le bois et il avait créé son propre tipi. Il était prêt pour la nuit qui tombait peu à peu. Il ne pleuvait plus, par chance, car sinon, il n'aurais pas eu autant d'énergie pour se créer un habris. Tout ce qui lui manquait, c'était un duvet pour recouvrir son tipi de la pluie et du froid. Mais, non. Il faisait parfait. Environ trente degrés, mais la nuit, la température allait décendre vers vingts degrés. Il commenca à organiser un oreiller en vieilles herbes qu'il trouva par terre.

Il tapota l'herbe pour le rendre plus applattit, et il ferma les yeux. Il blottit ses deux bras contre son corps chaud. Il ne portait pas de vêtements d'hiver, plutôt une vieille camisole sale et des pantalons troués. L'été était très chaud, chez lui, en France.

Il dormait déjà après quelques minutes. La nuit tomba extrêmement vite, pour lui.

En dormant, il eut un rêve. Un rêve de ses parents...Il était dans un champ, le jour. Dans son rêve...Et sa famille était avec lui: Dans leurs cercueils...Ils étaient morts...Et il était là, tout seul...pauvre Kartokth...Ses cauchemards commençaient déjà...

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