Chapitre 2

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Un soir où je rentre de la mine je m'arrête dans un bar. Il ce trouvais au milieu d'un désert impeuplé où des cris sortent des fenêtres comme on peut voir traverser des chaises à l'intérieur de ce boui-boui. Même si je suis tout crasseux, j’ai envie de sortir de ma petite vie qui me semble toujours plus monotone. En entrant dans le bistrot, je m’assoie sur une chaises surélevées devant le comptoir. Je commande une bière. Je sens tous les regards fixés sur moi. Des regards qui me jugent, me rabaissent, me rejettent.

Un homme vient s’asseoir à côté de moi, vêtue d’un grand manteau noir et d’un chapeau de feutre noir qui lui donnait des allures d’un personnage de ma bande dessiné préféré que mon père me faisait lire dans son journal. Il y avait, dans cette histoire un grand méchant qui tentait par tous les moyens d'arrêter le héro.

Assis sur sa chaise devant son grand verre de whisky déjà bien entamé, qui ne lui parle pas plus que je ne le fais. Nous restons presques coudes-à-coudes sans faire sortir un seul son ni même échanger un regard.

Dans la pièce un homme d’une taille assez conséquente, vient s’adosser sur l’épaule de cet homme mystérieux. Il est complètement soûl, et sa dégaine n’accentue que mieux ma première remarque. Il commence à essayer de communiquer mais de ce que l’on voient n'est pas mieux qu’une vulgaire pluie de postillons. On pouvait presque les apercevoir sur le couvre-chef de l’homme en noir.

Lorsque l’imposant ouvrier ivre sort du bar aussi bruyant que l'auguste raynaud que mes parents viennent d'acheter car celle-ci est déjà démodée mais leurs plaient beaucoup. L’indiscernable individu pris son verre, le bu d’une traite puis s’éclipse sans dire un mot.

Peu de temps après, tous le monde repris son rafu comme si de rien était. Tout à coup, on entend un bruit qui viens de dehors, étonner je décide d’aller voir. A ma grande surprise l’homme plus remplis d'alcool qu'une bouteille de gniole, est à terre. Et personne autour comme si nous étions délaissés de toutes traces de vies. Mais je ne compreds pas, que c’est-il passé ? Comment cet personne avait-elle put se retrouver comme ça ? Serait-ce le surplus d’alcool ou alors... un autre homme ? L’individu silencieux qui s’est assis près de moi était il un meurtrier à qui le coup aurait été mal donner ? Je me posais tout un tas de question. Je signale l’homme dehors pour que l’on vienne m’aider à le transporter à l’intérieur, puis je rentre chez moi encore choqué de ce qu'il viens de se produire.

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