Un peu avant Noël, dans une province chinoise, un nouveau virus, mortel pour l’homme apparait.

Rapidement, il se repend dans tout le pays, et ce malgré les mesures draconiennes mises en place par les autorités chinoises.

À cause de la mondialisation, et du brassage des populations, le virus s’étend à toute la planète en quelques mois.

De confinement, en re-confinement, chaque pays tente, comme il le peut, d’empêcher son système de santé d’être submergé par le tsunami de la pandémie.

Rien n’y fait.

Dans le monde, les morts se comptent par millions puis, par dizaines de millions.

Aucun traitement ne semble capable d’enrayer la marche implacable de ce virus.

Toutes les couches sociales sont touchées, des plus humbles aux plus puissants.

Lentement, inexorablement, le ciment qui soude notre société commence à s’effriter.

Ceux qui ne sont pas malades ou, qui ont survécu à la maladie, s’isolent de plus en plus.

La société connait un bon en arrière de plusieurs décennies.