Vous parvenez à soigner, sous les yeux ébahis de tout l'équipage, toutes les griffures probables de la baleine volante sur votre fidèle compagnon. Puis, le lendemain, sur les morsures qu'a faites votre dernier adversaire sur l'amiral Tolkien (ce dernier, quoique bien blessé, ne vous en veut pas d'avoir donné la priorité à votre cher animal). Cette fois, au bout de quelques semaines de navigation tranquille, d'une allure très rapide, sans orage, poussé par un vent maintenant favorable, vous voici tous les 8, sains et saufs (humains). Oui, huit ! Les deux matelots, le cuistot, Tolkien, vous-même, plus le roi de Narnia, la reine Sorila, et Hippolyte, leur fils et futur roi. Huit personnes, sans compter Basic, votre chien-loup, arrivés à destination : Homère. Dire que vous avez voulu simplement explorer cette ville que vous connaissiez très mal, et que vous avez réussi à sauver de leur captivité pas moins d'une famille royale. Si l'on vous l'avait prédit, vous auriez parié votre tête à couper que tout ça n'arriverait jamais. Le roi de Narnia, sitôt devant son confrère le roi Agamemnon du Péloponnèse, s'écrie : « Je demande asile, majesté ! Pour mon épouse, pour moi-même et pour notre enfant, le prince Hippolyte ». « Asile accordé, cela va sans dire, majesté », l'accueille Agamemnon. Votre victoire sur Akoryce et ses sbires est si importante que le roi du Péloponnèse désire resserrer encore plus les liens d'amitié entre Homère et Narnia. Il décrète alors, malgré la distorsion du temps, le jour de votre arrivée jour de fête nationale. Je vous laisse à penser l'ampleur des festivités qui suivent l'aventure que vous venez de vivre. Bravo Elbrelax !