260

2 minutes de lecture

Vous appelez votre chien-loup, puis Tolkien vous demande : « Vous êtes prêt, Elbrelax, à affronter Akoryce, l'elfe-roi sanguinaire ? Tu es prêt, Basic ? » « Waouh ! » Approuve Basic. Tolkien vous regarde l'un et l'autre, et jette sur votre compagnon et vous-même son sortilège de téléportation. Vous voici, comme par enchantement, dans le navire ennemi, plus exactement à un mètre devant Akoryce, qui n'a pas volé cette réputation de laideur qu'on lui prête. Le nourrisson est dans la même pièce, à côté de ses parents (Sorila, la reine de Narnia, et son époux, tous deux enchaînés). Vous criez :
-Dis tes prières, Akoryce, l'heure fatale a sonné pour toi !
-Comment ? Qui se permet ?
Mais il est bien tard pour lui ; vous avez l'avantage du premier coup :


AKORYCE
Habileté : 15 Endurance : 19


Ce combat va se dérouler de façon un peu spéciale : À chaque assaut, Basic se jette d'abord sur Akoryce. Jetez deux dés : si leur total est inférieur ou égal à dix (son habileté), il inflige deux points de morsure à Akoryce, qui perd deux points d'Endurance. Puis vous attaquez avec votre fléau d'armes (votre habileté initiale : 12 (à mains nues), +5=17 (fléau d'armes), +1=18 (votre bouclier Mithril). Votre attaque : jetez le maximum de dés, ajoutés, sans dépasser cette habileté (qui pourra peut-être diminuer au cours de ce combat). Si vous avez jeté un sortilège d'armement juste avant ce combat, L'HABILETÉ de votre adversaire sera diminuée d'autant. Sinon, c'est son ENDURANCE qui sera diminuée de ce maximum de dés. Puis, de même, une de vos caractéristiques de combat sera diminuée d'autant de dés, ajoutés, qui seront lancés sans dépasser son habileté : Votre HABILETÉ (courante), si vous ne portez pas un anneau à votre annulaire droit (voilà enfin à quoi aurait pu servir cet anneau !), Votre ENDURANCE si vous portez cet anneau (merci Gnofa !) Bien sûr, après chaque assaut où vous avez perdu au moins UN point, ou bien en habileté, ou bien en endurance, vous pouvez, sans obligation, tenter votre chance ; si vous êtes chanceux, votre adversaire perd UN point en Habileté. C'est votre « botte » du bouclier Mithril.
Continuez les assauts jusqu'à ce que l'habileté, ou l'endurance, ou du roi des elfes, ou de vous-même soit réduite à zéro ou moins (mort). L'autre est le vainqueur du combat.
Si vous gagnez, alors bravo ! Vous avez mené votre quête presque à son terme. Akoryce, s'écroule, vaincu, sur ces paroles menaçantes : « Tu périras par le souffle de la bal... »
Rendez-vous, tout fier, au paragraphe 183.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Christian Juvanon ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0