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Bravo ! À moins que vous ne tombiez sur ce paragraphe par hasard, vous avez compris qu'en remplaçant les rimes orales « té » par « fin », le poème mystérieux devient tout d'un coup, limpide :
Voyez ce nourrisson, bébé déjà dauphin
Il veut voir ses parents, eux aussi ont très faim
Mot de passe inconnu, sous-entendu, si fin (Si difficile à deviner !)
Il vous faut naviguer, presque jusqu'aux confins (Le voyage sera long)
Je ne peux tutoyer, donc je vous dis : « Parfum ! » (Voilà le mot de passe !)
Fantôme ou paladin, quand vous verrai-je enfin ?
Elbrelax, votre nom, ou alors, Séraphin ? (Vous êtes un ange, vous leur sauveur !)
Si vous êtes encore dans le comté d'Homère, rendez-vous au 212. Si vous venez de rencontrer l'oracle, rendez-vous au 224.
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