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Au bout de quelques heures, ayant bien manipulé les voiles selon la direction du vent, vous vous rendez compte que ce même vent a faibli de plus en plus, jusqu'à devenir complètement nul. Pour comble de malchance, un brouillard de plus en plus intense entoure le navire « Mille croisières ». Étant donné que ce double phénomène n'arrive jamais sur la mer que vous traversez (Vous étudiez bien votre carte des mers, avec les explications de Tolkien), tout l'équipage soupçonne bientôt une vengeance des sirènes... Bien sûr, ce qui vous arrive maintenant est beaucoup moins grave que d'avoir terminé vos jours dans leur ventre. Simplement, l'absence de vent, ainsi qu'un brouillard à couper au couteau, persiste le lendemain, puis le surlendemain. « Nous allons tous périr de faim stupidement, sur ce bateau qui ne bouge plus ! », s'inquiète un des matelots. « Allons ! Pas d'affolement ! », tâche à le rassurer Tolkien. « Elbrelax et moi, et vous, cuisinier, allons faire le point sur la situation. Pendant ce temps-là, surveillez les alentours du navire, si jamais vous voyez des requins, ça nous fera de bons ailerons à manger, profitez-en pour recoudre ce petit morceau de voile un peu déchiré. «Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir », comme dit le proverbe ». Les matelots lui obéissent, rendez-vous au paragraphe 248.

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