236

Une minute de lecture

-Ce n’est pas ça, mon capitaine. Simplement, cette nouvelle recrue m'a provoqué récemment, avec son chien, et je...
-Ça va, je connais ton caractère, Aramis, l'interrompt le capitaine. Alors, on se serre la main, sans arrière-pensées, les deux.
Vous pensez qu'il vaut mieux en faire un ami plutôt qu'un ennemi. Vous décidez donc de faire le premier pas :
-Désolé, Monsieur Aramis. Je viens de loin, j'avais peur que mon chien fasse son besoin à la banque, ce qui aurait été de la dernière impolitesse (vous lui tendez votre main en signe de réconciliation. Il vous la serre volontiers).
-Maintenant, on se bat. Le premier qui verse une goutte de sang de son adversaire, ou qui enlève la mouche de son arme, je lui colle deux jours d'arrêt de rigueur. (Vous ne connaissez pas cet argot militaire. Mais vous avez compris que l'on se bat juste pour s'entraîner. Vous allez donc vite chercher un fleuret numéroté, en posant vos affaires dans le casier correspondant.
Si vous ne possédez pas de heaume (de casque), l'intendante vous en donne un, sans un mot, et vous aide même à l'enfiler). Rendez-vous au paragraphe 175.

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Christian Juvanon ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0