199

Une minute de lecture

Vous montrez vos richesses, essayant de payer ainsi votre semaine d'hébergement chez l'aubergiste que vous avez trouvé, ou chez l'oncle d'IGUANA (si vous avez rencontré cet oncle dans la taverne près du port). Gêné, l'un ou l'autre vous dit, après avoir ouvert en grand ses yeux :
-Certes, ce sont de grandes richesses, mais nous ne pouvons pas les accepter. Imaginez que je veuille acheter mon pain en payant avec une couronne de roi, fût-elle en or, ou avec cet anneau serti de pierres précieuses.
-Mais où donc trouverai-je un changeur de monnaie, un bijoutier honnête ou autre ?
-J'ai bien peur que même un bijoutier, celui d'Homère par exemple, n'en veuille pas. Allez voir à la banque, je ne peux que vous donner ce conseil. À ma connaissance, il est parfaitement honnête. Il a même commerce avec les Nains, très férus de ce genre de trésors. Allez le voir, il doit être ouvert, à cette heure-ci.
(Il ne vous reste plus qu'à courir à la banque, au paragraphe 170 (ou à y courir à nouveau, au paragraphe 157)). Puis revenez au paragraphe 207 (ou 211 selon le cas).

Annotations

Versions

Ce chapitre compte 1 versions.

Vous aimez lire Christian Juvanon ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0