Chapitre 47. Déclaration de Pierre  – Piégé.

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Jour 36 (semaine 6 – lundi) soir.

### Pierre ###

C’était drôle ce soir au bureau, on n’y avait plus mis les pieds depuis longtemps (presque deux semaines !)

La réunion avec le DRH avait mis à jour les modifications intervenues à l’unité de Mbanza Mboma, ce que la direction des ressources humaines approuvait entièrement.

Durant l’entretien Célestin était très attentif et son regard sondait du regard l’attitude d’Amina ; finalement il demanda :

– Alors Amina, tu m’as l’air tendue ?

– Non Célestin, je crois que c’est la fatigue due à la tension durant la mission et le voyage.

– Tout va bien entre vous deux ?

– Oui, répondit Amina, avant que je n’ouvre la bouche. Pierre et moi nous avons une excellente entente et nous sommes entièrement d’accord sur les changements décidés dans l’unité.

– Tu as quelque chose à ajouter Pierre ?

– Oui Célestin, avant que cela vienne à tes oreilles par d’autres sources : J’ai des sentiments pour Amina, mais nous restons sérieux. Lysa est au courant et nous laisse faire.

– Qui d’autre est au courant ?

– La gérante de Mbanza Mboma qui a compris que notre relation était plus que professionnelle mais elle restera discrète. Et puis Ninah, qui n’a pas les yeux en poche, mais elle ne raconte rien de ce qui se passe à la villa.

– Bien, moi je n’ai pas d’objection à votre relation affective, vous êtes adultes et tant que votre affection reste discrète et n’empiète pas sur le travail, je n’ai pas de problèmes. Tant mieux si Lysa est au courant, cela ne provoquera pas de remous en haut lieu ! Vous êtes au courant de l’influence de votre mère, Amina et vous avez bien fait d’avoir l’accord de Lysa.

– Oui, Célestin ajouta Amina, c’est aussi pour cette raison que nous n’avons pas caché nos sentiments mais maman a demandé de bien réfléchir avant de nous engager plus en avant ! Maman apprécie Pierre mais a des doutes sur les relations interraciales et la confusion possible avec les relations professionnelles.

– Bon, je vous laisse l’initiative pour mettre le DG au courant si votre relation évolue, mais restez discrets ! Quelle est la suite de votre programme des visites des unités ?

– En principe nous prévoyons d’aller à Kikwit mais nous sommes dépendants de la disponibilité d’un des avions de la société dis-je. Avez-vous des nouvelles à ce sujet ?

– Oui, Pierre, le gouvernement nous a libéré un avion : c’est le 12 places Beechcraft 1300 ; vous aurez donc un avion plus confortable que le bimoteur Cesna que vous avez utilisé lors de votre mission à Bandundu.

– Bien, dans ce cas on ira mercredi avec retour samedi, dis-je.

– Entendu, je préviens l’équipage et on demandera les autorisations de vol déclara le DRH.

***

En arrivant à la villa, nous constatâmes qu’il faisait étrangement calme ! Ninah habituellement nous accueillait avec « bonne arrivée » ou « bonsoir », mais là rien !

Amina passa dans la cuisine puis dans la boyerie pendant que je fis le tour des chambres. Au bruit des rires que j’entendis à l’arrière de la maison, je compris que les filles me préparaient un coup fourré. Je me rendis donc vers la source des rires pour constater qu’Amina arrangeait un boubou superbe sur le corps de Ninah. Il était rouge bordeaux avec un décolleté qui descendait jusqu’au nombril et Amina alternativement ouvrit et ferma l’échancrure montrant avec délectation les seins agressifs de Ninah, ses tétons étaient en érection ; cela m’avait surpris la première fois que j’avais vu ses seins dénudés et je ne me lassai pas de cette vue. Le spectacle en valait vraiment la peine ! De plus ils étaient très sensibles aux caresses.

– Regarde Pierre ce que Lysa a donné : ce superbe boubou d’intérieur qui a un décolleté variable en fonction du désir de celle qui le porte ! Dit en riant Ninah.

– Je constate en effet qu’il est très joli et je dois conclure que Ninah a fort envie de montrer ses seins ce soir ! Peut-être faudrait-il changer le programme de ce soir ?

– Non, Pierre dit l’intéressée, je vous ai préparé un repas léger et une salade de fruits frais ! Je suppose que ce boubou t’excitera suffisamment pour que ta lance se dresse sans dopage ! Ajouta-t-elle.

Je ne pus détacher mon regard de son corps dévoilant juste assez de sa poitrine pour lever mon gourdin en position de combat. Je dus arranger mon érection dans mon pantalon ; ce geste n’échappa pas aux deux vicieuses qui vinrent m’entourer et caresser mon bas-ventre.

Ce fut Ninah qui me parut la plus excitée, elle avoua

– Oui Pierre, c’est Lysa qui m’a baisé tout à l’heure et je n’ai pas eu mon dû ! Elle était en manque de sexe et je suis certaine qu’elle aurait bien sucé ta lance alors qu’elle venait de te quitter !

Lysa m’a appelée juste après votre départ en me proposant de venir à l’atelier pour prendre le boubou qu’elle avait préparé pour moi. Je suis allé en taxi et lorsque j’arrivai, je vis de suite qu’elle était dans le même état que lorsqu’elle a tenté de forcer l’entrée de la villa il y a quelques semaines ! Elle m’a montré l’atelier mais en regardant de près son corps, je vis que ses tétons étaient érigés sous son boubou et elle se caressait la poitrine à de multiples reprises.

Puis, elle m’amena dans sa chambre attenante à l’atelier où elle a couché avec toi Pierre. Je suis désolé Amina, mais ta maman n’était pas calmée malgré la nuit avec toi et Pierre ! Elle me demandait mon histoire et ma rencontre avec Brigitte. Lorsqu’elle apprit que j’avais eu une relation avec Brigitte, elle défit mon top pour caresser mes seins en me demandant de faire l’amour avec elle. Effectivement son sexe était trempé, oh pardonne-moi, Amina mais Lysa est vraiment une bête de sexe et je comprends qu’elle a des besoins difficiles à satisfaire.

Pierre et Amina, je ne suis pas certaine que Lysa se contentera de Jaspar, elle veut baiser avec toi Pierre !

Puis elle m’a donné le boubou, comment trouves-tu cette robe, Amina tu recevras la tienne dans un jour ou deux !

– Oui, Pierre, super, je l’aurai avant de partir en mission à Kikwit ! Je passerai demain pour la récupérer.

– Eh bien, ça promet de belles soirées ! Mais Amina tu devras te modérer car je devrais garder des forces car la mission ne sera pas aisée !

– Oui, mais on n’est pas encore partis Pierre, dit Amina, ce soir tu nous appartiens et si tu faiblis sous nos caresses Ninah pourra toujours te donner un peu de sa poudre magique !

J’étais prisonnier de leurs désirs et j’étais certain d’avoir une séance de câlins avant le repas du soir ! Les deux filles étaient trop excitées pour abandonner, la preuve, deux mains droites s’affairaient sur ma ceinture et ma braguette ! Le boubou de Ninah était complètement ouvert, elle frottait ses tétons contre mon torse en gémissant. Amina s’était agenouillée devant mon sexe dressé et d’un coup brutal le décalottât, ce qui me fît prendre une respiration de saisissement ! Bientôt je sentis sa bouche pleine de salive enrober ma bite et aspirer à fond mon gland touchant sa glotte ! C’était trop profond et elle dut reculer un peu pour éviter la nausée. Je vis avec certitude qu’elle aimait me prendre en bouche pour caresser ma lance avec sa langue et pour imiter le va-et-vient qu’elle aimerait pratiquer dans son vagin, mais dans sa bouche elle ne voulait pas aller plus loin que le fond de son palais. Ninah elle, me faisait des fellations profondes poussant mon gland dans sa gorge sans régurgiter. Ce n’était pas fréquent mais c’était très excitant, elle salivait abondamment avant de me faire « une gorge profonde », cela déclenchait parfois une montée de sperme que j’avais du mal à maîtriser.

Amina manquait encore un peu de pratique mais j’aimais sa maladresse.

Ninah riait en voyant sa complice et encercla ma tête de ses mains pour pousser ma bouche contre ses seins.

– Suce-moi patron, mon boubou te plaît ? Lysa m’a certifié que tu allais bander comme un éléphant lorsque tu me verrais ainsi dans ton lit.

– Oui Ninah, elle a raison car la vue que tu me donnes est merveilleuse. Je dois vraiment me maîtriser !

– Laisse-toi aller Amina veut ton foutre ! Elle a promis de m’en donner un peu.

Je n’en pouvais plus et tout en les avertissant je lâchai mon sperme dans la bouche d’Amina. Celle-ci garda tout en bouche pour le partager avec Ninah. Puis elles revinrent toutes les deux nettoyer mon gourdin et ce fut un ballet de langues pour caresser mon gland, la hampe et les bourses.

Ninah me poussa sur le lit et elles vinrent se coucher à mes côtés pour caresser tendrement mon torse. J’étais étonné qu’aucune ne me demanda de les faire jouir, je supposai qu’elles attendirent que je retrouve mes esprits et mon souffle. Puis lentement les deux filles se défirent de leurs vêtements et Ninah prit mon sexe pour que mon gland vienne caresser l’entrée du vagin d’Amina pour la masturber au moyen de ma lance. Elle fit glisser mon gland entre ses grandes lèvres et insista pour que le bout de ma verge caresse son clitoris. Tenant toujours fermement ma verge Ninah fit des mouvements alternés près de son vagin en faisant très attention à ce que ma lance ne glisse pas accidentellement dans l’entrée. J’avais vraiment du mal à me maîtriser, Ninah prenait vraiment du plaisir à masturber Amina au moyen de ma verge. Il ne fallut pas longtemps pour que les gémissements d’Amina passent dans les aigus et que son corps entier fut parcouru de vibrations intenses. Ninah bloqua ma verge à sa base pour calmer la montée de ma sève (truc que Brigitte lui avait enseigné) mais la maintint près de son clito pour intensifier l’orgasme d’Amina.

– Oh, Ninah c’était délicieux et toi ? Tu veux aussi jouir ?

– Oui mais habille sa bite d’un condom, tu as l’expérience maintenant pour bien le coiffer !

Amina fut d’une grande douceur et ses mains de fée firent parfaitement le travail. Elle aida Ninah à se mettre à califourchon sur mon ventre et à introduire mon sexe dans son vagin. La boyesse avait vraiment un retard impressionnant dans son désir qui s’était exacerbé pendant sa manipulation à l’entrée du vagin d’Amina. Bientôt ce ne furent que des cris de jouissance de la boyesse d’autant plus intenses qu’Amina se mit à caresser intensément le clitoris de la Ninah. Cette masturbation devait être très efficace car ma verge perçut des vibrations devenant de plus en plus intenses.

Finalement la gazelle explosa sa jouissance, les vibrations me firent éjaculer une deuxième fois. J’étais vidé ! Mais Ninah se releva fatiguée mais heureuse et ce fut Amina qui détacha le préservatif pour le jeter dans la salle de bains.

Je sentis des mains nombreuses caresser doucement mon torse et mon ventre avant de basculer dans un sommeil réparateur.

Un peu plus tard je fus réveillé par un bruit de vaisselle et je vis les deux filles apporter un plateau avec le repas du soir. Le dîner fut charmant car aucune des deux ne s’était rhabillée et je ne résistai pas à distribuer des baisers sur les seins si proches de ma bouche !

Entre deux bouchées, les caresses se firent plus précises et ma lance pulsa de plus en plus.

Amina finit par grimper à califourchon sur mes jambes pour serrer ma bite entre ses seins, je ne sais pas qui lui avait appris cette prise ! Je ne pus que pousser mon gourdin en alternant le mouvement puis Ninah qui dut trouver cela très excitant et cracha sur l’espace entre les seins d’Amina pour mieux lubrifier cette masturbation.

À chaque émergence de mon gland d’entre les seins d’Amina, la boyesse profitait pour mordiller très légèrement le méat, ce qui entraîna immanquablement une nouvelle éjaculation que je ne pus freiner.

– Ninah, il faudra donner ta recette pour plus de sperme, dit Amina, car Pierre a à peine craché un peu de venin de son naja !

– On se calme dis-je, je ne suis pas encore au point de jouir avec ta recette ! Pour ce soir, mon serpent se retire dans sa caverne ! On verra demain, merci les filles mais demain on a une journée chargée puisqu’il faut préparer la mission de Kikwit.

– Patron, non, tu ne vas pas me laisser à nouveau seule à la villa ! Tu ne m’auras plus en me demandant de préparer une autre moambe ! Supplia Ninah.

– Ne pourrait-on pas l’amener avec nous ? Demanda Amina, on a le grand avion !

– Sous quel prétexte ?

– Pour nous faire à manger, car on n’a rien prévu avec la direction de l’unité, dit Amina.

– Ce n’est pas faux, dis-je, de plus cela n’entraîne aucune dépense supplémentaire. Mais il faudra être discret dans la maison de passage ! Officiellement vous dormirez ensemble dans la seconde chambre.

– OUI ! Crièrent-elles ensemble en se tapant dans les mains.

(Dans quelle galère m’étais-je laissé embarquer !)

Nous étions tous rassasiés de sexe, Amina ne fut pas longue à s’endormir à mon côté. Ninah se mit en cuillère contre mon ventre. Ma lance était molle mais Ninah trouva quand même le moyen de la glisser entre ses fesses….

NDA : Qui décide finalement ? Ce n’est pas Pierre !

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