Chapitre 48 – Préparation de la mission et voyage à Kikwit

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Jour 37 (semaine 6 – mardi).

### Amina ###

La journée était chargée, il fallait regrouper toutes les informations en gardant la tête froide. Mais je sentais l’humidité de mon vagin, rien qu’a penser à ce que je pourrais faire à Pierre, en fait ce que NOUS allions faire à Pierre durant notre séjour à Kikwit.

En principe c’était une mission d’observation, sans négociation. Les données de production de cette unité étaient vraiment déplorables ; la plantation était aux dires de Pierre trop vieille et il faudrait tout replanter ou fermer !

Pierre travaillait sans se laisser distraire, lorsqu’il leva les yeux de temps en temps je lui fis un sourire que j’espérais qu’il fut perçu de toute la tendresse que j’avais à son égard, mais je ne pus pas faire beaucoup plus.

Mais ce soir on ne dormirait pas ensemble, j’avais prévu de rejoindre maman et j’imaginai déjà que Ninah aurait toute la nuit mon homme pour elle seule ! Même si j’acceptais le partage c’était supportable lorsqu’on était à trois ou même à quatre avec maman ; mais le savoir seul avec Ninah qui était quand même experte en caresses et surtout elle avait l’immense avantage de pouvoir sentir la lance de Pierre dans son vagin.

Je m’imaginais déjà le jour où elle le prendrait sans préservatif, oh ! Sentir son sperme gicler dans son utérus ce serait pour Ninah la suprême jouissance. Qu’est-ce qui l’empêchait d’avoir un rapport non protégé ? Elle n’avait des rapports exclusivement qu’avec Pierre et donc elle était saine et si elle tombait enceinte, Pierre saurait que ce serait lui qu’il l’aurait enceinté ! Connaissant la droiture de Pierre, il ne laisserait pas Ninah dans cette situation, il s’occuperait de subvenir aux besoins de Ninah dans sa maternité.

Il était donc urgent que je fasse un accord avec elle pour éviter qu’elle fasse l’amour sans préservatif et puis de trouver un contrat de concubinage où je serais la première épouse !

C’est dans cet état d’esprit que le soir je pris le taxi de Joseph pour aller chez maman, récupérer la nouvelle robe et lui annoncer notre mission à Kikwit. Je profitais de l’isolement du bureau pour embrasser à pleine bouche Pierre avant de partir et en serrant son ventre contre le mien. J’aurai bien voulu qu’il m’embrasse sur mes seins mais les vêtements que je portais ne me permettaient pas de me dénuder aisément et je partis frustrée.

En arrivant à la maison maman m’accueillit avec tendresse, me demandant si je n’étais pas trop fatiguée, et si Pierre allait bien. Je lui annonçai qu’elle le verrait le lendemain puisqu’il viendrait me prendre pour partir en mission à Kikwit. Je vis pendant une seconde les yeux de maman pétiller à cette nouvelle ; définitivement maman était amoureuse de Pierre et Jaspar n’était qu’une façade, un ersatz à son désir !

Elle me montra le fameux boubou, il était magnifique, le tissu était comme de la soie, léger mais bien ajusté et effectivement le décolleté descendait jusqu’à mon nombril et je pouvais faire varier l’échancrure à partir de mes épaules d’un écart étroit jusqu’à en dénuder mes seins entièrement. Je remerciai maman pour ce cadeau et elle me rappela notre promesse que je reste vierge jusqu’à ce que j’aie la bague au doigt.

Jour 37 (semaine 6 – mardi) soir.

### Pierre ###

En rentrant à la villa Ninah me salua tendrement, elle m’avait ce soir en exclusivité, une revanche en quelque sorte pour l’avoir privé de ma présence la semaine dernière. Elle vint se blottir contre moi en attendant que je la soulève pour l’embrasser. Avec un grand sourire elle m’encercla de ses jambes pour que ma bite se trouve serrée contre son intimité.

– Bonsoir Pierre, ce soir nous sommes seuls, mais je veux te faire plaisir ! Dis-moi ce que tu désires !

– Bonsoir ma gazelle, je vais te garder près de moi toute la nuit dans mon lit, mais avant que tu te déshabilles je voudrais prendre un repas léger avec toi sur mes genoux !

– Oh oui Pierre, ça me rappelle nos débuts où tu me câlinais pour m’apprendre l’amour !

Le repas était déjà préparé sur la table, il y avait des morceaux de blanc de poulet déjà coupés en dés et des patates douces. Elle présenta alternativement du poulet puis des patates chaque fois que ma bouche était vide. Chaque morceau était trempé dans une sauce qui me paraissait douce mais qui ne dévoila ses piments que dans la chaleur de ma bouche. Je soupçonnai que cette sauce ne devait pas être anodine.

Effectivement ma verge déjà dressée eut un coup de fouet et se gonfla encore plus dure. La boyesse prenait du plaisir à me nourrir ainsi et me forçait à lécher ses doigts souillés de cette sauce délicieuse. Lorsqu’elle vit que j’étais rassasié elle défit les boutons qui fermaient son top qui d’après moi était trop étroit pour la taille de ses seins, libérant sa poitrine.

– Te rappelles-tu que tu m’avais suggéré au téléphone de passer mes doigts sur mes aréoles, regarde maintenant je suis tes conseils en y ajoutant de cette sauce. Vois comme mes tétons se dressent ! Est-ce mes doigts ou le condiment qui les dresse ainsi ? Maintenant tu vas passer doucement avec ta langue pour laver entièrement mes seins ! Oh oui Pierre, j’adore ta langue rugueuse, continue comme ça !

Elle poussa ma tête pour que ma bouche s’écrase contre ses mamelles.

– Oh oui, suce mes tétons, regarde dit-elle en déboutonnant son short, je suis toute mouillée !

Elle se leva pour m’obliger à me coucher sur le sol et présenta son minou dégoulinant de cyprine devant ma bouche.

– Lèche-moi ! Jusqu’à ce que tout soit nettoyé !

Je suivis ses ordres et m’amusai à pousser ma langue profondément dans son vagin pour fouiller son bouton délicieux la faisant crier de plaisir. Puis elle s’écartait pour plonger aussitôt avec son con sur ma verge.

Elle gémit de plaisir sentant le contact direct de ma chair dans son antre !

– OUI ! Fais-moi jouir patron ! Parvint-elle à dire entre ses gémissements.

Je vis son corps vibrer sous l’orgasme et dus la soulever pour sortir mon pénis avant que mon sperme ne jaillisse sur la peau de son ventre. C’était moins une !

– Oh Pierre pardon, c’était tellement bon sans caoutchouc ! Mais je ne voulais pas te piéger dit elle en récupérant mon sperme sur nos ventres pour le mettre dans sa bouche.

– Tu veux en goûter aussi ? Me dit-elle en me présentant ses doigts

Je les pris en bouche pour bien sucer le liquide !

– Ma recette pour te donner du sperme abondant est vraiment efficace ! Dit-elle en riant.

– Ninah, je suis quasiment certain que tu voulais que j’éjacule dans ton vagin.

– Oui patron, ne te fâche pas ! Cela fait si longtemps que j’en ai envie !

– Non Ninah, je ne me fâcherai pas, mais ne recommence plus ! Je ne peux pas te donner des enfants, si tu en veux, tu devras cesser de me faire l’amour et tu devras te trouver un gentil garçon que tu épouseras !

– Non, Pierre, je ne veux pas d’autre homme dans ma vie ! J’attendrai, plus tard tu me feras un enfant que je garderai pour moi seule ! Mais je ne le ferai pas sans ton accord. Je ne veux pas te piéger ! Je ne veux pas de ton argent mais un bébé de toi que j’élèverai seule.

– Ninah, ne te fais pas de rêves irréalisables.

– On verra !

– Viens reste dans mes bras cette nuit, on en reparlera ensemble avec Amina.

– Oui patron, mais je t’aime vraiment !

(Ninah veut un enfant de moi !)

On s’endormit enlacés et comme d’habitude elle garda une main sur ma verge sans la masturber.

Jour 38 (semaine 6 – mercredi) matin .

### Pierre ###

Le lendemain je me réveillais avec une sensation bizarre, Ninah était lovée en cuillère contre mon ventre et je constatai que mon serpent était dans sa caverne ! Comment avait-elle réussi à ce que ma verge en érection se trouve dans son vagin ! Manifestement c’était sans préservatif car je perçus clairement le contact de sa paroi vaginale !

– Ninah, que fais-tu ?

– Rien Pierre, je garde ton bâton au chaud, sans rien faire de mal ! Cette nuit j’ai senti ton érection puissante dans ma main et j’ai voulu en profiter. Ça me fait tellement du bien ! Je fais juste quelques contractions et c’est comme si j’enfonçais le vibro dans mon vagin, sauf que c’est plus vivant ! Non je ne voulais pas te faire jouir, j’ai compris que tu ne voulais pas d’enfant et j’essayais juste de me masturber sur ton engin.

– Continue, Ninah j’aime cette caresse, je sais que je joue avec le feu mais je me retirerai avant d’éjaculer !

– Oh merci Patron ! C’est tellement bon, laisse-moi en profiter tant qu’Amina n’est pas là, je ne lui dirai pas ce que nous faisons là ! Je ne veux pas bouger trop vite, caresse mon bijou en même temps, je jouirai plus vite.

– Ninah, tu mérites que je te fesse en punition mais cela risque de te faire encore plus jouir !

– Oh patron, je sais que je suis méchante mais laisse-moi profiter ce matin ! Tu me puniras après !

– Je te punirai lorsque nous serons à Kikwit.

– Que diras-tu à Amina pour justifier la punition ?

– Que tu as voulu m’empoisonner avec ta recette pour jouir de moi ! Ce qui est la moitié de la vérité.

– D’accord patron, continue tes caresses, c’est divin ! Oh oui ! N’arrête pas ! Pierre je t’aime !

Son corps fut secoué tellement fort que tout en la caressant je dus me retirer et j’éjaculais dans son dos ! Dans mon for intérieur je devais reconnaître que ce jeu dangereux fut délicieux ! Je la pris dans mes bras pour la porter sous la douche.

Je la lavais de mon sperme qui n’avait jamais été aussi abondant, sa recette était donc vraiment efficace ! De plus mon éjaculation me procura encore plus de plaisir qu’habituellement !

Elle voulait calmer mon érection avec sa bouche, mais je ne voulais pas, sachant que ce soir j’aurais à les satisfaire toutes les deux. Je la gardais contre moi en laissant l’eau couler sur nos corps, jusqu’à ce que mon serpent se love en douceur contre son ventre.

Ninah comprit que ce serait tout pour ce matin et me donna un baiser tendre sur ma poitrine.

– Merci Pierre, j’attendrai ma punition ce soir comme ta servante obéissante.

Je me remémorais ses paroles pendant toute la journée, serait-elle amatrice de punition ?

****

Zakpa nous attendait pour partir et Ninah lui apporta nos bagages et les provisions pour les premiers jours et s’installait à côté du chauffeur. Voyant son étonnement, elle lui expliqua qu’elle accompagnait la mission pour assurer l’intendance. (Je riais intérieurement pour la signification du mot intendance, oui c’était comme la cantinière de l’armée de Napoléon !)

Arrivé chez Lysa, Amina n’était pas encore prête et me demanda quelques minutes. Du coup Lysa m’attira dans sa chambre.

– Pierre, quand te reverrais-je ?

– Samedi soir, si tout va bien je te téléphonerai lorsqu’on atterrira, on te prendra au passage !

– Tu es un amour. Caresse-moi ! Amina n’est pas encore prête, on a encore bien une dizaine de minutes, car elle hésitait dans le choix des habits à emporter en plus de son nouveau boubou !

Elle prit une de mes mains pour passer sur ses seins et l’autre fut collée sur son intimité. Manifestement elle était encore en manque de sexe ! Sa tentative d’avoir une jouissance rapide fut avortée par le cri d’Amina : « je suis prête ! » ce qui entraîna une grimace de Lysa !

Ce fut encore pire lorsqu’elle apprit que Ninah était du voyage !

– Oh non !

– Va voir Jaspar, lui dis-je.

– Il faudra bien, Jaspar ne sera jamais ton concurrent Pierre ! Ce sera long de t’attendre. Je dois trouver une solution pérenne !

Elle m’embrassa passionnément devant sa fille, qui eut un regard désespéré.

– Oui, Amina votre absence sera longue ! mais je survivrai.

– Maman, on se verra samedi ! sois patiente.

***

En arrivant à l’aéroport, je vis l’avion avec surprise : c’était un Beechcraft 1300 en très bon état !

C’était un ancien avion de la TAP racheté par la société dans ses heures de grande prospérité, son rayon d’action était beaucoup plus important que nécessaire pour le Congo. À l’intérieur il avait encore les logos de la compagnie d’aviation portugaise. L’équipage était de deux pilotes bien sympathiques. L’aménagement intérieur était inchangé : les sièges sur une rangée de chaque côté du couloir, regroupés par paire en face-à-face et un siège solitaire On pouvait donc transporter 9 passagers. Je comprenais donc que les autorités congolaises aimaient « emprunter » cet avion.

Ninah n’avait jamais voyagé en avion, Amina s’assit en face de Ninah pour lui tenir les mains. Mais Ninah fut beaucoup moins impressionnée que je m’y attendais. Dès que l’avion prit de l’altitude, elle resta collée à le hublot pour regarder le paysage comme un enfant.

Une fois le signal des ceintures éteint, elle se leva prudemment et vint s’asseoir en face de moi, comme Amina était plongée dans la lecture d’un rapport, elle trouva le moyen de placer un pied nu dans mon entrejambe ! La diablesse trouvait cette disposition des sièges par paires en face-à-face très intéressante et tout en regardant par le hublot elle parvint à masser mon sexe. Amina était dans une autre rangée dans un siège qui nous tournait le dos et ne pouvait absolument rien voir du manège de la boyesse. Je ne pouvais pas la laisser faire et je mis gentiment ma main sur son pied, dans le but de l’éloigner de mon gourdin mais la résistance et le regard de défi silencieux qu’elle me lança me dissuada de modifier la position de ses orteils.

Pendant un long moment elle me défia mais était-ce par lâcheté ou pour ne pas attirer l’attention d’Amina, je la laissai me caresser.

Puis je dus intervenir sous peine de souiller mon pantalon et remontai ma main sur sa jambe en lui prodiguant une caresse gentille. À mon regard elle comprit qu’elle devait modérer sa caresse mais ne retirait pas son pied pour autant. Je ne pouvais pas monter plus haut que son genou sans me faire remarquer et je massai simplement sa rotule. Finalement elle comprit que le jeu avait assez duré et elle se leva en me faisant un sourire enjôleur et planta un baiser sur mes lèvres. Elle s’assit dans le siège de l’autre côté du couloir pour regarder la forêt qui se rapprochait.

Nous étions déjà en approche de Kikwit et Amina sortit de sa lecture pour venir s’asseoir en face de moi, je me rappelai son stress à l’atterrissage lors du vol précédent. Je lui fis donc un sourire que j’espérais rassurant, elle me le rendit en disant :

– Je préfère de loin cet avion, il est plus rassurant.

– Je suis d’accord mais les conditions de vol étaient excellentes.

– Espérons qu’il en sera de même au retour !

Le comité d’accueil était réduit, il est vrai que l’annonce de notre arrivée était tardive. Amina était connue mais pas Ninah, je la présentai comme assistante personnelle responsable de l’intendance ce qui fit sourire les deux filles ! Le directeur marqua son étonnement à la vue de nous trois. Je lui expliquai que nous avions apporté notre intendance pour avoir notre subsistance pour quelques jours en espérant trouver de la nourriture sur les marchés de Kikwit pour le reste de la semaine.

Je proposai de tenir une première réunion de travail après le déjeuner.

Les pilotes me signalèrent qu’ils restaient près de l’aéroport.

Le guest-house n’était pas de grande fraîcheur mais propre ; Ninah se mit immédiatement à l’œuvre dans la cuisine du guest-house avec les victuailles apportées. Et un quart d’heure plus tard nous étions tous les trois attablés devant un repas sommaire mais excellent.

L’après-midi fut consacré à la visite de l’unité, la plantation de palmiers à huile était vieille, les arbres trop âgés avaient un rendement faiblissant chaque année. L’usine d’extraction était obsolète. La plantation de café par contre avait un bon rendement.

Nous fûmes de retour un peu avant le coucher du soleil. La table était dressée et Ninah nous avait préparé un repas revigorant complété par l’approvisionnement du marché local.

Les deux filles s’étaient vêtues de leur boubou que j’appellerai à décolleté variable, grand ouvert montrant la quasi-totalité de leur poitrine. Les bords couvrant à peine leurs aréoles !

Quelle vue superbe, c’étaient effectivement des robes d’intérieur à caractère privé dont le but final était bien de me faire bander.

La boyesse du guest-house n’avait rien préparé et Ninah l’avait débauchée bien avant notre retour et avec instruction de revenir que le lendemain après le petit-déjeuner. Nous étions donc certains de ne pas être dérangés.

Je m’étais mis à mon aise avec mon kimono préféré que Ninah avait préparé dans mes bagages, je me mis dans le grand canapé avec l’intention de regarder les nouvelles à la télévision satellite mais mon champ de vue fut rapidement bloqué par Amina qui s’installât à mes pieds glissant sa main dans les pans de mon vêtement tendu comme une toile de tente par mon sexe.

Ninah vint se joindre à nous, pour jouer avec mon corps, elle écarta les pans de mon kimono pour voir comment Amina se débrouillait. Elle n’avait pas grand-chose à commenter mais se pencha tout de même pour embrasser mon gland découvert du prépuce. Elle ajouta une bonne dose de salive pour bien lubrifier mon engin qu’Amina masturbait avec énergie.

Ninah trouva qu’il fallut rajouter un peu de plaisir et souleva sa robe pour découvrir son intimité fraîchement rasée. Je ne pus pas détacher mes yeux de cette fente coincée entre les grandes lèvres gonflées d’excitation.

Ninah passa la robe au-dessus de sa tête me montrant ainsi son corps intégralement nu ; elle avait dû passer une partie de l’après-midi à se bichonner car en plus d’être entièrement rasée, sa peau brillait de l’huile de karité qui lui donnait cet aspect soyeux sous ma main. Avec ses cheveux courts, ses seins dressés, ses tétons en érection, elle ressemblait à une jeune fille nubile innocente passant ses mains sur son corps depuis ses épaules jusqu’à son ventre. Le spectacle était superbe, elle détacha la main d’Amina de mon gourdin pour la passer sur ses tétons pendant qu’elle écarta ses jambes pour se placer à califourchon sur ma bite. J’avais noté qu’elle n’avait pas mis de préservatif, mais Amina avait remarqué également ce changement dans nos habitudes.

– Non Ninah, tu n’as pas de protection !

– Oui je sais Amina mais je ne resterai pas longtemps, mais c’est vraiment bon de sentir son naja bien au chaud dans mon vagin.

– Ninah c’est injuste je veux qu’il me pénètre aussi !

– Amina tu as promis de rester vierge

– N’y a-t-il pas de solution ?

– Si Brigitte m’a montré une alternative mais je ne l’ai jamais pratiquée

– Et toi Pierre tu connais cette alternative ?

– Oui, bien sûr !

NDA : exceptionnellement le chapitre 49 sera publié dans le même mouvement ! c’est l’alternative pour Amina !

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