Chapitre 04

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Nous sommes toutes les deux à ses pieds. Il est notre dieu, celui pour qui nous sommes prêtes à faire n’importe quoi.

— Les filles, ce soir c'est soirée poker. Arielle tu resteras sage dans la chambre, faut pas qu’on te voit, compris ?

— Oui Monsieur.

— Quant à toi Al’, tu vas me préparer cette soirée.

Ce soir je vais me retrouver seule, pendant que Monsieur va s'amuser avec ses quatre potes au cartes et en plus je dois tout organiser...super !

21h00, je suis passée à la douche après qu'Alban m'ai prise sur la table destinée aux jeux de la soirée, il n'a pas supporté me voir pavaner sous son nez. Il lui a suffit de relever ma jupe et s'insérer en moi d'un grand coup de bassin pour me rappeler que ce n’est pas comme ça qu'on sera à l'heure pour l'arrivée de ses potes. Mon ventre n'était pas du tout prêt à cette insertion brutale, mais il a du faire avec. Du coup j'ai l'impression d'avoir un gros bleu dans le ventre, ce qui va rendre nos prochains ébats encore plus douloureux.

— Tu m’as fait mal Alban.

— J’espère bien bébé.

Il pose ses lèvres sur les miennes puis regarde par terre. Arielle est toujours sur sa couchette, elle tripote un fil de sa couverture (pauvre débile).

— T'as compris Arielle, tu ne sors pas de la chambre, je ne ferme pas la porte à clé mais tu restes ici, lui rappelle Alban.

— Oui Monsieur.

Je ne comprends pas pourquoi il ne veut pas l'enfermer à clé, franchement elle n’a pas besoin de se sentir libre puisqu'elle n'a pas à sortir de la chambre.

Faut dire qu'elle vient très rarement dans les autres pièces, sauf pour les entretenir et si on veut profiter d'elle. Mais sinon elle reste dans la chambre, avec un accès restreint à la salle de bain, puisque c'est Alban qui la lave et c'est moi qui la prépare. Et sans autorisation elle peut même pas utiliser les toilettes librement, d'ailleurs ça vaut parfois quelques surprises (Merci Alban d'oublier de faire pisser ton clebs)

La porte se met à tambouriner, (putain c'est partie) et voilà les potes d'Alban arrivant tous en chœur.

— Salut les Al, comment ça va !!! Crie Eric, un grand brun, tout fin, ancien camarade de classe de mon homme qui à l'habitude de venir squatter pour un verre ou pour le poker. Sa femme ne l'accompagne pas pendant les soirées mafieuses, elle attend leur deuxième enfant, et la fumée de cigarette n'est pas souhaitable pour une femme enceinte. Mais ça n'a pas l'air de le chagriner le Eric.

— Allez y rentrez et installez vous...comme d'hab, faites comme chez vous.

— Eh Alban si on fait comme chez toi, on va finir dans ton pieu avec ta femme (bah bien sur).

Marc est le plus extravagant, et il fait toujours des blagues limites où je suis forcément incluse (pauvre type !)

- Vous voulez boire quoi les gars ? Sky ? Vodka ?

Ça y est l'alcool s'invite, ça démontre bien le début de la soirée. Alban ne boit et ne fume jamais, sauf lors de ses soirées poker, où il me transforme la maison en tripot. Je préfère m'installer tranquillement sur mon canapé pour bouquiner, m'éloignant des vapeurs entêtantes.

— Ça va Aline ? Me demande Bastien, qui n'est autre que le cousin d'Eric, pas aussi charmant que lui mais pas mal quand même mais beaucoup plus réservé, à la limite de la timidité.

— Ouais ça va merci

— Tu ne joues toujours pas ?

— Non j'y comprends rien à vos règles (en plus je n'aime pas l'ambiance)

Il se lève pour aller rejoindre le groupe qui sont déjà installés à leur table de jeux, là où quelques heures avant, j'étais entrain de me faire baiser par mon mari, qui maintenant joue sa vie à son jeu de cartes merdique.

Alban adore jouer au poker, et il sait qu’il n’est pas mauvais, donc forcément ça aide. Il ne joue pas pour des sommes d'argent, je ne veux pas, donc c'est des jetons factices et parfois quelques défis sont lancés en fin de soirée.

Une chaise reste pourtant vide, il manque un partenaire de jeu...ah oui David. Lui c'est assez tendu, puisqu'on a fait d'autres jeux que le poker avec lui, et forcément il se crée une ambiance particulière quand il est là. Ses yeux me voient plus comme la femme d'Alban mais comme la chienne qu'il a baisé avec et sans Alban d'ailleurs mais ça c'est un secret que je ne partage avec personne. J'avoue ne pas rester indifférente à son charme donc si ce soir il décide de pas venir, bah ça m'éviterait des sensations perverses en plus de celles que j'ai déjà en regardant mon mari.

— Tu bluffes !

— Tu crois ?

Il est magnifique mon homme, il est redevenu ce jeune gamin qui blague avec ses potes et plus cet homme froid et glacial qui me rend dingue à longueur de temps. Un bruit à la porte retentit (merde).

— Vas y rentre Dav.

Mon regard se fixe directement sur lui, j'ai le bas ventre qui frissonne quand son regard croise le mien. Et tous les souvenirs inavouables resurgissent (putain pourquoi il est venu lui)

— Salut Aline. Sa joue contre la mienne et mes frissons remontent le long de ma colonne vertébrale et je sens mon corps se mettre en alerte. Mon intimité se gonfle de désir et je sens les pulsations dans tout mon corps. Mes tétons pointent à la 3ème bises (putain pourquoi 4 bises aussi ici). Il me regarde comme ci il savait ce qui se passait en moi.

— Dav, viens nous rejoindre qu'on commence.

Alban est tout excité à l'idée de jouer à son jeu de mafieux et pas très patient.

Je me plonge dans mon bouquin, en essayant de chasser mes idées perverses. David m'a fait l'effet d'une bombe, j'ai envie de me faire jouir, mais devant tout le monde ça craint et je n'ai pas l'autorisation d'Alban de toute façon, et puis ce n’est pas le moment de l'embêter avec ça.

Je peux pas non plus m'éclipser voir Ariellele, car là aussi elle n’est pas en libre service et je dois demander au patron qui est en train de triper sur son jeu avec ses copains dont un mega sexy. (recentre toi Al, recentre toi, oui c'était bon les fois où il t'a baisé mais il n’est pas là pour ça ce soir, tu oublies !)

J'entends les rires, les verres qui se remplissent et la fumer envahie ma maison (putain on va encore passer trois jours à sentir la clope, super)

— Celui qui perd, encule l'autre ! Crie Eric.

(Hein ? Quoi ? Il est sérieux là ?)

Mon mari a déjà eu des rapports avec des hommes, c'est toujours lui qui les pénétraient et il n'a jamais eu de soucis avec ça, pour lui un trou est un trou mais bon là ce n’est pas une soirée sexe mais une soirée jeu !

— Ok, vas y, vu mon jeu, c'est moi qui va t'enculer mon pauvre Bastien... Ricane Alban sur de lui.

Je regarde avec attention le déroulement du jeu, et bien que je ne connaisse pas les règles, je comprends très vite qui a gagné, quand je vois Alban pencher Bastien sur la table, leur pantalon aux pieds. (putain ils ne déconnaient pas !)

Deux mecs qui baisent, me font absolument aucun effet, ça me dégoûte pas non plus mais juste que ce n’est pas mon trip, ça ne m'empêche pas de regarder la scène comme les autres.

— Putain Alban, vas y doucement !

Bastien ne sait pas que ce mot est banni du vocabulaire d'Alban depuis toujours. Et il va vite le comprendre, au rythme où les coups de reins s’enchaînent. Mon mari est en train de bourriner son pote sous mes yeux et ceux des autres copains, qui eux non plus en loupent pas une miette ricanant comme des hyènes.

— Ouais ça se détend !

Bastien râle, gémis, la queue à la main et mon beau mâle est plus qu'un animal qui veut juste relever le défi des copains (ce n'est pas très mature tout ça)

Il se retire d'un coup sec, laissant le pauvre Bastien à sa fébrilité. Aucune marque de compassion, pas de caresses, c'est purement instinctif.

— Tu vois que c'était moi qui allais t'enculer !

Bastien est toujours penché sur la table, et quand il tourne la tête vers moi, je sens comme une gêne dans ses yeux. Ça ne me dérange pas que mon mari baise ailleur alors je lui souris pour le rassurer, (c'est suffisamment humiliant pour lui).

— La prochaine fois c'est Aline, lance Eric (euh t'es gentil c'est pas toi qui décide).

Alban me regarde et un sourire se dessine sur son visage (non non là je ne suis pas en état hein)

— Tu veux baiser ma femme ?

— Non mais Alban, c'est pour déconner hein (il fait moins le malin le Eric).

— Je ne déconne pas, si tu l'as veux, je te la prête (hein ? Non mais moi je ne veux pas de lui)

— Euh... c'est pour blaguer, je ne vais pas baiser ta femme quand mm (ouf)

— Pourquoi ? Renvoi Alban sèchement.

— C'est ta femme putain.

— Demande à David, il l'a baisé plus d'une fois et pas sur qu'il dise non. Hein Dav ?

David lui sourit malicieusement.

Mon corps est totalement d'accord pour que David s'occupe de moi, mais certainement pas Eric.

— Et moi ? Demande Marc (ah putain il ne va pas s'y mettre).

Alban me regarde, et là je comprends que la soirée dévit en ma défaveur. Je lui fais signe que non, mon corps ressent encore notre étreinte douloureuse de toute à l'heure, je ne vais pas supporter.

— Aline, lache ton bouqin ! (putain non !) ...met toi à genoux sur le canapé !

David me regarde de manière intense, et je comprends qu'il en crève autant d'envie que moi de me baiser une nouvelle fois. Je me mets donc en position, mes bras posée sur le dossier du canapé, les genoux écartés, ma chatte offerte.

— Putain elle obéit bien ta femme.

— Bah 22 ans de dressage, dit-il fièrement.

Je pose ma tête sur mes bras et les laisse me peloter à tour de rôle. Alban est assis sur le fauteuil d’à coté, me regardant m'offrir à ses potes d'enfance. Et Bastien est resté à coté de la table de jeu, se remettant de son enculade brutale. Je reconnais parmi eux les mains de David, ils ne me touchent pas comme les autres, il est plus délicat, plus respectueux et me fait un effet de dingue.

— Putain t'es bonne Aline. S'exclame Eric. Je n’aime pas comment il me touche, il me pétrit comme si j'étais du pain, aucune douceur, il me tâte (putain il se croit au marché lui ou quoi !)

— Vas-y écarte lui bien ses cuisses, dit Marc. Alors lui c'est le pire de tous, il est vulgaire, sans aucun tact, et il veut qu'une chose, c'est me foutre sa bite.

Je regarde Alban, satisfait du spectacle, je le fais pour lui (et aussi pour David), ses mains sur moi me manquent, mais il me sourit, un clope à la main, sans dire un mot.

Une vive douleur m'envahie, Marc vient de s'inviter en moi (mais quel bourrin !) il va et vient, maladroit et sans délicatesse, me tenant par les hanches. David est juste à coté de moi, je sens son parfum, c'est lui qui me fait mouiller, pas les autres. Il approche sa queue de ma bouche, elle est tendu, gonflée, prête pour moi.

— Ouvre ta bouche ma belle. Sa voix est douce, rassurante.

Il s'introduit délicatement et ma bouche salive à son contact. Il ressort avec un filet qui me relit à lui avant de s'échouer sur le canapé.

— m'oublis pas ! Dit Eric, la queue à la main de l'autre coté (putain dégage toi, tu ne vois pas que tu déranges)... je le suce rapidement, l'aspire puis il se glisse en dessous de moi pour me sucer les tétons. L'autre bourrin se déchaîne toujours, et David se branle patiemment pendant que je m'occupe des autres.

— Prends-lui le cul que je lui prenne sa chatte. Ordonne Eric à Marc (euh le bourrin, va pas m'enculer là ?)

Je sens ses doigts me tripoter mon cul, aucun savoir faire, le mec est vraiment mauvais.

— Je vais te péter ta rondelle ! (aucun tact ce mec !)

Mais la queue de David est revenue dans ma bouche, ce qui me détend et permet une pénétration moins désagréable. Sans attendre Eric se met à la place de Marc, et me voilà prise par tous mes orifices pour le plus grand plaisir d’Alban.

Je suce, pompe, aspire la queue de David, je sais ce qu'il aime, c'est facile à le faire râler, sa queue gonfle dans ma bouche, il maintien ma tête pour s'enfoncer encore plus loin. Et les deux autres énergumènes me refont l'intérieur à grand coup de queue. Heureusement que j'ai mon amant pour m'exciter, me détendre, bien que mon excitation ne suffit pas à faire taire la douleur de ma précédente baise.

Je sens David de plus en plus rapide, sa queue va et vient, s'ecrasant au fond de ma gorge. J'aime tellement le gout de son foutre que je n’attends que ça.

— Putain je vais jouir, gueule Eric, en jetant son sperme sur ma chatte (A temps !)

— Laisse faire le pro, sort Marc (le pro je me marre !) Il prend la place d'Eric et David prend la sienne. Ses mains sur mes hanches me font tressaillir, j'aime son contact.

Mon regard se tourne sur Alban, toujours figé sur moi, mais son regard à changé, il est froid, distant. Il sait que je prends du plaisir avec David, et ça ne lui plait pas trop (pris à ton propre jeu chéri).

David s'enfonce en moi dans un doux gémissement.

— Alineeee, ça m'a manqué ton corps me chuchote t'il à l’oreille.

Je le pousse au fond de moi pour lui répondre, il râle, il aime m'enculer, me remplir. Eric fait plus partie du lot, il est partie se boire un verre et discute avec Bastien. Marc lui me lèche les seins, s'amuse avec mes tétons, tout en pilonnant mon bas ventre. Je sens bien qu'il fatigue, ses mouvements sont plus lents. Sa queue est quand même conséquente, je dois bien lui accorder ça, je la sens bien, elle me remplie bien et à chaque mouvement de lui ou de David, mes soupirs s'accentuent.

— David, je te sens bouger mec !

— Moi aussi, elle est étroite faut dire.

David me tient bien les hanches et me fait onduler, accentuant mes gémissements. Le râle de satisfaction de Marc et la chaleur qui coule entre mes cuisses me fait prendre conscience qu'il venait de se soulager en moi. Reste plus que David, à croire qu'il attendait que ça pour accélérer la cadence. Il me voulait pour lui tout seul. Mes gémissements se transforment en crie, la douleur est intense, mais il continue. Il sait que j'ai envie de lui, qu'il peut y aller fort, que j'adore ça.

Mon regard se tourne vers Alban, qui me fait signe que non.

Il ne veut pas que je jouisse (bah là tu rêves !) David ne me lâche pas, il rentre et sort, visitant mes deux orifices a tour de rôle. Je ferme les yeux pour oublier la présence d'Alban. Et me laisse aller au rythme de mon partenaire, ses mains me maintiennent avec douceur, mais fermement quand même. Je veux qu'il continue, je veux qu'il me remplisse. Mon excitation m'a fait devenir chienne, et pour ce bref instant, je suis la sienne. David explose en moi, son sperme chaud se déverse dans mes entrailles, entraînant mon dernier orgasme.

— Putain elle mouille de dingue commente Eric.

— Alban tu dois en changer des draps avec elle réplique Marc

Je suis a bout de souffle, et je sens David contre mon dos, sa chaleur mélanger à la mienne, et ses mains caressent mon corps engourdit.

— C'est bon David, tu peux la lâcher maintenant ! Intervient Alban.

Quand il ressort, mon corps recrache une dernière giclée et je me sens vidée. Je suis épuisée et je n'ai plus la force de bouger. Alban, prend le relais et m'allonge sur le canapé. J'aperçois David qui me regarde derrière le dos de mon mari, qui ne manque pas de le capter.

— T'es à moi Al, l'oublies pas ! me rappelle Alban.

Je n’ai pas la force de lui répondre, la douleur se réveille et je sens l'hématome de mon bas ventre encore plus brûlant qu'en début de soirée. Positionnée sur le coté, me tenant le ventre, j'ai l'impression d'avoir été boxée.

— Bon les gars, la soirée se termine.

— Bah merci Alban. euh...Salut Aline. ils partent comme ci il ne s'était rien passer. Seul David me sourit pour me dire au revoir.

— Ça va ? me demande Alban.

— J'ai mal au ventre

— Bah faut dire que la journée à été chargée.

Il me parle pas de mon orgasme avec David, il a peut être pensé que je n'avais pas compris son signe de tête, ou je le paierai plus tard.

Il pose une bouillotte chaude sur mon ventre, qui se détend doucement. Et me propose d'aller nous coucher. Je le suis à moitié endormie, et quand on ouvre la porte du corridor, nous nous retrouvons devant Arielle, qui recule d'un coup sachant qu'Alban lui avait expressément dit de ne pas bouger de la chambre. Je sens ses mains se resserrer autour des miennes (là elle a merdé la serpillière).

Au fur et à mesure qu'on avance, elle recule, pour finir par se blottir contre son oreiller sur sa couchette.

Je me déshabille et file à la douche, pendant qu'Alban décroche la laisse d'Arielle de son portant (ouhhh ça va cingler)

De la salle de bain j'entends la voix d'Alban qui là réprimande en claquant la chaîne sur elle.

— Tu vas voir si tu désobéis !

— Pardon Monsieur.

— Qui décide ?!

— Vous Monsieur.

— Qui obéit ?!

— Moi Monsieur.

Elle n'est que sanglot. Pendant que moi je me délasse sous une douche bouillante. Je repense à la soirée, au coup de rein de David, à son sourire en partant. Mes doigts se glissent entre mes lèvres, (non je ne dois pas faire ça), mon envie est plus forte que ma raison, et mes doigts vont là où David me prenait y a encore quelques minutes. Je me tiens à la paroi de la douche et me caresse, j'imagine qu’il me touche, qu'il est là sous la douche, qui tourne en moi, qui m'écarte ses doigts comme il le fait si bien. Comme fond sonore j'ai les cris d'Arielle, et dans ma tête le souffle de David. Mon corps tremble et se lâche dans la douche sous le jet d'eau brûlant qui me lave de tous mes péchés. La maison est toujours bercée par les cris de la serpillère, suppliant Alban d'arrêter et puis le calme se pose doucement.

Je vais pouvoir aller rejoindre mon mari...même si mes pensées ce soir ne sont pas pour lui.

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