J'ai remarqué de nombreuses analogies entre le monde de "l'écriture" et l'athlétisme, notamment (parce qu'il n'y a pas que l'athlétisme, chaque analogie en son temps).

Rien à voir avec les championnats d'athéisme ou personne ne croit plus en rien et où le vainqueur l'est toujours au bénéfice du doute. 

En athlétisme, il y a des sprinters, des coureurs de fond, des marathoniens, et tout ceci au masculin comme au féminin. La mixité rêgne alors que les mexicains pas du tout.

Face à la page blanche, tous alignés au cordeau, les participants à ces courses ou simple coureurs du dimanche, sont tous égaux, sur le principe. Personnellement j'aime les chapitres courts, pour de multiples raisons. Je me fatique rapidement à lire des pages, et des pages, et des pages, et des pages, et des pages, et des pages, et ... Des pages. J'apprécie l'idée que je peux aller boire un café, répondre au téléphone, faire une commission et j'en passe. J'aime l'idée qu'on peut mettre des petit coeur à chaque page et surtout l'idée qu'il faut la tourner souvent. Merci de tourner celle-ci.