4/L’invitation (cinquième partie)

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Je lis le message de Haruka-san. C’est écrit que sont père a reçu un appel, et que toutes ses dettes sont supprimées. Elle me demande si c’est moi qui l’ai fait et ce que j’ai fait. J’ai répondu oui cependant, je pouvais rien lui dire. Puis avoue qu’elle trouve ça un peu effrayant, mais qu’elle ne se souvient même plus quand son père a été aussi joyeux. Qu’elle avait peur de demander ce que j’ai fait, néanmoins, elle écrit que j’ai sauvé son père, et me remercie énormément du fond du cœur. Je lui envoie un jolie je t'en prie.

Elle continue la conversation, qu’aucun mot ne peut exprimer à quel point elle met reconnaissante. S’il y a un quelque chose qu’elle puisse faire pour moi, que je lui dise simplement. Je réponds gentiment, que j’aimerais seulement qu’on passe un moment ensemble chez moi, car je suis seule en l'absence de mes parents. Elle veut bien et me remercie encore. Nous allons nous retrouver demain, ce week-end, je lui ferais des petits biscuits.

Ainsi, Loans Ronshaku a tenu sa promesse. Je prépare un verre d’eau avec une poudre de somnifère puissant. Je donne ce mélange à Musume-chan, elle s’endormit comme un bébé. Ganté, je la remets dans la boîte à musique. Je glisse aussi un morceau de papier avec les effets secondaire du somnifère et de l'anesthésiant. Ils sont un assez nocif pour la santé et le mental. Je ne suis pas médecin à près tout, ni comme eux à ne rien dire .

Il faut un an pour que le corps se remette d'une dose et se nettoie pour l'anesthésie et les deux ont des risques de dépendance et un penchant vers la facilité des drogues pour ne plus souffrir. En pleine nuit, je tire le chariot. Sans bruit, je dépose la malle à l’entrée du bâtiment des Ronshaku. Je rentre, à mon tour de dormir profondément dans mon lit douillet.

Je me réveille contente d’avoir rêvé de mon Senpai. Je déjeune, me lave, j’aime sentir l’eau chaude couler sur moi, les massages des gouttes qui tombe. Les petits ruisseaux chauds parcourent mon corps de la tête au pied en donnent leur chaleur. Ça me caressent. La vapeur rend l’atmosphère brumeuse, mais elle me console grâce à l’enveloppe chaude qu’elle procure. Ma peau humide devient douce et mes doigts se fripent peu à peu. Mes pieds trempent dans la flaque chaude stagnante, je m'amuse à faire de légers éclaboussements. L’odeur des shampoings et gel douche m’envoie dans un paysage magnifique imaginatif. La douche, une pause pour la nouvelle yandere que je suis.

Mes odeurs préférées sont, la fleur de monoï de Tahiti, les agrumes et le chocolat. Prête, j’attends Kokona-chan en commençant à préparer les biscuits. Je sursaute au bruit de la sonnette. Ça fait longtemps que je ne l’ai points entendus. J’ouvre la porte et le sourire de Haruka-san me dit konichiwa (bonjour). Je luis répond, la remercie puis la fait rentré. Je vais chercher les biscuits et les pose sur la table basse. Nous nous installons sur les canapés. Je l’assois sur celui en fasse de la fenêtre et moi à côté fasse au mur. Nous commençons à discuter. Étonnée, elle me dit :

-Waouh ! Quelle grande maison !

-Arigato (merci), mais c’est silencieux et vide depuis leur départ,d’une voix mélancolique.

- J’ai l'impression que tu te sens seul.

- Hai (oui), merci beaucoup d’être venue ! Dite, tu es fan de Kizana sonobu ?

- Je l’admire… TELLEMENT ! Sonobu-san ! Réponds telle exciter. Puis la tristesse pris le dessus en disant, mais j’ai la sensation qu'elle me déteste.

- Peut-être qu’elle essaye de te faire passer un message.

- Quel message ? soupire-t-elle.

- Je ne sais pas, il faut trouver.

- Elle est tellement UNIQUE !

- Tiens ! Voilà une première réponse.

- De quoi ?

- Peut-être qu’elle aime être unique.

- Vraiment ! Je la dérange… dit-elle tristement.

- Ne t’en fais pas, il faut confirmer l'hypothèse, et il y a des solutions à tous les problèmes, sinon ils n'existeraient pas.

- Arigato (merci), comment on la confirme ?

- En lui posant la question, affirmè-je.

- DIRECTEMENT... !

- Heu, oui, c’est plus simple, mais tu peux le faire par écrit.

- Hai (oui), j’espère qu’il n’aura pas un derrière au derrière.

- Ne t'inquiète pas, nous allons essayer de tout prévoir.

- Merci, j'essayerai tout de même de lui parler à l’école, d'une voix enjouée.

- Oui, comme ça, tu pourras peut-être finir sur une belle discussion.

Après ces belles paroles, je l'entraîne à être alaise a l'oral devant son idole et de savoir quoi faire si ça tourne mal. Avoir des exemples de phrases que la réponse soit positive ou négative. Tout en mangeant les biscuits en mettant plein de miette partout. Cette journée était enrichissante et tout se déroula comme sur des roulettes. Je m’endormis seule dans mon lit en revanche fière de moi.

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