Chapitre 48

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- Alors, ta journée ?

- Eprouvante ! Je n'avais rien à faire, je m'ennui !

- Te pleins pas ! Ton père m'a fait rencontrer tout les investisseur haut placé, et ce n'ai pas encore fini. Comment sa c'est passé avec ton nouveau garde du corps ?

- Ne m'en parles pas. Il m'ignore.

- Alors, tout va bien.

- Il est quand même mon ami !

- Il ne l'a plus été, au moment même où il t'a embrassé. Ne nous engagons pas sur cette pente, je n'ai pas envie de me disputer avec toi à son sujet.

Sur ces dernière parole, il lui tourna le dos. Ellie était très engagé envers Kyle. Nick se demandais si elle allait un jour oublier tout ses sentiment pour lui. Cette rencoeur lui rongeait de l'interieur. Toute la journée, il s'était demandé ce que Ellie fesait. Il l'imaginait l'embrassé, rire à plein poumon avec se dernier. Il gigotait tant il était en colère. Il se leva, enfila son peignoir.

- Où vas-tu ?

- J'ai besoin de prendre l'air.

Ellie le sentait, son couple allait mal. Après toutes ces péripétie, les choses sont allé tellement vite . . . Elle souffla, et se leva à son tour. Elle rejoignie Nick, qui était sur la terasse de leurs chambre. Elle l'attrapa par la taille, lui, fixait le ciel assombrit par le brouillard. Elle le força à se retourner, pris son visage, pour l'approcher du siens. Il semblait si vide, si faible face à elle.

- Nick, je n'aime pas nous voir ainsi.

Il se detourna. Il avait l'impression de ne plus la reconnaitre, depuis que Kyle était là, elle semblait si différente.

- J'ai refléchis. Je suis prêt à tout pour toi.

- Qu'est ce que tu veux dire ?

- Je t'aime, mais si ton coeur appartient à un autre, alors jamais je ne pourrais t'obliger à rester avec moi. Parce que je ne veux pas te voir souffrir, et je ne veux pas souffrir non plus. Tu comprends ?

- Mais c'est toi que je veux !

- Ce n'ai pas suffisant.

- Et je t'aime. Tu ne peux pas le nier.

- Et lui dans tout ça ? Pourras-tu l'oublier ?

- C'est mon ami. Rien de plus.

- Je ne sais pas. Je ne sais plus Ellie. J'ai l'impression de devenir fou.

- Tu ne l'ai pas ! Si tu veux tout savoir, oui, j'ai eu un moment d'égarement. Mes sentiments étaient si fort pour toi, tu m'avais bléssé, brisé le coeur, et c'est en Kyle que j'ai trouvé ce que je cherchais. Je ne te parle pas d'amour, comprends le. Je te parle d'une epaule sur laquel pleurer, un ami sur qui je peux et j'ai pu compté par le passé. Il ne t'a pas remplacé, non ! Il à été là au moment où j'en avais le plus besoin, dans le moment où j'étais la plus vulnérable. Et quand tu es réaparu, j'étais si perdu . . . Je me suis induite moi même en erreur croyant avoir des sentiments amoureux pour lui. Mais ce n'était que de l'amitié. Une amitiée si forte, presque fusionnel, que je me suis confondu. Alors, arrête, arrête maintenant. Et sois à moi entierement.

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