Chapitre 45

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Les yeux de Kyle étaient rivé sur Ellie qui était intimidé par ce dernier.

- Si tu continu à la dévisager comme ça, sa pourrai se terminer en bagarre.

- Je n'aime pas ce Mec.

- Mais elle oui. Pourquoi as tu accepté ce travail ? Tu sais bien que Nick ne manquera pas une occasion de te tomber dessu.

- Je sais. Mais il en vas de la vie de Ellie.

- Je ne comprends pas pourquoi Mike te l'a demandé à toi, il aurait pu le demander à nimporte qui !

- Il sais que je donnerais ma vie pour elle.

- Qu'elle salaud !

- Papa, calme toi.

- Sa m'enerve qu'il profite de toi.

- Et qu'en pense Ellie de tout ça ?

- Ah, tante Suzi. On a pas eu vraiment le temps d'en discuté, que Nick est arrivé. Elle n'avait pas l'air vraiment d'accors avec ça, mais ce n'est pas elle qui décide de toute façon.

- Pauvre Ellie !

- Je pense que je ne vais pas tarder à rentrer. Je dois me lever tôt demain matin. Et je dois encore préparer quelque affaire.

- Promet moi que si sa tourne au vinaigre, tu rentreras à la maison.

- Tu sais bien que je ne fait pas de promesse papa.

Sur ces dernier mots, il s'était déja eloigné.

- J'ai mal pour lui.

- Il s'en remettra.

- Cameron, Susanne, tout vas bien ?

- Oui, merci.

- Où est passé Kyle ?

- Il vient de partir. Il commence tôt demain.

- Où va-t-il loger ?

- Dans la dépendance, je crois.

- Je ne comprends pas mon père.

- Il veut juste te proteger.

- Me proteger de quoi ? Je n'ai pas pu le demander à Kyle ?

- Nous n'en savons pas plus que toi ma petite.

- Ellie, je te cherchais partout.

- Je suis là Nick, je ne vais pas m'envoler. Dit elle pour le taquiner.

- Cameron, Suzanne.

- Nick.

- Nick, comment te portes tu mon garçon ?

- Très bien Suzanne. Merci. La fête vous plaît-elle ?

- Oh oui ! Tout est parfait.

- Tant mieux alors. Je vous enlève Ellie quelque instant.

- Oui, bien-sur.

Pendant qu'ils s'éloignaient Cameron rechignait dans sa barbe.

- Il est si attentionné, dit Suzanne.

- C'est un idiot fini !

Nick, mît une main sur les yeux de Ellie qui avançait avec prudence.

- Qu'est ce que tu mijottes ?

- Fermes les yeux, ne regarde surtout pas. À trois, Un . . . Deux . . . Trois . . . Ouvres les yeux.

Un berceau, un rocking chair, une énorme peluche, et plein de petite chose pour bébé.

- C'est . . . Je suis toucher Nick.

- Bien sur, ce n'est que provisoire. Le temps que les travaux ne soit terminé chez nous.

- C'est juste, parfait.

- Tu es heureuse ?

- Le plus beau des cadeaux.

- Et que penses tu de celui-ci ?

Elle se retourna, et qu'elle n'en fut pas sa surprise de le voir un genoux à terre en lui présentant ce petit écrain.

- Ellie Black, accepterais tu de devenir ma femme ?

- Oh Nick. C'est tous ce que je désire. Alors Oui.

Elle lui sauta dans les bras et l'agrippa si fort, qu'il aurait pu s'étouffé si elle ne lui avait pas laché pour s'excuser.

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