Chapitre 8

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Un bruit sourd résonna sur la fenêtre de Ellie, ce qui la fît sortir de son sommeil. Regardant partout, et se demandant ce qu'il ce passe, elle alla ouvrir celle-ci pour regarder dehors. Un sifflement lui attira l'attention, une silhouette se tenait sous le pommier.

- Vous êtes vous amusez ce soir?

- Ah c'est vous! Attendez, je vous rejoint.

Un châle sur les épaules, Ellie descendit délicatement les escaliers sans faire de bruit. Elle ouvrit la porte et invita Nick à s'asseoir sur la balancelle sous le porche. Il avait un costume gris, ce qui la mît un peu mal à l'aise car elle était en pyjama. Sans dire un mots ils regardaient le champs de blé en face d'eux, que faisait-il ici à une heure pareil? Minuit passé.

- Alors, mon père dit, que vous vous êtes enfuis d'un orphelinat.

- Des ragots? Je suis étonné! Dit-elle avec ironie.

- Je suis navré.

- Ne le soyez pas. Je suis nouvelle au village, c'est normal de supposer des choses.

- Alors?

- Alors quoi?

- Racontez moi ce qui vous à emmené ici. . .

Elle sourie en coin, ce garçon s'intéressait-il à elle?

- Tout d'abord, faites moi plaisir, cessez de me vouvoyer.

- Bien, si vous en fait de même alors.

- D'accords. Alors, pour tout vous. . . Pour tous te dire, j'ai fuis ma famille et je me suis retrouvé ici.

- Pourquoi as tu fuis?

- C'est compliqué. Mon père, est très à cheval sur les règles de la famille, je le qualifierais de bourau. Et si ont changeait de sujet?

- Comme tu veux. Tu veux parler de quoi?

- De tout, sauf de ça. Tu sais qu'il y a une rumeur qui cours sur toi aussi? Dit-elle amusé.

- Il y a de nombreuses rumeur qui cours sur ma famille. Quel est la tienne?

- On dit que tu serais peut-être en couple avec un certain. . . Paul.

- Paul dis-tu?! Mon assistant donc? Et pourquoi ces rumeurs court-elle?

- Parce que personne ne t'a déjà vu au bras d'une femme.

- Sottise! Je suis bien sortis avec une fille, mais sa n'a simplement pas duré. Et puis, je n'aime pas étaler ma vie privé sous les yeux de toutes ces personne qui n'ont rien d'autre à faire que des commérages.

- Je te comprends. Là d'où je vien c'était comme ça tout les jours!

- Je croyais que tu ne voulais pas parler de ça?!

- Certain sujet sont inévitable je crois.

- Dites moi mademoiselle Blake, quel âge avez-vous?

- Et toi, quel âge as-tu?

- Je l'ai demandé d'abord!

- J'ai. . . Et pourquoi veux tu savoir mon âge?

- Hum, je vois! Tu doit-être bien jeune alors.

- J'ai dix-sept ans.

- Trop jeune même.

- Quel âge me donnais-tu?

- Je ne sais pas.

- Avoue, tu y as déjà pensé.

- Dix-huit ans tout au plus! Je vais devoir y aller.

- Non, attends. Tu ne m'as toujours pas donner ton âge!

- Ne croyez pas que je vais vous donnez mon âge après révélation du votre. Je passerais sans doute pour un vulgaire pervers à vos yeux.

- Et pourquoi je vous considérerez de la sorte monsieur De Vallon?

Elle s'approcha de lui, scruta ses yeux,

- Parce que depuis que je vous ai vu dans cette robe rouge, je n'arrête pas de pensé à vous.

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