Chapitre 5

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Voici le 5 ème chapitre, n'hésitez pas à commenter ;-)


Le lendemain matin, on est réveillés par des bruits de vaisselle provenant de la cuisine à coté.

T et B: Bonjour.

S: Ah bonjour les garçons. Désolé je vous ai réveillé, j’ai essayé de faire le moins de bruit possible mais comme il fallait faire la vaisselle d’hier....

T et B: Pas grave. En lui souriant tout les 2.

S: Vous avez bien dormi quand même? Ben, pourquoi tu n’as pas regagné ta chambre? Vous n’avez pas joué toute la nuit j’espère?

B: Je me suis endormi pendant que l’on parlait et m’en suis pas vraiment rendu-compte et non on a pas touché à la console cette nuit.

Après avoir prit le petit-déjeuner ensemble, on part de nouveau au salon pour jouer à la console.

Vers 13h on passe à table. Sophie nous a fait une omelette avec des toasts et une tranche de jambon. Simple mais bon.

Pendant le repas, Sophie me pose des questions sur mes études et ma famille mais je suis un peu gêné d’expliquer ma situation familiale. Je me rends vraiment compte que je suis un privilégié par rapport à eux et je trouve que c’est délicat de raconter ma vie sans paraître prétentieux.

Après quelques heures de jeux et de discussion, je rentre chez moi en fin d’après-midi et la soirée se passe en famille.

Le lendemain matin, retour au bahut, la journée se passe bien. On a un devoir à faire en histoire et à rendre pour jeudi donc on décide Ben et moi de le faire ensemble le mercredi après-midi chez moi vu qu’il n’y aura personne. Mes parents travaillent et mon frère est chez nos grands-parents.

Le mercredi à midi, on rentre tous les 2 à la maison, ma mère a préparé la veille un gratin de pâtes pour nous 2 que l’on a juste à mettre au four.

Après manger, on joue à la console pendant 1h avant de se mettre au boulot. On reste sage de l’après-midi hormis des bisous.

À 17h, la dicerte et les quelques autres devoirs sont terminés.

T: Tu veux quoi pour le goûter?

B: Toi!

T: Je ne crois pas être très comestible...

B: on va voir ça. Avec un regard et un sourire pervers.

Et sans que je m’y attende il m’attrape pour me diriger sur le lit. On s’embrasse tendrement pendant plusieurs minutes tout en se caressant en dessous des t-shirts.

Ben commence par retirer mon t-shirt, je fais de même avec le sien. Il me suçote les tétons et me fait des bisous dans le cou. Il s’attaque ensuite à déboutonner mon pantalon, pendant que je faisais pareil avec son short. On se retrouve en caleçon tous les 2, et je reconnais que celui qu’il porte n’ést autre que celui que je lui avais prêté 2 semaines plus tôt et dont j’avais oubliés. Nos sexes sont en formes et ne demandent qu’a sortir de leurs prisons de tissus. Après m’avoir caressé et embrassé certaines parties du corps, Ben me retire ce dernier rempart et prit en main mon sexe pour en faire des vas et vient pendant quelques minutes avant de le prendre en bouche. Le contact avec cette cavité chaude et humide est électrisant. Il me suce pendant une dizaine de minutes avant que je puisse le prévenir que je vais éjaculer. Il se retire à temps mais reçoit quand même mon sperme sur le visage, malgré cela il garde son magnifique sourire.

Pour lui rendre la pareil, je lui enlève aussi son (mon) caleçon et lui fais quelques aller-retour avant de prendre en bouche son pénis de 14 cm semblable au mien. Après quelques minutes il me prévient qu’il ne tiendrait pas longtemps et donc je retire son sexe de ma bouche mais continue les vas et vient avec ma main devant mon visage. Il se déverse sur celui-ci. Je remonte au niveau de son visage qui comporte encore les traces de ma jouissance et on se roule des pelles mélangeant nos salive et un peu de nos sperme qui ont coulés. Le temps s’étant écoulé, on va prendre une douche à 2 en vitesse dans la grande douche. Après cela on se dirige vers la cuisine pour boire un verre de jus de fruit. Quelques minutes après ma mère rentre avec Robin qui nous joue la tornade tellement il est en forme ce gosse.

Ben rentre chez lui juste après, au moment de partir on dû juste se faire la bise vu que ma mère était dans la pièce à coté.

La fin de semaine se passe tranquillement comme les semaines suivantes. On entretien notre relation secrète avec Ben et elle évolue tranquillement. On se voit tout les mercredis après-midi pour faire nos devoirs et de petits câlins et on dort ensemble presque tout les samedis soir chez lui ou chez moi.

Nous en somme toujours aux caresses et fellation, ne se sentant pas prêt ni l’un ni l’autre à passer à l’étape supérieure.

Un jeudi, alors que l’on est entrain de discuter avec notre groupe d’amis dans un coin d’herbe de la cour, on décide Ben et moi de leur dire pour nous.

T: Les amis, on a quelque chose à vous dire Ben et moi?

J: Dépêche toi alors car il faut que j’aille aux chiottes avant la sonnerie. En souriant mais je n’y vois rien de méfiant.

T: Bah voila, Ben et moi, on est ensemble.

C: Mais oui, on voit que vous êtes tout le temps ensemble. En faisant rigoler tout le monde.

T: Non ce que je veux dire s’est que..... nous sommes gay et en couple.....

Et la je remarque que Jerem’ et Chris’ sont tout sourire alors que Gaby et Élo font une tête presque d’enterrement. Je commence à avoir peur vu que je ne les pensais pas homophobe.

J: Bon aller vous 2 en s’adressant à Gaby et Elo’, à nous la monnaie, j’espère que vous êtes passé à la banque, je ne prends que des billets, en rigolant avec Chris’.....

Ben et moi on se regarde interloqués.

On voit Gaby et Elo sortir des billets de 20€ pour en donner un chacun à Jerem’ et Chris’ qui eux sont tout content.

T: C’est quoi ça??

J: Oh bah on avait compris pour vous... En nous faisant un clin d’œil.

C: On avait parié que vous étiez en couple MDR.

E: Gaby et moi on pensait pas et on avait dit que non. L’air énervé mais pas méchamment.

B: Vous avez parié de l’argent que Tommy et moi étions ensemble? Depuis quand? Et comment?

J: Bah on va dire que vos regards ne sont pas très discrets et vous dégagez entre vous une tension sexuelle, difficile de pas le voir. Avec un grand sourire.

DRINNNG

T: Jerem’ t’étais pas sensé aller au toilette?

J: Non, j’étais surtout pressé de récupérer l’argent du pari. En me faisant un clin d’œil.

On retourna en cours après avoir repris Ben et moi nos esprits après qu’on se soit rendu compte que nos amis savaient pour nous et qu’ils attendaient qu’on leur dise, en espèrent que personnes d’autres ne s’en soient rendu-compte….

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