Chapitre 29

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Jack ne comprenait pas où il était. Il se trouvait en face de la maison d'Olympe à Seed, mais les alentours étaient différents. La maison était la même mais celles autours n'étaient pas les bonnes. Olympe s'avança vers lui, heureuse de le retrouver.

—Jack ! fit-elle en s'avançant les bras ouverts vers lui.

—Olympe ? répondit Jack en la prenant dans ses bras.

—Tu m'a manqué.

—À moi aussi, dit Jack en fermant les yeux un instant avant de les rouvrir.

En les rouvrant, Jack vit cet homme, le Commando MOCH vu dans la vision d'Harmonie, celui qui ne portait pas la même armure que les autres. Celui-ci pointa un pistolet sur Olympe et s'apprêtait à tirer.

—Non ! Cria Jack, tout en se plaçant dans l'axe de tir pour protéger Olympe.

Le coup de feu retentit. Jack ne sentit même pas la balle. Il se retourna et le MOCH avait disparu. Comment était-ce possible ? Lorsque Jack regarda de nouveau Olympe, celle-ci s'effondra au sol. Jack ne savait pas comment, mais malgré qu'il se soit placé dans la trajectoire de la balle, il n'avait rien pu faire. Comme si la balle l'avait contourné pour se loger directement dans le ventre de la jeune femme.

—Non... non, Olympe... dit-il en pleurant pendant que tout ce qu'il y avait autour d'eux disparaissait.

—Jack... dit Olympe. Tout ça c'est à cause de toi.

Jack se réveilla en sursaut. Tout ça n'était qu'un cauchemar. C'était la deuxième fois qu'il voyait en cauchemar, la mort d'Olympe. A chaque fois, elle mourrait d'une balle dans le ventre. il essaya de chasser ce mauvais rêve de son esprit, puis repensa à ce qu'il s'était passé la veille, à la vision. Celle qui lui avait fait voir un futur possible. Un futur où les paranormaux seraient traqués, arrêtés et déportés. Il ne voulait pas que cela arrive. Car si ça arrivait, des milliers de paranormaux seront privés de leurs libertés, et lui, il pourrait également en faire partie. Pire encore, il pourrait faire partie des milliers de paranormaux victimes des combats. Si toutefois il y aurait des combats. Ce que la vision ne permettait pas de voir.

Au départ, il ne savait pas trop quoi penser de cette "vision". Après tout, Harmonie lui avait bien dit que toutes ne se réalisaient pas forcement. Mais si c'était le cas, il y avait des risques qu'il soit éloigné de celle qu'il aimait. Voire même un risque que celle-ci fassent partie des victimes. Il ne voulait pas que ce qu'il avait vu à deux reprises dans ses cauchemars se réalise. Il se leva et décida qu'il devait agir. Trouver un moyen pour que cette vision ne se réalise pas. Il prit sa veste, l'enfila et s'en alla voir la sorcière.

En arrivant dans la salle du trône, il fut surpris de voir deux individus qu'il identifia comme étant des commandos de l'ombre. Ces derniers venaient d'achever leur conversation avec la sorcière et étaient en train de quitter la salle.

—Attendez... fit Jack en accélérant le pas pour arriver devant la sorcière d'Azur. Les ombres sont ici ? Et elles sont sous vos ordres ?! demanda-t-il inquiet.

—Oui Jack. Elles n'acceptent de servir que les personnes qu'elles jugent dignes. Souvent ça inclut les paranormaux les plus puissants ou les chefs de guerre les plus prestigieux. Ne craint rien. Ils ne te feront rien. Je leur en ai donné l'ordre.

—Mais depuis quand ils vous servent ?

—Depuis onze ans.

"Onze ans". Alors ils étaient déjà sous son commandement lorsqu'ils ont attaqués le camp véerèmois à Dalkia il y a trois ans. Cette annonce fit l'effet d'un coup de poignard pour Jack.

—Mais alors... c'est VOUS qui leur avez ordonné d'attaquer le camp militaire allié il y a trois ans. C'est VOUS qui avez failli faire tuer mes amis !

—Assez ! cria la sorcière en se levant.

Jack s'arrêta de parler. Mais il bouillonnait de rage. Et Harmonie le savait.

—Jack... mon garçon, reprit-elle en s'avançant vers lui. Tu ne réalises donc pas l'ampleur de la situation. Les paranormaux sont détestés. Tu as bien vu ce qui risque d'arriver, non ? ... dans la vision... Si j'ai ordonné l'élimination de tes amis il y a trois ans, c'était uniquement pour te protéger.

—Me protéger ? demanda Jack qui essaya éperdument de comprendre ce qui avait bien pu lui passer par la tête.

—J'ai eu des centaines de visions Jack. Comme je te l'ai dit, certaines te concernaient. Tu as un potentiel énorme Jack et tu es voué à un grand avenir... Mais cette fille, Olympe, dans mes visions, elle risque de causer ta perte. Tout comme ton père risquait de causer la notre.

—Comment...

C'est MOI qui ait vendu l'information sur la localisation de ton père au Efdéème.

—Quoi ?

—Ton père devenait fou. Il n'arrivait plus à différencier ses amis de ses ennemis. Et le Véerème, le Efdéème, l'Empire, toutes les grandes puissances craignent les paranormaux. Et c'est pareil pour Dalkia. Le laisser en vie aurait accéléré la guerre. Et tu l'ignores certainement, mais il y a trois ans j'ai eu une vision à ton sujet. Le Efdéème avait engagé quelqu'un pour te tuer. Veux-tu que je te la montre ?

Jack sentit monter sa colère. Mais il était curieux de voir ce qu'elle avait vu de lui.

—Approches, ajouta la sorcière. Tu verras que ce que je dis est vrai. Si je n'était pas intervenu il y a trois ans pour ralentir Akeba Leonas, il t'aurais retrouvé beaucoup plus tôt que ce que tu pourrais croire.

Jack s'approcha d'elle. Elle posa sa main sur sa tête et Jack fut projeté un peu moins de trois ans dans le passé, dans le TransPacifique. Il se vit en train de discuter avec la jeune Komitose qu'il y avait rencontré : Anata.

Il se vit être interrompu par une énorme explosion qui secoua le train. Les passagers se mirent à crier. L'explosion avait coupé le courant, le train se retrouvait désormais plongé dans le noir. L'autre Jack, celui de la vision se mit à regarder par la fenêtre. Au moment de l'explosion, le train était engagé dans un virage vers la gauche. Ce qui fait qu'en regardant par la fenêtre, il pouvait voir assez aisément ce qu'il se passait dans les autres wagons. Du moins ceux qui étaient devant le siens. Il vit des hommes armés entrer dans le premier wagon. Celui juste derrière la locomotive. Merde se dit le Jack de la vision, à lui-même.

—Quoi ? demanda Anata qui commençait à comprendre ce qu'il se passait.

—Ok Anata... il faut qu'on sorte du train. Des hommes armés viennent d'entrer.

Depuis le wagon où ils se trouvaient, on pouvait entendre des coups de feu. Tous les passagers du Wagon réalisèrent que ça n'était pas un accident ou quelque chose du genre, mais bien une attaque. Ils commencèrent donc à paniquer et à tenter de sortir, pour fuir dans les bois.

Jack se vit prendre l'un de ses deux sacs, celui dans lequel il y avait rangé une arme. Il le posa sur la banquette, l'ouvrit et sortit le pistolet et y engagea un chargeur.

—Tu... tu avais une arme ? dit Anata debout à côté de lui.

—Oui... moi aussi au départ j'ai trouvé ça con d'en prendre une... Mais finalement, je ne regrette pas, lui répondit-il en endossant son sac et en prenant la main de la jeune Komitose. Viens... il faut sortir au plus vite.

Il laissa son deuxième sac dans le train. Dans une telle situation, pas la peine de s'encombrer davantage. Ils se dirigèrent vers la porte la plus proche, à l'avant du Wagon, celle qui permettait de l'ouvrir et d'ouvrir celle du wagon d'en face pour y entrer. Les deux portes avaient une espèce de hublot permettant de voir ce qu'il se passait à l'intérieur des wagons. Jack vit alors que dans celui d'en face, un commando de l'ombre se dirigeait lentement vers le siens.

—C'est pas vrai... pas eux !

Les coups de feu continuaient. Les trois tireurs devaient faire un massacre. Mais pourquoi assassinaient-ils les pauvres passagers de ce train ? Pas le temps d'y réfléchir. Jack repris la main d'Anata et l'emmena à l'arrière du Wagon, là où tous les autres passagers étaient descendus.

Il avait vu trois hommes entrer dans les wagons de devant. mais il n'avait pas vu que d'autres assaillants étaient entrés dans ceux de derrière.

—Je l'ai ! cria l'un d'entre eux qui ouvrit le feu sur les deux jeunes fuyards.

Jack pointa son arme vers lui et se mit à tirer pour couvrir leur fuite. L'assaillant, pour se protéger des tirs, se mis à couvert dans le wagon. Soudain les coups de feu à l'intérieur du train étaient plus fréquents et aussi plus rapides. Les tireurs étaient passés au tir en automatique. Jack regarda les fenêtres et vit du sang gicler et entendit des cris d'effrois. Il comprit assez rapidement que le commando de l'ombre n'était pas avec les assaillants et que ceux-ci étaient en train de se faire massacrer un par un par l'ombre.

—C'est notre chance, dit Jack, incitant la jeune Anata à poursuivre la course.

Mais la jeune femme n'avança pas et tira le bras de Jack, l'empêchant de reprendre la fuite.

—Anata ? demanda Jack qui cherchait à comprendre la raison pour laquelle son amie ne voulait pas reprendre la course.

La jeune femme avait son autre main plaquée sur son torse. Du sang coulait entre ses doigts. Puis elle retira sa main laissant apparaître une énorme tache de sang qui continuait de couler. La jeune Komitose avait probablement été touchée par l'un des tirs. Elle s'effondra au sol.

Jack s'agenouilla à côté d'elle.

—Non... Non... C'est pas possible... Non.

Il regarda autour de lui pour appeler à l'aide, mais les passagers étaient bien trop occupés à fuir à travers les bois. Aucun ne s'arrêta pour porter secours à la jeune Komitose.

—Anata je t'en pris, ne meure pas...

—Je suis... je suis désolée Jack...

—Non Anata... Restes avec moi... je t'en prie... Tu dois encore voir Sylvestria, tu voulais que je vienne chez toi tu voulais que...

—Jack... laisses moi, sauves-toi... termina la jeune Komitose avant de s'éteindre pour toujours.

Les larmes coulaient sur les joues de Jack comme elles coulaient sur celles du Jack de la vision.

Puis les larmes laissèrent leur place à la colère. Le Jack de la vision ne voulait pas fuir. Il voulait faire payer ces monstres pour ce qu'ils venaient de faire. Il reprit son arme, se releva les sourcils froncés, les yeux remplis à la fois de colère, de haine et de tristesse et remonta dans le train.

Les mercenaires, trop occupés à chercher après l'ombre qui les attaquaient, n'avaient pas vu le jeune paranormal entrer dans le train. Deux d'entre-eux ne savaient pas qu'il était derrière eux. Jack leva son arme et en deux tirs, il assassinat les deux hommes d'une balle en pleine tête. Il constata que l'un des deux était un komitose, comme Anata. Son chargeur était désormais vide. Il n'avait pas récupéré son sac dehors, il n'avait donc pas la possibilité de le recharger. Il jeta donc son arme au sol.

—Ne bouges plus ! cria un homme derrière lui.

Jack se tourna vers lui. Lorsqu'il vit le visage du jeune garçon, l'assaillant laissa apparaître un énorme sourire.

—Je l'ai... dit-il à ce qu'il restait de son équipe.

Jack était sur le point d'exploser. Il réussit à arracher le fusil des mains de son adversaire. Puis, il ressentit de l'électricité parcourir son corps.

—Mais qu'est-ce que... dit l'homme en voyant l'électricité parcourir les bras de sa cible.

Jack pointa ses deux bras tremblant vers lui et des éclairs en jaillirent, tuant alors le mercenaire. Après quoi Jack ressorti du train.

À peine sortit, le commando de l'ombre se mis devant lui. Il regardait Jack sans rien dire. Jack craignait ces choses. Il avait vu de quoi elles étaient capables. Il avait vu la vitesse à laquelle elle se déplaçait, comment elle pouvait parfois esquiver les balles,... Mais là, son attention était tellement focalisée sur Jack qu'il ne vit pas arriver l'un des mercenaires qui envoya une balle en pleine tête.

Jack se tourna vers le tireur. il s'agissait d'un elfe qui avait une cicatrice sur la joue. Après avoir tué l'ombre, ce dernier avait eu le temps de changer d'arme et tira sur Jack qui n'eut pas le temps de réagir. Il sentit un projectile se planter sur le torse. Il baissa la tête et y vit une espèce de fléchette. Il devina très rapidement ce qu'elle contenait... de l'"anti parapsychique", la drogue anti paranormal qu'avait fournit Hal au Efdéème.

l'Elfe rechargea son fusil avec une seconde fléchette qu'il envoya sur Jack. Celle-ci contenait un simple tranquillisant qui endormit Jack qui tomba raid sur le sol.

—Putain ! cria l'elfe, tu était vraiment plus facile à capturer que ce qu'on m'a dit.

Sur ces paroles prononcées par le chasseur de prime elfe, la sorcière ramena Jack à la réalité. Il avait les larmes aux yeux et s'agenouilla sur le sol. Dans cette vision, il avait vu Anata mourir. Il savait que ça n'était qu'une vision, que la sorcière avait fait en sorte que ça n'arrive pas. Mais il avait tout de même vu la scène et vu son amie mourir, comme il avait vu dans son dernier cauchemar, sa bien aimée périr d'une façon similaire.

—Je suis désolée d'avoir dû te montrer ça Jack... mais tu vois que si je n'était pas intervenue ce jour-là, tu serais retenu prisonnier par le Efdéème, tu te serais fait torturer et même tué.

—Je... je ne comprend pas, fit Jack en pleurant. Pourquoi ?

—Je te l'ai dis, ils nous détestent tous. Sans exception. Mais ensemble, on peut gagner. On peut faire en sorte que ce que je t'ai fait voir hier n'arrive pas.

Jack utilisa ses pouvoirs pour soulever la sorcière puis la claqua contre le mur situé derrière son trône avant de la bloquer, toujours grâce à ses pouvoirs. Puis il se leva.

Il y a encore quelques mois, quelques années, il n'aurait pas été capable de contrer la puissance de cette femme qui se retrouva surprise par sa puissance.

—Je te remercie d'avoir sauvé Anata et... Je suis particulièrement d'accord avec toi... sur le fait qu'il faut sauver les paranormaux et empêcher la création de ce « Nouvel Ordre », reprit Jack en renforçant son emprise sur la sorcière. Mais je ne pourrais pas le faire avec toi à mes côtés...

Harmonie tenta de lutter contre la puissance de Jack mais n'arrivait pas à se défaire de son emprise. Il était trop puissant. Bien plus puissant que ce qu'elle pensait lorsqu'elle le vit pour la première fois. Bien plus puissant qu'elle. Jamais elle n'avait ressenti une telle puissance chez un paranormal quel qu'il soit... pas même chez Lucien Kain, le père de Jack.

—Je ne t'en veux pas d'avoir fait tuer mon père, reprit Jack. Je ne l'ai pas connu. Mais tu as envoyé les ombres à Dalkia, tu essayé de tuer mes amis... Et celle qui compte le plus pour moi. Et ça je ne peux pas te le pardonner.

—Jack... dit Harmonie.

Elle regardait Jack dans les yeux. Elle savait qu'il allait la tuer. Elle pouvait le lire dans ses yeux. Cette rage bouillonnante. Elle savait que Jack était la clé, qu'il était celui dont les paranormaux avaient besoin pour continuer à exister. Mais elle ne serait plus là pour le voir. Une fraction de seconde plus tard, Jack lui brisa la nuque avant de la relâcher. Elle s'effondra au sol.

Jack venait d'éliminer l'un des paranormaux les plus puissants d'Utopia. Et le tout en quelques secondes seulement. Il mit quelques instants à réaliser ce qu'il venait de faire. Il tremblait de peur.

À des milliers de kilomètres de là, Lady Naturia, toujours très connectée à Jack, ressentit ce qu'il venait de se passer. Elle vit comme un flash dans sa tête, lui montrant ce que venait de commettre son "élève". Elle hurla de douleur, de colère avant de s'effondrer au sol en pleurant. Pour elle, elle venait d'échouer avec Jack. Pire, elle avait créé un monstre, le "monstre" dont Jack avait peur de devenir. Elle se sentait coupable.

Quelques secondes après qu'il ait tué la sorcière, des commandos de l'ombre entrèrent dans la salle du trône. Ils virent le corps inanimé de leur maîtresse et comprirent ce qu'il venait de se passer. Ils devinèrent qu'elle venait d'être assassinée par son invité. Ils encerclèrent le jeune paranormal et se mirent en position de combat, attendant l'ordre de leur chef, un commando de l'ombre entièrement noir.

Jack repensa à Naturia, le jour où elle lui avait dit qu'il avait un énorme potentiel. Il se sentait maintenant investi de la quête que s'était donné son père, celle de sauver les paranormaux et d'instaurer une paix éternel sur Utopia. Il sentit l'électricité circuler dans ses bras. Ses bras commencèrent à produire des étincelles.

—Allez... venez, dit Jack en commençant à produire des éclairs avec ses bras. Je vous attends.

Dans le plus profond silence, les commandos de l'ombre se mirent à l'attaquer. Mais même s'il y a encore trois ans, le paranormal n'aurait probablement pas réussis à vaincre autant de « Méchants », à lui seul, aujourd'hui, ces derniers ne pouvaient rien face à lui. Ses pouvoirs avaient probablement plus que décuplé depuis la guerre de Dalkia. Les commandos de l'ombre faisaient partis des êtres les plus craints et les plus effrayants d'Utopia. Pourtant, Jack se jouait d'eux comme s'il s'agissait d'une bande de voyou mal organisés.

Jack tira un certain plaisir à massacrer ces ombres. Il riait en même temps qu'il envoyait valser sa foudre sur ses cibles. Celles qui réussirent à échapper à la foudre furent projetées sur les murs, étranglées ou empalées sur des piques qui constituaient certains ornements de la salle. En moins de trente seconde, tous les commandos de l'ombre présents étaient à terre. Sans compter les dégâts qu'ont produit les éclairs perdus, sur les mûrs.

Jack regarda l'état de la salle et pu alors constater l'étendu de ses pouvoirs... de sa puissance. Une puissance qu'il arrivait à gérer, à commander à sa guise, comme l'était capable Hal Damon, son ancien modèle qu'il avait très certainement dépassé depuis un long moment.

Jack se donna alors pour mission de faire tout ce qui était en son pouvoir pour protéger la cause des paranormaux et de bâtir un nouveau monde où ils auraient leur place. Où ils pourraient vivre avec les autres, sans craindre pour leurs libertés. Un monde sans guerre, un monde placé sous sa propre autorité. Mais pour cela, il lui fallait une armée. Et il savait exactement où la trouver. Pour cela, il devait retourner à Dalkia où en même temps, il en profiterait pour rendre visite à Olympe, celle qu'il aimait plus que tout au monde.

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