Je me réveille encore attachée ! Bravo ! Super Lucie, dans quoi tu t'es encore fourrée ma belle ! Mais là, aïe, putain ça fait mal ! Ce n'est pas dans les mêmes conditions. Punaise ! j'ai mal partout.

La douleur augmente au fur et à mesure que mes sens reviennent. Je lève les yeux, et tourne la tête de toute part. Je vois que mes bras sont attachés à une poulie. Mes pieds frôlent le sol. Mes épaules me font mal. En fait tout mon corps me fait mal.

J'essaie de remettre mes idées en place, et comprendre ce que je fais là. Puis des petits flashes reviennent. Je vois Marc, son sourire, ses mains sur moi, ses baisers dans mon cou. Humm !! Puis d'autres flashes, moins agréables ! Son regard machiavélique ! Ah oui, ce "dominant prédateur". Il n'avait pas trop apprécié mes paroles. Ah ah !! Oh et puis, je l'ai bien roulé. Trop fière de moi !!

Hé hé !! Enfin, jusqu'à ce que je me retrouve dans cette camionnette. Punaise respirer dans un mouchoir pour faire la sieste deux jours de suite. Ça fait beaucoup quand même ! Non ? C'est bien ma belle, garde ton sens de l'humour ! Ça peut être bien de ne pas trop paniquer ! Hein !! Cool, pourquoi il te ferait du mal ? Et puis je ne pense pas croire que Super Marc puisse faire quelque chose. J'espère juste qu'il ne fait pas partit des ces débiles mentaux.

J’entends du bruit. Je plonge la tête au sol, en faisant semblant de dormir.
Leurs pieds traînent au sol. Ils font traine-savattes. Calmes toi, si tu rigoles t'es foutue ma poulette !

— Tu crois qu'elle dort encore ? 

— Sais pas ! Faut tester !
Tester ? Je n'ai pas le temps de penser qu'une douleur me traverse le corps et m'empêche de respirer. 

— Mais ça va pas ? Bande de débiles !

Je lève la tête ! Oh mon Dieu, un copié-collé ! Chapi-chapeau !! Et en plus ils sont affreux !
Une deuxième douleur plus forte. Lucie ferme ton clapet.
Une main attrape mon menton et je me retrouve face à des yeux injectés de sang. Et là j'ai peur ! 

— Ah !! Ma petite salope ! Voilà le regard qu'il faut avoir ! Le maître arrive, ce serait mieux que tu te tiennes comme il faut ! 

Le Maître ! Oh non ! Pas encore ! 

— Elle est un peu trop habillée, tu crois pas ?

— C'est vrai ! On va arrangé ça ! 

— Non ! Non ! Pas ça ! S'il vous plaît !

Je vois un couteau sortir de sa poche et tout doucement, en me regardant salement, il coupe le tissu de mes manches, puis de mes épaules. Celles-ci se retrouvent dénudées. Ma respiration s'accélère. Mes larmes dévalent sur mes joues, et eux éclatent de rire. Le deuxième met son couteau en bas de ma jupe, et remonte doucement. La lame effleure mes collants et ma peau. C'est douloureux et ça pique.

Le couteau du premier découpe mon chemisier, en passant par mon soutien-gorge, qu'il coupe en même temps. Le froid et la honte prennent place en moi. Ou est mon sens de l'humour ? J'en aurai bien besoin là !! Mais non, je suis là à pleurer toutes les larmes de mon corps.
Ma culotte et mes collants ont rejoint ce qui restent de mes vêtements.
Je tremble comme une feuille. Des mains me touchent. J’essaie de donner des coups de pieds. Mais je reçoit des gifles sur le visage. La douleur est extrême. Je suis un peu groggy.
Quand je reviens un peu à moi, mes pieds sont attachés, jambes écartés. Je tente de les fermer, mais impossible. 

— Ce sera mieux comme ça !! Hahah !!
Leurs mains reviennent sur mon corps tremblant de peur. Elles sont partout où je ne veux pas. Je leurs crie de me laisser tranquille. Mes joues et mon ventre me brûle encore. Je veux que tout ça s'arrête !! Je regrette tellement d'avoir oser l'inviter.
- Non, non !!
Des mains violent mon intimité. Je crie, je hurle ! Et puis je sens un tissu entrer dans ma bouche. Ils jouent de ses doigts avec mon clitoris. Le titille !! C'est douloureux. Ils rentrent leurs doigts en moi, violemment.   

— On va la faire mouiller ! Tu va voir !

— J'ai pas envie d'attendre, c'est son cul, qui m'intéresse ! Je vais la baiser comme la bonne salope qu'elle est !! Petite vengeance pour Marc. Haha !!

Quoi ? Il veut quoi ? Non, non ! Pas ça !! Marc ? Vengeance ?

Je sens qu'il attrape mes fesses, son sexe s'approche de mon anus. Je ne sais pas quoi faire. Je ne l'ai jamais fait ! J'essaie de m'avancer pour l'éviter. Mais ces mains s'agrippent à mes hanches et la douleur est insupportable ! Ça me brûle, me déchire. J'ai mal dans tout le dos. Puis mes jambes sont détachés. Le premier me soulève et me pénètre par devant. Une autre douleur me transperce et me fait hurler mais aucun son ne sort, car je suis bâillonnée. Je ne suis plus qu'un pantin entre leurs mains. Je veux que tout s'arrête !! Pitié !! Par pitié, c'est trop dur !!

Je les entends râler de plus en plus fort et se vider en moi tous les deux. Voilà, salie ! Je suis salie par ses monstres ! Ils se retirent tous les deux et me fixent. Puis ils se regardent. Non ! Je fais signe non, pas ça !
Mes mains sont détachées, et je me retrouve à genoux. A la hauteur de leurs armes qui m'ont violée et salie. On me tire par les cheveux et une épée s'infiltre dans ma bouche.

— Nettoie tout ça petite pute ! Dépêche toi !!

J’obéis ! Parce que j'ai peur, et mal partout. Et je veux que ce soit fini. D'autres mains me tirent en arrière et une autre épée me transperce la bouche. Je fais tout ce qu'ils me demandent. Ma tête est relevé d'un cou sec. Ils me frappent, et me crachent leurs salives sur le visage et dans la bouche. 

— Merci petite pute ! On remerciera Marc pour ce petit moment avec toi. On a tout filmé ! Il va être aux anges !!

C'est la dernière chose que j’entends. Marc ! Filmé !

Viens une autre douleur, puis plus rien !