Préchauffage

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Je la prends par la gorge d’une main et la place face au lit.

- Enlève ta jupe que je voie ton cul !

Baissant la tête elle ouvre la boucle qui retient la petite ceinture et sa jupe, se penche un peu en avant. Se faisant ses seins se révèlent plus encore et alors qu’elle descend la seule pièce de tissu qui couvre encore son derrière je la pousse brutalement sur le lit. Elle est maintenant à plat ventre sur les draps, les jambes sur le bord, et le cul bien exposé. Sa fente est bien visible et un petit filet s’en échappe, indiquant qu’elle n’attend qu’une chose, une bonne verge pour la remplir bien à fond.

- Relève bien tes petites fesses, je vais te donner enfin ce que tu es venue chercher

- Oh oui Monsieur, frappez, frappez pour de bon, vous allez pouvoir vous faire plaisir. Cela fait un moment que je n’ai eu de vraie bonne correction et je n’ai pas été sage.

- Es-tu sûre ?

- Votre conversation au restaurant m’a mise en appétit Monsieur, je suis une maso et j’aime quand on me corrige et me baise comme il faut.

D’autres m’ont dit cela et quand je commençais à « caresser » leurs petits culs elles criaient au loup. Je me méfie donc mais décide de tester la serveuse salope. Je suis d’autant plus décidé qu’elle me présente volontairement sa fente et remue comme une invitation.

Une première claque tombe marquant immédiatement d’un rose plus soutenu la fesse droite. L’on distingue la trace de trois doigts sur sa peau blanche. Le bruit m’excite et mon désir monte plus encore. Un soupir de plaisir me renseigne sur son état. Il semblerait que je puisse donc passer à un niveau supérieur… Je prends donc un malin plaisir à attendre quelques secondes encore.
Regarder la trace déjà faite prendre sa couleur définitive me rappelle que cela fait un moment que je n’ai pu m’adonner à cette pratique « pour de bon ». Si Lydie est la maso qu’elle déclare être, elle va s’en souvenir…

Paf !! Cette deuxième marque sur le postérieur est tout de suite bien plus vive. Fini le rose léger, là l’on obtient immédiatement un rouge plus vif. Un sursaut nettement plus marqué secoue la serveuse.

- Humm, Monsieur commence à me plaire !

- Je vais te montrer !

Cette fois le lion s’éveille, il ne retient pas ses coups.

Je ne sais pas si je vous l’ai dit, mais sur certains réseaux BDSM j’ai pris comme avatar le lion.
Pourquoi me direz-vous ? Il a bien des traits de caractère que j’apprécie et qui me définissent plutôt bien.
Comme chacun le sait, le roi de la savane, est fort et en impose.
Peu savent qu’il est aussi capable d’être attentionné avec sa femelle et ses petits, qu’il protège, qu’il est juste…

À droite, à gauche, sur sa chatte trempée, ma main s’abat alternativement. Elle crie dans le coussin qu’elle a attrapé quand le rythme s’est intensifié.
Je vois sa croupe rougir de plus en plus, virer au cramoisi en certains endroits et elle se trémousse de plus en plus.
Ma queue, elle, n’en peut plus et se trémousse également. La vision de son sexe largement gonflé de désir est proprement énervant, j’agis tel un métronome : claque de la main droite sur la fesse droite, de la gauche sur la gauche dans une cadence parfaite : un coup par demi-seconde.

- Oh putain Monsieur vous me faites du bien !! J’adore !! Baisez-moi je vous en prie !!

Son popotin s’agite, je ne contrôle plus ma bite. Je sens que je vais bientôt l’habiter.
Une dernière fois mes mains frappent… Cette fois les deux en même temps, bien à plat.
Le coup est fort, sec. Elle étouffe un râle dans son coussin.

- En place !!

Je saisi son bassin et la redresse sur ses jambes, la voilà toujours sur ses coudes, à plat ventre sur le lit mais son sexe est maintenant à bonne hauteur. Je prends ma queue dans la main droite, de la gauche écarte ses grandes lèvres et dans un mouvement lent, tout en maîtrise, je m’enfonce en elle.

- Oh bonne mère, cette queue je la voulais tant ! Défoncez-moi Monsieur !

Son accent est d’un coup devenu plus marqué, l’excitation sans doute. La mienne est à son comble également. Je suis en elle aussi loin qu’il est possible de l’être et son cul plein de marques danse la gigue. Je ralenti la cadence de peur de jouir trop vite.
Elle le ressent certainement car elle prend le relais et décide d’imprimer elle-même une cadence certaine en s’aidant de ses coudes. Ses petits cris me plaisent, m’électrisent. Le plaisir monte de façon dangereuse, il va bientôt se répandre.

- Videz-vous Monsieur, refroidissez mon cul avec votre foutre, je veux le sentir sur mes fesses rebondies, elles sont brûlantes !

J’ai à peine le temps de me retirer de son con que de grands jets de sperme finissent leur course sur sa croupe rebondie, certains allant même jusqu’à la base de son dos, à la naissance de la raie. Au même moment, elle râle dans le coussin. Sa jouissance est si intense qu’elle remue dans tous les sens, plusieurs spasmes la secouent. Je frotte ma verge encore dégoulinante sur son petit trou que je n’ai pas voulu visiter. Son corps semble à nouveau lui appartenir, sous contrôle…

Je m’allonge à ses côtés et lui retire le coussin qu’elle mordait si fort il y a quelques instants.
Quelques larmes coulent du bord de ses yeux.

- Comment vas-tu ?

- Je ne peux pas aller mieux Monsieur, j’ai adoré avoir si mal et en même temps jouir si intensément. Votre queue tout au fond de moi, mes fesses si brûlantes… humm !!
Merci beaucoup ! Puis-je prendre une douche avant de vous laisser dormir ?

- Bien sûr !

Elle file vers la salle de bain en trottinant, son derrière tout rouge contrastant avec la blancheur de son corps.

- Pourriez-vous me rapporter mes habits s’il vous plait ? demande-t-elle alors que j’entends l’eau qui coule déjà.

- Bien sûr, cela me permettra de mater !

- Merci beaucoup !

Je ramasse son t-shirt, sa petite jupe, ses bottines et son petit sac. J’arrive dans la salle de bain. L’odeur de mon sperme et de sa cyprine mêlée a été remplacée par un doux parfum de lavande qui est, pour l’heure, son seul habit. Elle frotte lentement son corps, allant de ses seins vers sa cuisse en me regardant du coin de l’œil. La pluie d’eau chaude qu’elle fait couler achève de retirer la mousse qui la quitte en glissant sur son corps.

Sortant de dessous la douche elle se pend à mon coup, m’embrasse tendrement et commençant à se rhabiller :

- La prochaine fois, demandez à votre ami de nous rejoindre !

Je n’ai pas le temps de me ressaisir que, déjà rhabillée (en même temps c’est vite fait vu ce qu’elle avait sur elle), elle se dirige vers la porte.

- Dormez bien Monsieur, saluez bien votre collègue et j’espère que nous nous reverrons…

- Bonne nuit à toi, je le saluerai, pas de soucis. Quant à nous revoir, rien n’est moins sûr mais sait-on jamais !

Il m’arrive de voyager du côté de Belfort, j’ai de la famille là-bas…

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