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« Nous écrivons tous notre histoire, tissons nos propres relations sociales.

Plus on avance, le monde est encore hostile. »

« Revenons à nos moutons, allons à cette petite école. »

Les Femmes se joignirent et entrèrent dans une classe primaire.

« O bonjour, on attendait votre venue, les enfants avaient hâte. C’est pour vous dire ! »

Johan leva la main, ils avaient sans doute une bonne éducation.

« Oui ? »

« Attends Johan qu’elles déposent leurs sacs ... »

« Nous sommes prêtes ! Alors nous sommes là pour une bonne chose, est-ce que votre famille et vos amis sont importants à vos yeux et vous apportent quelques choses dans votre apprentissage ? » interrogea Anna.

Johan était surexcité.

« Je pense que ma famille et mes amis sont plus importants que les ordinateurs et les téléphones. »

Les autres élèves secouèrent la tête sauf deux, Noémie et Jack.

« Je suis pas d’accord, tout est important. Aujourd’hui, on travaille beaucoup sur ordinateurs ! »

« Vous êtes encore jeune et vous avez de bonnes éducations, Même si on n’est pas d’accord. Le respect doit être présent. »

« Mon père travaille dans l’informatique. » dit Jack.

« Nous te comprenons, ça s’appelle un débat. » dit Stella.

Après cela, au bout d’une heure, les élèves furent émus de voir partir ces jeunes Femmes.

Elles se rendirent vers l’ancienne faculté de Stella.

Des kilomètres de routes, dans la voiture que conduisit Anna, elles se regardèrent.

« Ce sont des bons débats. »

« On apprends beaucoup avec vous. » confirma Stella.

« En ce monde, apprendre est la seule route qui surplombe l’échec. » dit Fannia.

« La beauté du monde, ce sont ces communications entre nous humains. Ça peint un paysage nouveau effaçant les temps de guerres ... »

« C’est pas si facile la vie en regardant bien, y a des vies tristes ... »

« Dis-moi Stella, tu as l’air voyageuse ? »

« J’aime beaucoup voyager, j’aime la littérature et la sociologie, la philosophie. »

« C’est là. »

« Université Paul Verlaine. »

Stella retrouva son enseignante de Sociologie.

Madame Longarde.

« Ah salut Stella, ça fait longtemps ! »

« Plus de cinq années ... »

« Tu deviens quoi ? »

« Journaliste, mon rêve. Quand on croit en soi, on ne peut que réussir. »

« Et elles ? »

« Des rencontres qu’ont changés ma vie, comme mon voyage autour du monde. »

« C’est beau tout ça. »

L’enseignante releva ses lunettes rectangulaires.

« Raconte-moi, je me souviens. Tu était bonne élève. »

« Nous travaillons sur une quête philo-sociologue. »

« dis-moi. »

« Les relations sociales apportent t-elles quelques choses à l’Humanité ? »

« Excellent Stella. J’ai une classe, tu pourras les interroger. »

« Je suis venue ici pour ça et la nostalgie. »

Une classe rentra dans l’hémicycle.

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