Chapitre 11

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Au bord de l'abandon, la porte s'ouvra. Sumiyaki s'est immédiatement remise correctement sur le lit, me libérant de son étreinte.

Miyazaki apparut le visage rouge, laissant pensée qu'elle écoutait derrière la porte.

″Kakehi je vous ramène chez vous″

″Comment ça ?″

Sumiyaki troublé par ce qu'elle a entendue n'a pu s'empêcher de posé cette question.

″Avant que l'on viennent dans votre chambre Kakehi m'a demandé d'appeler sa mère pour qu'il rentre.″

J'ai préparer mon évasion en quelque sorte.

En me levant une pression a été exercé sur mon bras. Mon bras se trouvait entre les seins de Sumiyaki, entre douleur et douceur j'étais perdue.

En voyant cela miyazaki se raidit.

″Kakehi êtes-vous sûr de vouloir partir ? Je voulais encore vous parlé de quelque-chose.″

Soumettre par la force est-ce un moyen de communiquer ?

″Je serais resté mais je ne veux pas inquiété davantage ma mère.″

Cela est a la fois vrai et faux.

″D'accord″

Mine déçu son étreinte s'est affaibli, j'ai pu enlevé mon bras sans accroc.

″Merci, Sumiyaki de m'avoir hébergé.″

La laissant derrière avec ces mots je quittai la pièce.

Comme je l'avais planifié le gros problèmes a été réglé, maintenant je dois m'occuper du problèmes mineur.

″Où avez-vous mis mes vêtements ?″

Miyazaki me regarda avec suspicion, après un long silence elle posa une question

″Comment as-tu su qu'elle allait vouloir te soumettre par la force.″

″Une simple habitude.″

″Je vois... Tu es donc vraiment soumis a ce point, Saleté.″

Je pensais que Miyazaki cesserait de m'appeler de la sorte mais j'ai eu tort. Après tout l'être Humain ne change pas du jour au lendemain.

Miyazaki m'indiqua le lieu où se trouvait mes vêtements, m'habillant rapidement nous nous sommes dirigé vers la sortie.

″Je vais chercher les clé de la voiture ne bouge pas.″

Secouant ma tête de haut en bas elle partie.

J'ouvris la porte menant a l'extérieur, il pleuvait.

Je regardai la pluie déferler sous mes yeux en attendant Miyazaki, cette pluie avait la même odeur que celle de ce jour...

″Allons s'y″

Elle poussa mon dos, sans m'en rendre compte je me suis retourné avec un regard apeuré.

De mauvais souvenir venait de refaire surface.

″Tu devrais te regardé dans un miroir. Aurait tu vue un mort sous cette pluie ?″

Une seconde a été nécessaire pour que je puisse changé l'expression sur mon visage. Il est contre-productif de laissé apparaître se genre de sentiment devant des gens.

″Non. C'est rien.″

Elle pris deux parapluie et tendit le deuxième dans ma direction.

″Finalement, je savais que tu avais bon fond″

En disant cela j'attrapai le parapluie mais Miyazaki a tiré le parapluie vers elle en rectifiant mes propos.

″Tu as crû que je ferais quelque-chose pour toi ? Tu te trompe. Je te le donner uniquement car je veux pas que tu mouille ma voiture...″

En entendant la vrai raison je me suis sentie idiot et naïf a la fois.

Même si l'envie de riposter montait en moi je me suis réprimer. Il serait pénible de rentré a pieds a la maison.

Ensuite nous sommes monté dans sa voiture. Se n'était pas une voiture de riche.

Le ruelles nocturne et vide a la fois défilait sous mes yeux. C'était un spectacle impressionnant malgré le fait que tout le paysage n'était pas visible a cette heure-ci mais c'est ce qui fait la beauté d'une ville nocturne après tout. Le seul défaut fût la pluie qui obstruait encore plus la vue.

En entendant la voiture faire des bruits étranges j'ai pensé cela

«Comme quoi, servir des riche ne fais pas de vous une personne riche.»

Moi qui ai crû l'avoir pensé dans ma tête je l'ai dit a voix haute.

″Mon salaire me permet seulement de payé les frais d'hospitalisation de mes parents.″

Ai-je touché un endroit sensible dans son cœur pour qu'elle dise cela ?

″Désolé″

Ce mot devrais suffire a l'apaiser, néanmoins...

″Tu croîs vraiment que j'ai besoins de ta pitié ? Si tu pense que se genre de mot factice a des effet sur moi ta faux ! Tu ne sais pas le nombre de fois ou ce mot est sortie de la bouche de mon entourage, que se soit mes amis ou ceux de mes parents. Aucun d'eux n'ont levé le petit doigt pour leurs venir en aide lors qu'ils en avait besoins...″

Si ma maison aurait été plus loin elle aurait eu beaucoup plus de mal a contenir ses larmes.

La voiture s'arrêta a l'entrée de chez moi. Je défait ma ceinture et regarde a travers la fenêtre, la pluie ne semble pas vouloir cesser et l'atmosphère n'était pas propice donc je n'avais pas le choix de sortir du véhicule.

″Merci, Miyazaki″

Aucune réponse de sa part...

Je suis sortie de la voiture, en la voyant s'éloigner de moi.

″Je l'a comprend. Partir le plus vite possible était la meilleur solution pour pas que je la voit pleuré″

Commençant a me dirigé vers ma maison j'entendis le son son d'une voiture s'approcher de plus en plus, s'était celle de Miyazaki sans perdre de vitesse elle s'approchait dangereusement. Peut-être que l'envie de dire au-revoir était revenue, toutefois a cette vitesse cela n'était plus envisageable.

«Impossible... compte-t-elle m'écraser ?!»

Réalisant cela je me suis jeter sur le trottoir avant qu'elle ne me percute.

″Cette adrénaline ma apaisé.″

Miyazaki arbora un air de satisfaction sur son visage

″Un meurtre est-il sensé apporté un quelconque apaisement a l'esprit !?″

″Tu ne savais pas que chaque être humain est différents ?″

″Si mais delà a commettre un meurtre pour être apaisé cela ressemble plus a de la psychopathie !″

Je me suis relever du trottoir. Se n'est qu'une fois la situation calmé que je me rendis compte que la douleur a mon bras s'était a nouveau amplifié. Je souris amèrement.

″Tout fois j'espère que nous nous croiseront plus jamais, Saleté.″

″De même pour moi.″

Nous nous sommes séparer avec ces dernière phrases.

Miyazaki a fait demi-tour et ai partie sans revenir cette fois.

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Depuis ce jour là je n'ai plus jamais croisé Miyazaki et Sumiyaki...

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