Épisode10: Une fin classé sans suite PARTIE 3

7 minutes de lecture

Cela fait 5 minutes que Miyazaki est partie avec Sumiyaki étrangement les mots de Miyazaki m'ont rendu minable.

—"Pourquoi ai-je accepter le rendez vous avec Sumiyaki, si j'avais décliné tous cela ne serait jamais arrivé."

Laissant un soupir s'échapper je commençai à me relevé de cette chute.

Et si je l'aurai pas protégé durant sa chute, Miyazaki m'aurait t'elle traité ? Je doute qu'elle ne l'aurait pas fait, quoi que je fasse elle vera tout le temps le mauvais côté de la situation.

Une fois debout je remarquai que les bordures de la douche se trouvaient à 14 centimètres de ma tête.

L'écart me fit froid dans le dos.

J'aurai finalement pû perdre la vie avec cette acte irréfléchi de ma part.

Même si mes réflexe sont extrêmement bon je n'ai pas eu le temps de remarquer ce petit détail qui aurait pû être mortels.

"Mince comment je vais faire maintenant."

Avec cette événement nous avons oublié le plus important qui était de m'apprendre à utiliser cette douche du futur, même une personne se proclamant comme étant intelligent ne serait pas à la hauteur fasse à cette douche irréaliste.

Il y a des chose qui ne peuvent être surmonter que par l'expérience, cela me fait penser aux donjons.

Il est impossible de réussir un donjon au premier essaie puisqu'il faut prendre en compte la façon dont ce dernier fonctionne et mémoriser les mécaniques du donjon, je parle bien évidemment d'un donjon de haut niveau et non d'un donjon bas level.

Parlé de jeux vidéos dans un tel endroit ne m'aidera pas.

"L'expérience, hein."

Ce mot me parle beaucoup dans le monde virtuel mais dans le monde réel cela ne m'evoque rien en particulier.

Je commençai à m'approcher de tous ces bouton de couleurs différente.

Ne sachant pas par lequel commencé je décidai de commencer de gauche à droite, comme n'importe qui de démuni au final.

J'ai activé le premier bouton pendant 3 secondes puis je l'ai immédiatement éteint puisque celui-ci fessait coulé de l'eau glacée.

"Heureusement que je ne suis pas tombé sur l'eau bouillante"

Suite à l'expérience que je viens de vivre je vais changé d'approche avec cette douche.

Cette fois ci je ne vais pas dans la douche avant d'avoir appuyer sur le bouton pour éviter une mauvaise surprise.

Avant que je n'appuie sur le deuxième bouton la porte s'ouvrit.

"Je suis complètement désolé ! J'avais tout faux dès le départ !"

Miyazaki m'a dit cela en s'inclinant.

Je n'ai pas pû répondre puisqu'il y avait autre chose de plus important à cette instant la.

Lorsqu'elle se redressa elle remarqua la chose qui me préoccupais.

Elle perdit toute sa vivacité à ce moment précis et se mit à rougir.

Je me suis ruer sans plus attendre vers ma serviette que j'avais laissé sur le bord du jacuzzi, je l'ai remis autour de ma taille à une vitesse impressionnante, malgré la honte d'avoir été vue sans cette dernière.

"Pourquoi est-ce-que tu n'a pas détourner ton regard !?"

"Désolé j'ai été scotché par cette vue."

Je crois que son cerveau a surchauffé puisqu'elle n'avait pas essayé de le nié.

"Il y a 5 minutes tu m'avais traité de saleté. Si je devais faire pareille que toi je te traiterais sans aucun doute de perverse !"

Malgré le fait qu'elle était venue s'excuser à l'instant je n'ai pu m'empêcher de l'insulter.

C'est bien la première fois que je lui répond franchement.

Après toutes ses péripéties elle m'a expliqué le fonctionnement de cette douche sophistiqué, j'ai pû l'utiliser sans problème.

Je suis sortie de la salle de bain en moins de 5 minutes, l'envie de prendre mon temps n'était pas présent étant donné que je n'étais pas chez moi d'autant plus que Miyazaki m'avais dit qu'elle m'attendrais devant la salle de bain.

J'ai ouvert la porte et elle était juste à côté de cette dernière, elle n'a pas réagi lorsque je suis sortie, Miyazaki semble plongée dans ses pensées, je l'ai donc appelé.

"Miyazaki ?"

Elle sursauta instantanément.

"Quoi ?!"

Je ne voulais plus y penser mais il semblerait que Miyazaki ne pouvais pas oublier ce moment gênant.

"Ne me dite pas que vous étiez entrain de repenser à cet incident ?"

"Non, pas du tout !"

Elle le nia désespérément, son visage me montre clairement qu'elle continuait d'y penser.

Quelle mensonge...

Miyazaki changea subitement de sujet.

"Allons rejoindre Sumiyaki elle voulait te parler de quelque chose."

Se mettant en route vers la chambre de Sumiyaki, je l'ai suivie dans le plus grand des silences.

1

Ce silence à cessé quand nous sommes arrivés devant la chambre de Sumiyaki, nous sommes entré juste après qu'elle nous l'ai autorisé.

Sur sont lit blotti dans sa couverture Sumiyaki me regarda timidement en se cachant le visage avec sa couette.

C'est Miyazaki qui a rompu le silence.

"Je vous l'ai ramené comme vous me l'aviez demandé... et je lui est présenté mes excuses."

Miyazaki avait un peu hésité à lui faire part des excuses qu'elle m'avait faite.

"À bon ?"

Sumiyaki extrêmement surprise par la déclaration de Miyazaki se redressa de son lit et n'a pu s'empêcher de me demander si cela était vrai.

J'hochai la tête en guise d'acquisition.

"Mais c'est vous qui m'avez demandé d'aller m'excuser, je n'ai fait que ce que vous m'aviez demandé."

"Je vous avait dit lorsque vous l'aurez emmener ici, je n'ai jamais dit de le faire avant."

"J'ai plusieurs tâches a accompli avant que l'aube n'apparaisse, je vous laisse."

Elle s'en alla sans perdre la moindre seconde.

"Déjà, avant toute chose, je voudrais m'excuser car tout a l'heure je n'ai pas démenti se que Miyazaki, en toute ignorance sur la situation, disait."

Elle s'asseya sur le borde de son lit et me fit signe de venir m'assoir auprès d'elle.

Je me suis assis comme Sumiyaki me l'a ordonné en tentant de dissimuler ma nervosité.

J'ai sentie l'espace d'un instant l'aura dominatrice dans ces paroles.

Qui s'est ce qui me serai arrivé si j'aurai refusé son ordre camouflé en proposition.

"Vous vous souvenez quand je vous avez remis ma lettre dernière l'établissement ? Je n'avais pas eu le courage de vous annoncé quelque chose de très important, j'ai donc organisé un rendez-vous avec vous pour pouvoir vous dire ce que je comptait vous dire derrière l'établissement."

Elle baissa légèrement sa tête, laissant place a un visage attristé.

"Mais un imprévu s'est produit durant notre rendez-vous."

J'ai immédiatement su de quel imprévu elle parlait.

"Je vais vous dire ce que je voulais vous avoué dans ma lettre !"

Elle posa sa main sur ma cuisse et me regarda droit dans les yeux.

"Je veux que vous deveniez mon chien !"

Son visage est devenue sérieux.

Comment devrai-je réagir a se que Sumiyaki vient de m'annoncer ? Étant au courant depuis longtemps de cela, aucune réaction se manifesta sur mon visage.

Après avoir réfléchi un court instant j'ai trouvé quelque chose a lui dire.

"Désolé."

"Vous ne voulez pas accepter sans contrepartie ? Je peut aussi vous donner cela..."

Sans m'y attendre Sumiyaki me plaqua sur le lit, elle attrapa mes mains en les enlaçant entre les siennes lorsqu'elle a rapprocher son corps du mien je pouvais sentir sa respiration s'accélérer, chaque seconde, l'écart entre nous se resserrait de plus en plus.

Je sentie son corps se collé contre moi d'ailleurs mon corps commençait a réagir a cette situation inédite.

Ces lèvre s'approchaient des mienne, au moment où elle allait m'embrasser j'ai tourné ma tête pour pas que ce baisser est lieu.

Quelque choses ma alerté.

"Pourquoi avez-vous tourné vôtre tête ?!"

"Vous vous etes tellement focalisé sur vos bras que vous en avez oublier vos jambes."

"De quoi est-ce que vous parler, je ne comprend pas."

Elle pense pouvoir me mentir ?

"Vous étiez entrain de trembler n'est-ce pas ? Je suppose que cela signifie que vous etes dénué d'expérience dans cette catégorie."

"Comment avez vous su ! Et puis c'est pas comme si j'étais la seule sans la moindre expérience dans ce domaine."

Moi je l'avais divulgué avec suppositions tendit que Sumiyaki l'avait dit en affirmant des propos que seul moi était en état de connaître.

Si jamais Sumiyaki décide de rester dans cette position encore longtemps la situation pourrait être a son avantage.

Alors que j'étais en cours de réflexion sur les possibilité pour m'extirper de cette position troublante Sumiyaki bloca mes avant-bras avec ses bras tout en attrapant ma tête de force avec ses mains.

"Que est-ce que vous faite ?!"

J'ai légèrement paniqué car je n'avais pas imaginé ce scénario qui consiste a me soumettre par la force.

Elle s'approcha de mon oreille, après l'avoir mordiller elle me chuchota cela avec sensualité.

"Si vous ne voulez pas accepter ma demande je trouverais a tout prix un moyen de vous la faire accepter."

Son visage innocent avait disparue a cet instant-la pour que son côté flippant s'installe sur celui-ci.

Elle a commencé a appuyé sur mes avant-bras avec ces coudes, la douleur que j'avais désespérément tenté de caché lors de mon réveil venait de refaire surface.

Je n'ai pu m'empêcher de laissé échapper un petit bruit de désespoir.

Sumiyaki ne fessait pas stagné la douleur a un seuil raisonnable mais l'amplifiait au fur et a mesure pour me faire comprendre que plus je résisterais plus je souffrirai.

Annotations

Vous aimez lire Keruichiwa ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0