Épisode10: Une fin classé sans suite PARTIE 2

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Lorsqu'elle ferma la porte je ne suis pas sortie immédiatement de ma cachette pour éviter qu'elle revienne.

Contrairement à se que on aurait pu croire je n'ai pas attendu longtemps avant de sortir car j'étais à moitié entrain de suffoquer sous cette chaleur infernal.

Je ne sais pas combien de degré il fessait exactement sous la couverture mais la seul chose que je peux affirmer sans le moindre doute est que la venue de Sumiyaki dans le lit n'a pas aidé étoffer la chaleur puisque le corps de cette dernière n'a fait que accroître la température.

Au début je ne croyais pas les gens qui disaient "Si vous êtes perdue dans un endroit où la température est plus que basse l'une des choses qui faut impérativement faire dans ce genre de situation est de rester collé l'un contre l'autre puisque le corps humain dégage de la chaleur. En d'autre terme il faut rester ensemble afin d'augmenter les chances de survie."

C'est seulement aujourd'hui contre l'envie de les croire que je l'avais réaliser, il faut croire que se genre de situation ne m'étais jamais arrivé auparavant.

Ayant eu aucune personne que je pouvais réellement qualifié d'ami à l'état pur il m'aurait été extrêmement difficile de créer une telle circonstances, de toute manière j'évoque le mot "Ami" mais je doute que même avec ce soit disant ami j'aurai pu vivre une situation plus où moins similaire.

Je suis sortie de la couverture après avoir attendu dix secondes bien entendu de grandes bouffé d'air s'ensuivit.

Cela semble court comparé à la situation dans la quelle je me trouverai si je serai surpris en flagrant délit n'est-ce-pas ?

Mais comme je l'ai déjà précisé bien avant la chaleur était vraiment insupportable je n'aurai pas pu survivre sous cette chaleur plus longtemps.

Je n'avais pas remarque mais mes vêtements était tout humide, d'ailleurs je ne l'avais pas remarqué plutôt, mais il semblerait que les vêtements que je portait ne m'appartenaient pas également puisque je ne me rappelle pas avoir eu le moindre vêtements au motif de panda.

Mais pour une raison que j'ignore complètement ce pyjama est à ma taille.

« À qui appartient ce pyjama panda ?»

Même si je voudrais connaître le propriétaire de ce pyjama je dois m'abstenir car j'ai une priorité par-dessus tout.

Au moment où je m'apprêtais à descendre du lit la porte s'ouvrit.

Sumiyaki —"… m-mais… qu'est-ce que vous faite dans ma chambre Kakehi ?!"

Celle qui m'a posé cette question n'était autre que Sumiyaki.

Ne devait t'elle pas aidé Miyazaki à me chercher ?

Cela confirmait bien que la chambre dans laquelle je me trouvais à mon réveil était en réalité celle de Sumiyaki, je me disais bien que j'avais déjà senti ce parfum.

Pourquoi ai-je été mis dans sa chambre et pas dans l'une des autre chambre que j'ai pu voir toute à l'heure durant ma recherche ?

Malgré toute les questions que je me posais je painais a trouvé une réponse correcte ou du moins possible.

Moi —"..."

J'avais du mal a me concentrer sur une réponse.

Ne pouvant pas la regarder droit dans les yeux, je me suis contenté de baissé les yeux le plus bas possible.

Sumiyaki —"j'adore vraiment ce regard."

Elle possa ces deux mains devant sa bouche toute en ayant une voix joyeuses.

Elle venait de dire quelque chose qui aurait dû être inaudible mais puisque mes compétences auditifs ont atteint leurs apogée j'ai pû comprendre ce qu'elle venait de dire à l'instant.

Visiblement cela ne semblait pas être une nouvelle révélation car j'étais déjà au courant qu'elle aimait vraiment mon "regard soumis." J'ai eu vent de leur conversation quand par pur hasard j'avais entendu mon nom être prononcé dans leur conversation.

Malheureusement ce qu'elle croyait être là véritable cause de mon détournement de regard ne l'était pas.

La seule chose qui m'avais empêcher de la regarder dans les yeux était qu'elle portait une tenue ultra légère qui pouvait être placé dans la catégorie de l'érotisme.

Ont pourrait penser à première vue que cela ressemble à du fantasme de ma part mais je vous garantis que sa ne l'ai pas, c'est bien la première fois que je vois une fille habillé de la sorte voilà pourquoi je suis tant intéressé de la regarder porté cette tenue légèrement érotique.

5 minutes passèrent avant qu'elle ne se rende compte que ce détournement de regard était loin d'être celui auquel elle pensait.

Sumiyaki —"Je vois, donc se n'était pas la bonne raison."

Ayant découvert ce que j'essayais de cacher éperdument elle s'approcha de moi.

Elle était tellement proche de moi qu'elle devait levé la tête pour me regarder dans les yeux, à cette instant dans ma tête je ne pouvais m'empêcher de répéter ce mot

«Trop proche trop proche trop proche trop proche.»

Mon cerveau était à deux doigts de surchauffé, même si une situation similaire c'était produite quelque minutes auparavant la sensation n'était pas du tout la même.

À l'aide de ces deux mains elle fit un geste qui ressemblait à une présentation de son corps puisque son geste avait commencé au dessus de sa poitrine pour finir au niveau de son bassin.

Sumiyaki —"Et moi qui était sûr de l'origine de ton regard… je ne l'ai pas correctement analysé je vous pensais inoffensif sur ce point là mais finalement je m'étais trompé sur toute la ligne après tout vous restez un male comme un autre."

Sumiyaki c'est fait une raison de moi pas très noble, d'autant plus qu'elle a utilisé un mot pas très convenable pour un être humain "male" est-ce une nouvelle mode de nommé ainsi un genre où bien est-ce plutôt lier au fait qu'elle me considère comme un animal si telle est la raison alors l'emploi de ce mot est tout à fait normal mais me catégorisé de la sorte fait extrêmement bizarre tout de même.

Moi —"Non vous vous trompez !"

Je l'ai nié immédiatement.

Je sais que cela semble super superficielle mais je n'ai pu m'empêcher de sortir cette phrase qui sort tout droit d'une comédie romantique lorsque que le protagoniste se retrouve dans une situation qui le dépasse totalement.

Pour que cela est plus de chance de réussite j'y est rajouter une touche d'inconscience sans trop l'être pour éviter les soupçons.

Sumiyaki —"fuu…"

Elle laissa échapper un soupir avant de posé sa main sur mon torse.

Moi —"Qu'est-ce que vous faite ?!"

Je fus surpris ce qui se fit comprendre par mes paroles.

Sans répondre à ma question elle me dit ceci

Sumiyaki —"Il faudrait peut-être que vous alliez vous laver, vous êtes vraiment humide."

«Ah… c'était juste pour ça au final.»

Étrangement un sentiment de soulagement m'envahit.

Moi —"D'accord."

Je lui est répondu ainsi sans détour.

Moi —"Et alors pourriez vous m'indiquer la direction de la douche ?"

Sumiyaki —"Oui, suivez moi."

Nous nous sommes dirigé vers la porte au moment où Sumiyaki à ouvert la porte une silhouette qui m'était plus que familier à ce stade fit son apparition devant nous cette silhouette appartenait à Miyazaki.

Sa façon de se tenir debout était on ne peut plus étrange cela ressemblait à deux gouttes d'eau à celle d'un zombie, ces deux mains se balançaient simultanément et son dos était parallèle du sol.

Son aura assassin avait dramatiquement diminuer pour mon plus grand plaisir.

Miyazaki —"Sumi…je…voudrais…"

Malgré mon plaisir à voir son aura diminuer elle me semblait vraiment en mauvais état, cela me fessais de la peine.

Même avec cet air dépité elle arrivait toujours à parler même si elle ne finissait pas ses phrases.

Sans s'y attendre Miyazaki aggripa Sumiyaki par les hanches avec fermeté avant de fondre en larme.

Sumiyaki —"Que vous est-il arrivé Miya-chan ?!"

«Miya-chan ?»

Miyazaki —"Miya-chan ?"

Miyazaki à répéter exactement la même chose que moi à croire que nous nous sommes connectés l'espace d'un instant sur la même fréquence.

Miyazaki —"Pouvez-vous répété s'il-vous-plaît ?"

Fasse à sa demande Sumiyaki à répéter comme Miyazaki le voulait.

Sumiyaki —"Miya-chan ?"

Suite à sa demande exaucé elle s'est immédiatement redresser comme si qu'elle fessait un salut de l'armée.

Miyazaki —" Désolé de vous avoir obligé à répéter mon nom mais grâce à ça maintenant je suis rétabli à 200% près à vous obéir."

En effet dès lors où elle s'était redresser son aura est effectivement revenu mais comme je le craignais celui-ci avait doublé comme elle l'avait signalé.

Sumiyaki —" Alors pourriez-vous demander à mon père…"

Son regard c'était assombri.

Pour une raison que j'ignore elle n'a pas fini sa phrase.

Miyazaki —"… Vous savez pourtant que cela est impossible…"

Le ton de Miyazaki a perdu d'un coup tout l'enthousiasme qu'il possédait.

Sumiyaki —"Désolé, oublié de que je viens de dire."

Elle s'excusa avant de sourire devant nous.

Son sourire n'était pas authentique.

Je ne sais pas se que cette conversation entre ses deux là cachait mais je pense qu'il serait préférable de pas en parler d'autant plus que cela serait contre ma nature de m'intéresser plus profondément au problème des autres.

Tout en reprenant un ton jovial elle demanda quelque chose à Miyazaki.

Sumiyaki —"Pourriez-vous apporté une serviette propre et des autres vêtements s'il-vous-plaît ?"

Miyazaki —"Ne me dite pas que vous allez vous laver encore une fois ?"

Sans avoir eu le temps de répondre elle continue

Miyazaki —"Où se pourrait t'il que vous comptiez prendre une douche avec lui ?!"

«Où diable à t'elle trouvé ce scénario ?!»

Sumiyaki —"Je n'y avais pas pensé."

Moi —"Jamais !"

Contrairement à Sumiyaki qui semblait vouloir imaginer le scénario je l'ai immédiatement nié, en comparant mon mot et la phrase de Sumiyaki Kidori celui qui en sortira comme louche sera à fortiori moi.

Sumiyaki —"Comment ça sa ne vous plairez pas de vous lavé avec moi ?"

En penchant sa tête en avant tout en mettant son index sur son menton elle me dit ceci.

Au contraire je pense que si j'aurai eu le choix j'aurai immédiatement accepter la compagnie de Sumiyaki dans la douche.

«Non non non… je dois me ressaisir cela ne me ressemble pas de dire ce genre de chose.»

À croire que tout ces événements récents mon fait perdre la raison.

Moi —"Non c'est pas se que je voulais exactement dire."

Face à sa tête mignonne je n'ai pu m'opposé comme je le souhaitais.

Sumiyaki —"Cela me fait plaisir que vous n'ayez pas réfuté ce que je viens de dire."

Rentrant dans les attentes de Sumiyaki ma réponse lui a fait extrêmement plaisir, mais en réalité je ne voulais pas dire ça.

Miyazaki —"Tch"

Vraisemblablement Irrité par ma réponse Miyazaki claqua de la langue tout en me jetant un regard noir.

Elle s'approcha de moi puis me dit ceci discrètement

Miyazaki —"Tu viens de détruire ma journée saleté."

Comme on pouvait s'y attendre la conversation que j'ai eu avec Sumiyaki l'avais tellement irrité qu'elle se devait de me le faire comprendre verbalement et comme si cela ne suffisait pas elle en rajouta

Elle enroula son coude autour de mon cou tout en exerçant une pression assez puissant pour me faire grimacer.

Miyazaki —"Tu compte la suivre jusqu'à la douche ou je rêve ?"

sa voix s'est assombri comme son visage.

De telle accusations infondée ne devrait pas exister.

Moi —"Pas du tout."

J'aurai aimé le crié à voix haute mais puisque Sumiyaki se trouve juste à côté de moi je ne l'ai pas fait.

Sans en dire plus elle recula en continuant de me dévisagé comme si que j'étais un être vraiment méprisant.

Miyazaki —"Ah oui j'avais oublié, quelles pyjamas je vous prend Sumiyaki ?"

Sumiyaki —"Il y a erreur ces vêtements ne sont pas pour moi mais pour Kakehi"

Miyazaki —"À vos ordres !"

«À vos ordres ?» c'était les mots qu'elle venait d'employé à voix haute mais en réalité ce qu'elle voulait sans doute dire était «Je vais te tuer».

Face à cette pression je fis un pas en arrière.

Miyazaki s'en alla chercher des vêtements de rechange pour moi.

J'ai soupiré de soulagement se qui interpella Sumiyaki.

Sumiyaki —"Qu'est-ce que vous avez Kakehi ?"

Moi —"Non rien."

Bien évidemment je n'allais pas lui dire que je me suis attiré le courroux de Miyazaki, c'est pour vous dire que même moi j'ignore se qui avait mis Miyazaki dans un tel état.

Nous nous sommes dirigés vers la salle de bains pour une raison que j'ignore je n'avais pas vu ce couloir tout à l'heure lorsque je tentais de retrouver la bonne chambre.

Sumiyaki —"Alors vous la trouvez comme cette salle de bain ? C'est ma salle de bain privée."

Comme si que ce donjon ne suffisait pas maintenant j'apprends que chaque membre de la famille à leurs lots de pièces privée.

Lorsque nous sommes rentré je pouvais voir un jacuzzi, une baignoire avec plusieurs boutons à côté afin de régler la température de l'eau.

Il sera compliqué de comprendre tout les boutons j'en n'avais jamais vu autant dans une salle de bains serait ton dans le futur ?

Comme je le pensais se sera vraiment difficile de prendre ma douche sans encombres.

Moi —"Est-ce-que vous pourriez m'expliquer le fonctionnement d'une telle douche s'il-vous-plaît ?"

Face à mon incompétence j'ai dû lui demandé de l'aide.

Sumiyaki —"Puisque vous ne me laisser pas le choix…"

Son visage c'était légèrement émerveillé.

Sumiyaki —"Attendez moi je reviens."

Elle s'en alla en me laissant dans sa salle de bain seul.

Deux minutes plus tard je pouvais entendre Miyazaki marmonner dans le couloir même si j'avais une bonne capacité auditifs d'où j'étais je ne pouvais pas comprendre ce qu'elle était entrain de dire, je suis allé devant l'entrée de la salle de bain et vis Miyazaki comme je l'avais dit.

Miyazaki —"Que fait tu ici ?!"

Moi —"J'attends Sumiyaki."

Suite à mon annonce elle laissa tomber les vêtements qu'elle avait apporté.

Miyazaki —"Je vais, je vais, je vais, je vais t'étriper !"

Un seconde lui avais suffit pour me mettre à terre.

Moi —"Argh !"

Je n'avais pas eu le temps de bien me positionner pour éviter une chute douloureuse.

Miyazaki —"Que fait tu dans cet accoutrement douteux ! Et en plus de cela dans la salle de bain de Sumiyaki. Je ne te le pardonnerai jamais !"

«Accoutrement douteux ?» être torse nu est considéré comme tel de nos jours ? C'est vrai que l'environnement dans lequel cela on vous aperçoit peut joué un rôle majeur même dans le cas d'une salle de bain mais c'est justement dans cette pièce que nous devons nous déshabiller pour aller nous laver donc on peut pas réellement la qualifiée d'environnement douteux.

Par contre si cela aurait été dans une chambre la j'aurai bien voulu qu'on me qualifie de la sorte.

J'ai seulement enlevé mon t-shirt… non le t-shirt qu'on m'a prêté avec l'optique de réduire le temps pour allé me lavé et voilà qu'on l'interpréte mal.

«Devrai-je lui en faire part ? Je doute fortement qu'elle m'écouterai sagement.»

Alors qu'elle commençait à vouloir me tuer Sumiyaki est revenu.

Sumiyaki —"Que faite vous tous les deux ?!"

Dit-elle en rougissant.

À quoi pensais t'elle au juste avec ce visage tout rouge ?

Miyazaki surprise à rapidement trouvé une excuse pour masqué ce qu'elle était entrain de me faire subir, malgré mon mécontentement je ne pourrai pas la contredire.

Miyazaki —"Il est tombé ducoup je lui ais proposer de l'aider."

Apprend un tel mensonge misérable je laissais échapper malgré ma position qui me le permettais pas un soupir exaspération.

Sumiyaki —"Je vois… merci de l'aider alors."

Après nôtre étonnement mutuelle elle m'aida à me lever du moins c'est se que je m'efforcai de croire puisqu'il ne lui a pas fallu longtemps pour lâcher sa mainsuite à cela je suis retombé parterre.

La douleur était bien présente mais elle était moins grave que la première chute car je n'étais pas entièrement debout je dirais que la douleur se situe entre 40% et 45% comparé à la première.

Miyazaki —"Mince ma main à glisser !"

Jeu d'acteur correcte mais réplique zéro.

Moi —"Se n'ai rien."

Miyazaki —"Me voilà rassurée."

Elle me l'a dit en souriant de plaisir.

Ne voyant aucun vêtements Sumiyaki dit cela

Sumiyaki —"Alors vous avez les vêtements ?"

Miyazaki —"Oui il sont derrière vous ayant vu Kakehi parterre je n'ai pu m'empêcher de lui venir en aide le plus rapidement possible."

Elle fit une voix assez inquiète pour paraître plus crédible.

Sumiyaki —"D'accord merci beaucoup."

Ensuite elle enchaîna avec ceci

Sumiyaki —"Je vais lui montrer le fonctionnement de la douche alors est-ce-que vous pourriez nous attendre dehors jusqu'à que l'on sortent ?"

Miyazaki —"Compris."

Juste au moment où elle s'apprêtait à sortir elle s'arrêta.

Miyazaki —"Attendez «jusqu'à que l'on sortent ?»"

Je ne l'avais pas remarqué jusqu'à que Miyazaki le répète.

Sumiyaki —"Oui, il y a un problème ?"

Miyazaki —"Vous aller vous lavé avec ce----"

Elle ne continua pas sa phrase.

Sumiyaki —"Même si je lui explique le fonctionnement des boutons je doute qu'il les retienne tous, je compte l'assister pour éviter qu'il ne fasse n'importe quoi."

En d'autre terme je suis incapable de mémoriser.

Miyazaki —"Je ne permettrait jamais ça"

Miyazaki ne semble pas vouloir renoncé d'ailleurs elle lui fait comprendre mais cela n'empêcha pas Sumiyaki de remporter l'affrontement puisque contre toute attente elle a haussé le ton sur Miyazaki.

Miyazaki —"D'accord…"

Elle l'a directement accepter.

Tout de même cela ne l'empêcha pas de me jetté un regard sombre avant de quitter la salle de bain.

Sumiyaki —"Fuu… je n'aime pas devoir haussé le ton…"

Elle ne semblait pas être fière d'avoir haussé le ton contre Miyazaki.

Sumiyaki —"Bon je vais pouvoir commencer à t'expliquer le fonctionnement de chaque boutons mais d'abord changeons nous."

Elle commençait à se devêtir devant moi sans aucune gêne je mis une main devant mon visage pour ne pas regarder.

«Je sais il n'y avait pas plus clichés que de mettre une main devant mon visage mais je l'ai quand même fait.»

Sumiyaki —"Pourquoi vous ne changez vous pas ?"

Moi —"Parce-que nous sommes…"

J'avais du mal à terminer ma phrase néanmoins Sumiyaki l'à complété.

Sumiyaki —"Car vous êtes un garçon ? Il n'y a pas de problème avec ça. avez-vous remarqué que les vêtements que vous portez ne sont pas à vous ?"

Moi —"Pour être franc au début je n'avais pas remarquer mais après je l'ai remarqué, pourquoi ?"

Je lui ais dit la vérité car je n'avais aucune raison de lui mentir sur ce sujet.

Sumiyaki —"Et si je vous disais que nous n'avons pas dans cette maison la technologie qui permet de déshabiller un être humain."

Je ne comprenais pas où elle voulait en venir je lui est donc demander d'être plus précis, chose qu'elle fit assez rapidement.

Sumiyaki —"En d'autre terme, une personne à dû vous déshabiller pendant que vous dormez afin de vous changez."

Cette fois ci j'avais compris le plus gros morceau mais un détail m'échappais toujours.

Moi —"…"

Sumiyaki —"Avez-vous regardé si vous aviez le même sous vêtement ?"

En disant cela elle rigola en tentant de le disimuler avec mes deux mains devant sa bouche.

J'ai immédiatement légèrement baissé mon pantalon pour comfirmer ces dires et fort heureusement j'avais le même sous vêtement.

L'espace d'un instant j'ai bien cru que mon cœur allait s'arrête.

Sumiyaki —"C'était une blague vous auriez dû voir votre tête !"

Ne pouvant se retenir davantage elle éclata de rire sous mon nez.

Se que je ressentais n'était pas de la honte mais du soulagement, pour évacuer mon stress je n'est pû m'empêcher de laissé échapper un léger sourire discrètement.

Il lui aura fallut pas moins de deux minutes pour qu'elle arrête de rigoler, je crois que c'était la première fois que je la voyais rigolé longuement.

Mais toute fois une question subsistait toujours je lui ai donc là question et elle me répondit ceci

Sumiyaki —"Étant donné que Miyazaki n'était pas encore de service à cette heure là et qu'il n'y avait personne d'autre à part moi qui était présent à la maison hormis mon père je me suis donc occupé de vous tout ce temps jusqu'à votre réveille. Je vous ais surveiller et puisque vous aviez beaucoup de transpiration je vous est nettoyé le corps avec une serviette humide et je vous ais aussi changé de vêtement."

Sans même lui avoir demandé des précisions elle m'en a quand-même donné bien que j'aurai préféré l'ignorer.

«Attendez elle m'a nettoyé le corps ?!»

Avant que je ne m'enflamme je me suis reconcentré sérieusement en lui posant une autre question qui trottait depuis longtemps dans ma tête.

Moi —"J'aimerais savoir quelque chose, à qui appartient les vêtements que je porte ?"

S'il y avait bien une question a laquelle j'aimerais qu'elle réponde en premier se serait sans aucun doute cella la.

Sumiyaki —"Ils m'appartient."

Sa réponse me laissa sans voix.

Moi —"Comment se fait-il qu'il sont à ma taille ?"

Sumiyaki —"Ils ne devrait pas être aussi grand à la base, enfaite ma mère est à l'étranger en ce moment et puisque je lui avais demandé de m'acheter des vêtements là-bas elle le fit sans le moindre délai d'attente mais lorsque je les aient reçu au moment de les essayer la grande majorité était plus grand que m'a taille donc j'avais décidé de les garder pour quand j'aurai grandi, bien évidemment j'ignorais qu'ils seront utilisées plutôt que prévu. Pas de quoi être heureuse de les voir être porté dans de telles circonstances voilà la raison pour laquelle je ne vous l'avez pas fait remarquer."

Son visage s'est un peu attristé en fessant cette révélation.

Moi —"Je vois…"

Sumiyaki —"Trêve de bavardage, quand est-ce-que vous alliez à votre tour vous déshabiller ?"

Une fois déshabiller complètement sans couvrir la moindre partie de son corps à l'aide d'une serviette elle s'en alla sur une des chaises de bain, elle s'asseya dessus en commençant a se mettre du shampoing.

«Comment fait-elle pour éprouver aucune gêne dans une telle situation ?!»

Plusieurs choses ne collait pas avec sa personnalité assez timide lorsqu'elle voulait fixé un rendez vous avec moi et maintenant, malheureusement je n'ai pas fait la moindre recherche sur… à si j'avais fait une recherche mais celle-ci n'avais aboutit à rien hormis le fait que j'avais trouvé le coupable devrai-je lui en faire part ? Je pense que cela n'aboutirait à rien d'autant plus que si je lui annonce ça le suspect sentira qu'elle est au courant puisqu'elle n'agira pas comme d'habitude, même si il y a aucune preuve que se serait moi qui lui aurait annoncé il ne faut pas écarté les possibilités les plus infimes.

Alors que je posais cette question à moi même elle m'interpella à nouveau.

Sumiyaki —"Vous attendez quoi ? Si vous ne fessé pas vite j'aurai déjà fini avant même que vous ne commencé."

Était-ce de la pression que j'étais sensé recevoir car j'en avais reçu.

Avant de me déshabiller je lui est demander si je pouvais garder la serviette autour de ma taille et elle m'a répondu que je pouvais la gardé.

Me voilà rassurée à présent, j'ai enlevé les vêtements mais avant d'enlever mon sous vêtement j'ai mis en vigueur l'une des techniques que j'utilisais lorsque nous nous changeons dans les vestiaires pour nous rendre à la piscine.

Même si ont étaient entre garçons je préférais me changer en cachette.

Compétences:

«Serviette protectrice autour de la taille.»

-Taux de réussite 97%.

Cette technique consiste à mettre votre serviette autour de la taille afin de préserver votre intimité.

La grande majorité du temps je me plaçai dans un des coins des vestiaires.

-Inconvénients : Cette technique peut tout autant vous rendre visible que invisible puisqu'il suffit d'un camarade assez turbulent pour enlever la serviette autour de votre taille et vous voilà la risée du vestiaire.

Une fois ma technique achevé je suis partie rejoindre Sumiyaki en m'asseyant sur la chaise se trouvant à sa droite.

Après avoir mouillé un peu mon corps je mis du shampoing sur mes mains et commençai à frotter ma tête.

Peut de temps après avoir commencé à me frotter la tête Sumiyaki se leva pour rejoindre la douche au moment où elle s'apprêtait à faire un pas elle glissa sur du shampoing qui se trouvait juste à nos pieds.

Sumiyaki —"Kyaaa !"

Moi —"Attention !"

Me trouvant devant Sumiyaki elle m'emporta dans sa chute à cet instant je plaçai mains autour d'elle pour lui éviter une chute douloureuse, malgré cette chute libre surprise je suis tombé comme je le souhaitais afin de minimiser la douleur.

Sa tête se situait à droite de mon torse, je pouvais sentir ses cheveux mouillés se collé à mon torse nos peaux entrèrent en contact, elle était douce toutefois quelques choses d'autre m'interpella.

«Mais qu'est-ce que c'est ?»

C'est une sensation qui m'était jusqu'à présent inconnu, je dirigeais ma main vers la source et je la touchait à ce moment précis Sumiyaki fit petit gémissement je l'ai retouché une seconde fois et le même bruit provenant de Sumiyaki atteint à nouveau mes oreilles j'ai ensuite regarder l'endroit qui intriguait ma main et cette zone était la poitrine de Sumiyaki.

Moi —"Je suis vraiment désolée !"

Je m'excusais mais étonnamment elle fit de même

Sumiyaki —"Je suis vraiment désolée cela fait la deuxième fois que vous me sauvez."

Elle semblait vouloir pleuré.

Finalement comme je le pensais elle se mit à pleurer.

Ne savent pas quoi dire je l'ai laissé ainsi.

Miyazaki —"Saleté qu'à tu fais à Sumiyaki ?!"

En ouvrant la porte sévèrement Miyazaki cria cela.

Moi —"Je n'ai rien fait !"

Je tentais désespérément de me faire entendre mais elle ne voulait rien entendre après avoir fait un constat des lieux elle vit Sumiyaki sur moi.

Miyazaki —"Sale saleté !"

Sans que je ne puisse me défendre en lui racontant ce que c'était réellement passé elle leva Sumiyaki et la rince pour enlever la mousse sur ses cheveux et son corps puis ensuite elle l'a couvrit avec une serviette pour ensuite l'emmené hors de la salle de bain.

Avant de partir elle me dit ceci

Miyazaki —"J'avais raison on aurait jamais dû te faire rentrer ici mais son père voulait t'hébergé car tu avais sauvé sa fille même si je m'étais opposé à l'idée il n'a rien voulu savoir."

Son aura et son regard assassin avait quadruplé elle continua

Miyazaki —"Je te laisse 20 minutes pour partir de la maison !"

Elle s'en alla sur cette dernière réplique.

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