Épisode10: Une fin classé sans suite PARTIE 1

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Épisode10: Une fin classé sans suite PARTIE 1

Quelques heures après l'événement qui c'était produit au parc je me revaillai dans une chambre obscure avec seul lumière, le reflet de la lune qui se propageait en plein milieu de la pièce.

Après avoir échangé quelque dialogue elle m'annonca que j'allais devoir rencontre son père puisque ce dernier lui avait donné comme ordre de m'envoyer le voir lorsque je me serais réveillé.

Je suivis Sumiyaki dans les couloirs, l'endroit ressemblait plus à un donjon que à une maison, c'était bien la première fois que je pénétrais dans une telle demeure.

Elle en profita pour de me faire une petite visite guidée des pièces qui se trouvait sur le chemin, celà était interminable.

10 minutes nous avaient été nécessaire afin de nous rendre dans la pièce où j'étais convoqué.

Mes jambes commencèrent à flagellé, mon cœur avait atteint ses limites niveau rythme cardiaque, il faut croire que ce genre d'ambiance ne me réussit guère.

Alors que j'étais en panique total Sumiyaki toqua à la porte trois fois.

—"Entrez."

Nous sommes entré immédiatement.

La pièce dans laquelle je me suis réveillé était de même taille à peut prêt sauf que celle-ci possède de la moquette rouge, je pouvais apercevoir une cheminée, juste en face de celle-ci un fauteuil si trouvait avec une personne assis déçu.

—"Bonsoir Kakehi, comme ça tu à sauvé ma fille de l'employé que j'ai embaucher personnellement ?"

«Sauvé ? Non... plutôt un petit peu aidé.»

Moi —"Pas réellement puisque quand ceci est arrivé je voulais aller au toilette et c'est à ce moment-là que je suis venu l'aider..."

Je fus interrompu par la domestique que j'avais pas remarquer en entrant, elle me murmura

—"Comment ose tu mentir de la sorte à son père petit insolent, si tu continue comme ça je vais te séquestré dans le sous-sol !"

Elle avait su en a rien de temps que j'avais mentis à moitié en plus elle me menaça sévèrement.

—"Un soucis, Miyazaki ?"

Ce rapprochement soudain suscita une interrogation de la part du père de Sumiyaki Kidori.

Tout en s'éloignant de moi elle répondit

Miyazaki —"Non rien, je lui demandais si il voulait du sucre dans son thé."

Son mensonge était parfait car elle utilisait son travail qui est d'être aussi au service des clients de son employeur comme moyen de se rapprocher de moi afin de me menacé tout en fessant croire qu'elle m'avait demandé quelque chose en lien avec son métier.

«Pas le temps de lui faire des éloge sur la façon dont elle ment car je dois corriger mon mensonge.»

Moi —"Oui toute à fait, c'est bien moi le héro qui a sortie Sumiyaki des griffes de ce pervers."

Sumiyaki hochait la tête après ma réplique victorieuse.

Oups j'en est trop rajouter, cela ne manqua pas d'irriter Miyazaki elle me lança un regard d'assassin.

Sentant l'aura qui se dégageait d'elle je recula sur ma gauche jusqu'à que je touche Sumiyaki.

Ne comprenant pas se qui était entrain de se passer elle me possa cette question.

Sumiyaki—"Que ce qu'il y a ?"

Moi —"Rien du tout."

Je ne pouvais rien lui dire puisque Miyazaki était entrain de me dévisagé au même moment, son aura avait triplé lorsque je suis entré en collision avec l'épaule de Sumiyaki Kidori suite à ça je suis aller à sa gauche.

Avoir un réceptacle pourrait augmenter considérablement mes chances de survie.

Un tasse de vain à la main il me dit

—"Merci infiniment pour ce que tu as fait, je ne serai comment te remer..."

Il s'arrêta brutalement en pleine phrase.

Miyazaki soupira tout en se dirigeant vers le meuble à vain qui se situait derrière le bureau.

Sumiyaki —"Bon moi je vais aller prendre un bain."

«Ne m'abandonne pas à mon triste sort !»

Sans que je n'ose prononcé cette phrase elle s'en alla.

—"Kakehi qu'est-ce que tu veux, je t'offre tout."

Sa voix avait changé

Septique au mot «tout» je tentai quelque chose d'impensable.

Moi —"Pourrais-je avoir votre fille ?"

Après Un blanc de 5 secondes il rigola.

De l'autre côté Miyazaki venait de faire tombé une bouteille de vain.

—"Doucement Miyazaki vous savez combien cette bouteille ma coûter... ah, et si ont jouaient à quelle est le prix de cette bouteille ? Le gagnant répartira avec ma fille !"

Miyazaki —"D'accord, je participe aussi !"

Aussi ? J'en conclu que on m'a rajouter dans le jeu sans mon accord même si il est vrai que l'idée d'avoir Sumiyaki venait de moi, je voulais juste lui faire comprendre que le mot «tout» était dangereux dans des cas où il serait mal utiliser.

Elle me regarda avec détermination.

—"Vous êtes prêt, alors combien cette bouteille ma telle coûter ?"

Miyazaki —"Elle coût 475800 yen sans oublier la taxe de 25% cela revient exactement à 567360 yen"

Sans n'avoir pu dire un seul chiffre elle remporta le jeu.

En général je n'aime pas perdre à un jeu vidéo mais puisque sa en été pas un cela ne me fis ni chaud ni froid.

Elle me montra la bouteille en se moquant de moi même étant loin je pouvais apercevoir l'étiquette sur laquelle le prix était marqué.

—"Tu a gagné ma..."

Au moment où il allait annoncé le gagnant il s'arrêta à nouveau brusquement.

Miyazaki —"Il s'est endormi..."

Elle m'annonça cela en ayant une mine dessus

Moi —"Finalement il y a que des perdants."

Elle ignora ce que j'avais dit en changeant de sujet

Miyazaki —"Tu était dans quelle chambre ?"

Moi —"Je ne sais pas. Vous été où avant que je viens ici ?"

Miyazaki —"Je travaille que de nuit du coup j'étais chez moi mais on m'a averti qu'ils t'avait ramener ici au alentour de 19h30 je peux pas t'aider à retrouver ta chambre sauf si tu me dis comment elle était."

«19h30... j'ai donc dormi 6h15 ici...»

Le seul problème c'est que la chambre n'était pas éclairé donc je n'avais pas pu la voir.

Moi —" Le problème c'est que je ne pouvais pas savoir comment elle était puisque j'étais dans le noir lors de mon réveil."

Miyazaki —"Et après ton réveil tu l'a pas allumé ?"

Moi —"Non car mes yeux ne pouvaient pas supporté la lumière."

Miyazaki —"Enfaite tu sert vraiment à rien..."

Elle possa sa main sur sa tête afin de me faire comprendre qu'elle était désemparée.

Miyazaki —"Bon de toute manière quoi que tu me dises je ne pourrai pas t'aider à retrouver ta chambre puisque je dois déjà m'occuper de Mr Sumiyaki, comme tu peux le constater il se trouve dans un piteux état."

Même si je ne pouvais pas le voir dans face, ce qu'elle venait de me dire me donnais une idée dans l'état qu'il se trouvait.

Miyazaki —"Aller déguerpis d'ici !"

Sans même n'avoir pû parlé, elle me mit à la porte.

Alors que je pensais que j'allais être livré à moi même dans cette maison qui ressemble plus à un donjon la porte se réouvre à moitié.

Miyazaki —"Ah oui c'est vrai, j'ai failli oublier le plus important dans toute cette affaire."

«Va tu me donner la carte de ce donjon ?»

Mes yeux brillaient de suspense.

Miyazaki —"Si jamais tu te rapprocher trop de Sumiyaki Kidori je te ferais la peau."

Elle me laissa sur cette dernière phrase qui sonnait plus comme une menacé qu'une mise en garde.

J'ignorais complètement se qui poussait Miyazaki à se comporter de la sorte à mon égard, la seule chose que j'avais remarqué était qu'elle est plutôt mignonne.

«Faut vraiment que j'arrête de penser comme ça quand je fais face à une personne du sexe opposé de plus sont comportement est exécrable envers ma personne.»

Rien que en repensant à son expression cela me fessais froid dans le dos.

Des pensées pas très net commençai à se manifester dans ma tête et plus particulièrement ce scénario qui fait de moi la victime de l'histoire puisque dans celui-ci on me retrouvais dans un lit vraisemblablement mort suite à mes blessures, je n'est pas plus de détails concernant les circonstances du meurtre mais croyez moi que la victime (moi) n'était pas conscient lorsque ceci est arrivé.

«Comme-ci que sa arriverai.»

Suite à tout ces événements qui se sont passer je décidai de faire l'inventaire de toute les infos que j'ai en ma possession afin de retourner dans ma chambre.

-Aucun objet disponible dans votre inventaire.

Destination : inconnu.

Je m'en doutais je n'ai aucun indice pour me repéré.

Tout les portes se ressemblent il est impossible de les identifier de la sorte.

«Donc tout va se joue au hasard ?»

Je commençai à chercher dans toute les pièces qui se trouvait sur le chemin quand un détail me revint à l'esprit.

Moi —"Comment ai-je fais pour oublié un tel détail !"

Une fois avoir fini de me plaindre de mon incapacité à réfléchir, je mis se à quoi je pensais à exécution.

Quand je m'étais réveillé l'une des premières choses que j'avais fait était d'avoir sentie le parfum que la couverture dégageait, si jamais j'arriverai à reconnaître l'odeur de cette dernière je pourrai savoir si c'est la bonne pièce où non.

Je doute fortement que ce soit l'une des chambres que j'ai déjà visité jusqu'à present étant donné que le trajet que j'avais effectué avec Sumiyaki était largement plus long.

Rentrer dans chaque chambre afin de sentir leurs couvertures pourrait me faire passer dans le plus pire des cas pour une personne à l'activité louche mais c'était le seul moyen de reconnaître la chambre donc je ne pouvais me plié a vouloir gardé cette image de moi.

Celle-ci sera ma neuvième pièce à explorer, sans compter les salle de bain et toilettes j'en étais plus précisément à quatre chambres.

Moi —"Je n'avais jamais vu un tel nombre de salles de bains et toilettes dans une seule maison. Celle là sera donc là cinquième couverture que je devrai sentir"

J'ouvris la porte délicatement pour éviter de réveillée quelqu'un si jamais une personne serait venu entre deux se coucher tout en la refermant derrière moi, jusqu'à la aucun problème je ne pense pas qu'il y ait quelqu'un mais puisque je ne suis pas sûr je décidai de ne pas allumé la lumière.

En fessant un sorte de ne pas faire un bruit je me dirigeai vers le lit, une fois devant je saisis la couverture afin de la sentir, il m'a fallu plus de trois fois pour confirmer que c'était bien la même odeur.

Moi —"J'ai enfin retrouvé la bonne chambre !"

Alors que je pensais être tiré d'affaire un nouveau problème se pressanta à moi.

D'où j'étais je pouvais entendre des bruits de pas qui se fessait de plus en plus fort c'est instinctivement que je me cache sous la couette étant donné que celle-ci était déjà en désordre je doute que je me face repérer immédiatement.

Comme prévu la porte s'ouvrit je ne pouvais pas voir la personne qui était entré dans la chambre.

La seul chose que je savais c'était qu'elle était entrain de fredonner une chanson.

J'entendis l'ouverture d'un placard.

Alors que je pensais pouvoir tenir sous la couette la chaleur que cette dernière procurait été chaque seconde de plus en plus prononcé afin d'éviter que j'agonise sous cette chaleur insupportable je fis une petite ouverture à l'aide de mes deux mains pour éviter un mouvement sèche qui pourrait nuire à la planque d'autant plus si cette personne serait amené à regarder en direction du lit.

Voir la couverture de son lit se mettre à bouger légèrement serait totalement terrifiant.

Je pris une grande bouffé d'air frais.

Je décidai de regarder dans le petit trou que j'avais fais afin d'aérer l'espace confiné dans lequel je me trouvais lorsque que je vis que la personne qui était dans la pièce n'était autre que Sumiyaki.

Alors que j'étais en panique l'oeil avec lequel j'étais entrain de regarder Sumiyaki ne voulais pas détourner du regard puisque celle-ci était entrain d'enfiler sa culotte rose.

"je suis pitoyable à préciser la couleur de la culotte de Sumiyaki."

Me suis-je mis à penser.

«Heuresement qu'elle était de dos...»

J'aurai réellement préférer que cette réplique se réalise, malheureusement celle-ci s'est réalisé seulement à moitié puisqu'il était vrai qu'elle était de dos mais sur la portière droite du placard se trouvait un objet que l'on nomme miroir en d'autre terme, j'ai tout vu.

Une fois sa culotte enfilé suivi d'un t-shirt elle ferma le placard tout en se dirigeant vers la porte.

Même si j'avais réussi à faire un trou celui-ci était tout de même assez petit, la chaleur ainsi que l'humidité lier à ma respiration commencèrent à devenir insupportable.

«Pourvue qu'elle s'en aille, pourvue qu'elle s'en aille, pourvue qu'elle s'en aille...»

Ces mots se répétait en boucle dans ma tête

D'où je suis je n'ai pas vu sur la porte, il serait risqué de bouger afin d'avoir un meilleur angle.

D'un coup la lumière s'éteigna, mon champs de vision à été réduit à néant puisque j'ai besoin d'une bonne minutes pour que mes yeux puisse commencé à percevoir dans l'obscurité mais avec seulement un œil cela devient plus compliqué.

Bizarrement je n'ai pas entendu la porte s'ouvrit ni se fermé.

Subitement quelque chose souleva la couette, je suivis le mouvement en me reculent en arrière.

C'était Sumiyaki qui c'était allongé dans le lit juste à côté de moi sans le savoir.

En plus de manqué d'air je devais restreindre ma respiration pour éviter qu'elle la sent.

Je ne me situait pas au niveau de sa tête ni au niveau de ces pied mais bien entre les deux, je ne pouvais m'empêcher de me rappeler sans cesse quand elle était nu entrain d'enfiler sa petite culotte.

Je devais me ressaisir mais mon instinct de male alpha n'arrivais à m'en dissuader, si je reste de la sorte il ne serait pas étonnant que je passe l'acte.

Bien que ma volonté soit contre il y a des chose comme celle-ci qui nous font perdre le contrôle de notre corps.

Alors que je tentais de me débattre intérieurement mon côté Alpha prit le dessus.

Je commençais à dirigé ma main en direction de sa culotte alors que je tentais de résister elle saprochait de plus en plus de son objectif qui était de toucher au moins la culotte de Sumiyaki.

Ceci me fis pensé à une mécanique de jeux dans lequel nous devons appuyer de façon répété sur le même bouton afin de réussir l'acte sauf que pour moi c'était plutôt pour lutter de toucher la culotte de Sumiyaki.

Juste avant que ma main ne se pose sur son objectif j'entendis quelqu'un toqué à la porte puis entra.

Miyazaki —"Sumiyaki votre camarad..."

Pour une raison que j'ignorais elle s'arrête en plein milieu de sa phrase.

Elle prit une grande inspiration avant de continuer avec ceci

Miyazaki —"Où se trouve Kakehi ? Je ne le trouve pas."

En réalité elle était inquiète à mon sujet d'où cette question, je savais qu'en réalité elle avait un bon fond.

Alors que je lui fessais des éloges digne de ce nom je sentis à travers la couverture une aura pesante qui était celle de Miyazaki se doubler de rage.

«Impossible elle m'aurais remarqué ?»

Sumiyaki lui répondit immédiatement

Sumiyaki —"Il se serait enfuie ?!"

«Attendez, quoi... l'opération séquestration serait t'elle déjà en route ?»

Elle enchaîna

Sumiyaki —"Je vais t'aider à le chercher !"

Lorsqu'elle se leva ma main rentra légèrement en contact avec la culotte de Sumiyaki cette dernière ne semblait pas l'avoir remarqué puisqu'elle continua son chemin

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