Épisode9: Mon premier rendez-vous.

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Épisode9: Mon premier rendez-vous.

Aujourd'hui on est mercredi, toute l'après-midi le ciel à était d'un bleu éclatant sans le moindre nuage gris à l'horizon.

J'aurais pour la première fois de ma vie de collégiens mon premier rencard avec une fille de ma classe qui fait partie des filles les plus mignonne de la classe mais c'était à ma plus grande des surprises que celle-ci avait un penchant tordue pour les chien ayant apparemment un regard soumis elle tomba littéralement sous le charme.

«Ai-je besoin de préciser que je parle bien de mes yeux et pas de moi.»

J'ai commencé à me préparer vers 16h55 pour ne pas être à la bourre, je suis arrivé au lieu du rendez-vous 5 minutes en avance je jetta un regard au alentour mais je vis ne personnes.

«Pourquoi je me suis tend presser de la sorte ?»

Je laissa échapper un soupir toute en m'apitoyant sur mon sort.

C'est seulement 10 minutes plus tard qu'une silhouette qui appartenait à ma camarade de classe fit sont apparition c'était bien la première fois que je l'a voyais sans son uniforme scolaire, elle portait une salopette en jean avec un t-shirt de couleur blanc, d'habitude ces cheveux sont lisse mais pour aujourd'hui elle les avait fait bouclé elle c'était aussi maquiller sans oublier un petit sac à main elle était vraiment sublime on aurait dit une poupée.

«C'est une tenue assez original»

Sans n'avoir aucune notion en terme de mode ces mots étaient sortis naturellement.

Alors que moi je m'étais habillé comme à mon habitude en somme je ne m'étais pas trop pris la tête.

Sumiyaki —"Désolé je suis en retard !"

Moi —"Pas du tout ! Je viens d'arriver moi aussi."

Comme-ci que je pouvais lui dire que j'étais arrivé 5 minutes en avance.

Un peu hésitante elle me demanda

Sumiyaki —"V...vous me trouvé comment ?"

Elle fit un petit tour sur elle-même pour montrer un aperçu de sa tenue dans tout l'étendu de sa splendeur.

«Ravissante, rayonnante, vous voulez éveillé une face cachée que j'ignore de moi-même n'est-ce pas ?!»

Moi —"Ravissante."

Sumiyaki —"Merci."

Son sourire était d'un éclat pétillant, je n'arrivais pas à croire se qui était entrain d'arriver.

Il serait sans aucun doute dommage de faire un mauvais pas dans une telle situation.

Sumiyaki —"Allons-y puisque je suis enfin arrivé."

Elle attrapa ma main tout en avançant en directions de la gare.

Mon cœur battait à 100 à l'heure, je ne pouvais plus réfléchir.

Moi —"..."

Quelques minutes plus tard nous arrivâmes à destination apparemment c'était un parc à thème j'ignorais complètement de quel thème il s'agissait jusqu'au moment où j'ai pu apercevoir une affiche dans laquelle on pouvait y apercevoir un chien avec une personne qui devait probablement être son maître. 

«Il fallait s'en douté, comme ai-je pu croire que c'était autre chose que ça.»

Pour une raison qui m'échappe durant le détour que nous avons du faire afin de rejoindre l'entrée du parc je n'ai vu personne à l'intérieur, ni même un chien et cela m'en ravis car j'ai un passé pas très joyeux avec eux entre les courses poursuites répétitif et les grognement abusif en ma présence.

Ma barre craintif ne fait qu'augmenter lorsque je vie ces genres de situations.

Je me demande se qu'on allaient faire dans ce parc spécial pour chien de plus, vont il nous laisser entrer alors que nous n'avions même pas un seul chien.

un homme se tenait près de l'entrée, sa devait être l'employé du parc.

Sumiyaki —"Excuser moi je suis venue pour promener mon c...chien, mais il semblerait que je n'ai pris de lès avec moi, est-ce que vous en auriez une à me prêter ? S'il-vous-plaît."

Son regard était doux et tendres à la fois.

Je me demande bien qu'elles genres de personnes pourraient ne pas céder fasse à ce visage mignon de plus, elle avait bien positionné le "s'il-vous-plaît" afin de rendre la demande difficile à décliné.

—"Oui bien sûr, mais je ne vois pas votre chien où est-il ?"

Ce fut à ma plus grande des surprises que sa demande c'était vu à moitié refusée.

Je me suis aussi mis à chercher en même temps que lui.

Sumiyaki —"Comment ça ? Vous ne le voyez pas ? Il est juste à côté de moi."

La seule chose que se tient auprès de Sumiyaki c'est moi, du coup devrai-je en déduire que ce chien, c'est moi ?

—"Vous vous fouter de moi, partez d'ici !"

L'employé commença à nous crier dessus sur un ton colérique qui n'avait pas plu à Sumiyaki.

Sumiyaki —"Vous êtes nouveau ici ? C'est bien la première fois que je vous vois ici ? Serait-ce votre première journée ?"

Avec toute ces questions sa ne devait pas être là première fois que Sumiyaki visite ce parc.

L'employé toujours aussi désagréable, lui répondit

—"Ouai et alors ? Tu compte faire quoi ? Me virer."

Il ricana tellement fort qu'il commençait même à gèner les alentours, juste à côté de l'entrée une personne âgée qui était entrain de passer le regarda froidement mais ce dernier bien décidé à continuer sur sa lancée lui lança en retour le même regard, la vielle dame étant impuissante elle ne pouvait que se contenter de continuer sa route.

«Vous avez tenue bon, malheureusement vous ne pouviez rien faire fasse à ce genres de personnes.»

Moi —"Sumiyaki ont devrait s'en aller comme il nous la conseillé."

Dans la plupart des cas je suis défaitiste.

Alors que je tentais de la convaincre un sourire inquiétant venant de sa bouche fit son apparition devant nous.

En me retournant en direction de l'employé je vis que sa tête n'était pas du tout la même.

Sumiyaki —"Alors comme ça je dois partir d'ici.

Elle insista sur le «D'ici»

—"Heu... il y a un malentendu !"

Le regard de Sumiyaki était devenu terrifiant en une fraction de seconde, même moi qui n'est pas sont ennemi m'avais donné la chair de poule.

Sumiyaki —"vous êtes sur ?"

Sont expression faciale était subitement redevenu à la normal.

L'employé en stress tendit aussitôt une lès à Sumiyaki toute en s'inclinant.

Sumiyaki —"Merci."

Une nouvelle fois le sourire qu'elle m'avait fait venait de réapparaît.

Aucune faille n'était présente sur son sourire, elle ne joue donc pas un jeu lorsque je suis avec elle je pourrais même dire que ce dernier est authentique mais avoir ce genre de penser sur des sujets qui me sont complètement Inconnus pourrait me nuire si je ne fais pas attention.

Je n'ai pas réellement compris tout se qui vient de ce passer mais grâce à l'acharnement que Sumiyaki avait nous avons enfin pu mettre un pied dans le parc.

Au loin j'avais pu entendre l'employé dire quelque chose de dégradant envers Sumiyaki mais je fis mine de rien.

Des étendues d'herbes verte, telle était la vue que j'avais en face de moi de plus, je pouvais apercevoir un grande lac au loin, celle-ci devait sans doute indiqué le centre du parc.

Un panneau en bois se situait à mi-chemin de la fontaine, je partis y jeter un coup d'œil accompagner de Sumiyaki, elle ne voulait d'ailleurs pas me laisser seul.

Moi —"Pourquoi est-ce que vous restez si proche de moi ?"

Bizarrement elle ne se comportait pas pareille qu'à l'école.

Se n'est pas que cette situation me déplaît mais j'aimerais bien pouvoir me déplacer librement de plus, cela pourrait peut-être l'inciter à m'avouer ce qu'elle doit me dire ce soir à l'avance.

Sumiyaki —"Quoi ? Vous n'aimez pas que nous soyons si proche ?"

Ces yeux commençaient à briller.

C'était un regard triste mais cette fois-ci je n'avais pas ressenti l'authenticitė comme comme celui de toute à l'heure.

Sans vouloir la rendre d'avantage plus triste je décide de la laisser faire ce qu'elle voulait de moi, en restant dans le raisonnable bien évidemment.

Tout en laissant un soupir d'impuissance je lui dit

Moi —"Trės bien, faite comme vous voulez."

Son visage était redevenu à la normal.

Après avoir fini de lire le tableau qui contient toutes les règles à respecter avec quelques informations sur le parc Sumiyaki me fit une demande.

Sumiyaki —"Kakehi est-ce-que vous avez déjà une petite amie ?"

Attendez, aurions nous là la demande qui signifierait que elle voudrait sortir avec moi si je lui répondais «Non».

En regardant autour de moi je suis immédiatement revenu à la raison.

«Les chances pour qu'un tel événement se produisent sont vraiment infime de plus je n'ai jamais vue une quelconque déclaration se réaliser dans un parc pour chien.»

Moi —"Non, pourquoi ?"

Je me suis seulement contenter de 2 mots qui sont «Non et Pourquoi» ceci est l'un des meilleurs combo des personnes qui sont nul en communication, ce combo contient une réponse et une question que demander de mieux lorsque des questions un peu délicate nous sont posées.

Sumiyaki —"Non rien c'était juste pour savoir."

Comme je m'en doutais elle a contrecarrer mon plan qui consistait à savoir ce qui l'avait poussé à me poser cette question avec cette simple phrase qui est le fléau de ma phrase.

Moi —"Ok."

Après sa nous décidâmes de faire le tour du parc, les voie routières qui entourait le parc était peu fréquenté, on pouvait aussi apercevoir des oiseaux dans le ciel, peut après celà Sumiyaki me proposa d'aller s'asseoir sur un banc pas très loin de l'endroit où nous nous situons.

Sur le chemin Sumiyaki trébucha dans l'herbe, par réflexe je l'a rattrapa de justesse.

Moi —"Vous aller bien Sumiyaki ?"

Sumiyaki —"Oui je vais bien."

Elle avait eu un coup de frayeur.

Au moment où je m'apprêtais à la redresser ma main touchait quelque chose de très moelleux, c'était sans le savoir qu'elle était partie sur la poitrine de Sumiyaki.

Alors que je me préparais à dire "Désolé je ne voulais pas vous touchez la poitrine !" Sumiyaki me dit

Sumiyaki —"Merci pour ton aide"

Moi —"Mon aide pour avoir toucher votre poitrine ?"

Alors que je pensais l'avoir pensé intérieurement celles-ci avait été dit à voix haute.

Sumiyaki —"..."

Son visage était recouvert de honte, elle baissa sa tête suite à ce que je venais de dire.

Moi —"Se n'est pas ce que vous croyez !"

Comment pourrait-elle me pardonner après ce que je viens de dire sans le vouloir.

Sumiyaki —"C...comment les trouver vous ?"

Sans m'y attendre elle m'avait poser une question assez gênante.

«Pourquoi est-ce que elle me pose cette question.»

Doux et moelleux était les mots que j'aurais voulu lui dire

Moi —"Comme je vous l'ai déjà annonce tout à l'heure, je n'ai jamais eu de petite amie auparavant donc je ne pourrais d'écrire cette sensation."

De plus je doute que je ferais une telle chose si j'aurai eu une petite amie.

Sumiyaki —"Ah bon."

Elle me voie comme un pervers ?

Sans m'y attendre une seconde, elle prit ma main et la plaça sur sa poitrine.

Moi —"Mais que ce que vous faite ?!"

Sumiyaki —"Vous le sentez, mon cœur ?

La conversation était passé de malsaine à une conversation qui pourrait être interprété autrement.

Toujours ma main sur sa poitrine je lui répondis

Moi —"Oui, pourquoi ?"

Sumiyaki —"Enfaite, je vais..."

Alors qu'elle s'apprêtait à me dire quelque chose elle toussa énormément se qui la coupa en pleine phrase, elle dû prendre appuie sur moi.

Je me suis mis à regarder le ciel en lui posant la question qui suit

Moi —"Laisse moi deviné, vous avez une maladie qui plus est incurable ?"

Mon côté pessimiste venais de se montrer en face de Sumiyaki.

Des pensées négatifs envahissaient mon esprit à cet instant là, envisager le plus pire des scénarios fait partie de ma personnalité il faut croire.

Sumiyaki —"De quoi est-ce que vous me parlez ?"

Confus je ne savais pas quoi lui dire

Moi —"..."

Soudainement j'entendis un petit vibrement, cela devait sans doute être son téléphone portable.

Sumiyaki —"Ah, pourriez-vous m'attendre ici je vais au toilette."

Aussitôt dit aussitôt fait elle s'éloigna en direction des toilettes.

Après 5 minutes d'attente des questions commencèrent à m'envahir l'esprit

«Les toilettes sont-ils save à cette heure-ci ?»

Ce genres de questions trottait dans ma tête, afin de m'assurer que rien de dengereux ne lui arrive je me suis approché des toilettes.

«Rien à signaler» au moment où j'allais partir j'entendis la voix d'un homme provenant des toilettes, les toilettes des hommes et des femmes étant proche je ne pouvais pas exactement savoir dans laquelle cette personne ce trouvait je suis donc partie vérifiée celle des hommes pour éviter une autre gaffe de ma part.

À mon arrivée je ne vis personne, je me suis précipitée sans tarder dans celle des femmes et vis un homme qui plaquait Sumiyaki contre le mur en essayant de l'embrasser, je l'ai d'abord interpellé afin qu'il la lache lorsqu'il se retournit je le reconnis immédiatement c'était l'employé du parc.

«Un téléphone m'aurais été utile.»

Dans ce genre de moment je me blâme de ne pas avoir de téléphone.

Si jamais je décidais de l'affronter de la sorte mes chances de réussite serait misérable j'ai donc analysé l'environnement autour de moi le seul objet que je pouvais prendre était un ballet

Moi —"Cela peut faire l'affaire."

—"Qu'est-ce-que tu crois faire avec un ballet."

Il rigola très fort une nouvelle fois avant de sortir quelques chose de sa poche.

—"Ne m'oblige à devoir m'en servir, si tu veux sortir indemne de cette histoire je te conseille vivement de partir d'ici."

Elle ne semblait pas bluffé.

Moi —" C'est vrai tu vas me laisser si je part d'ici ?

Il n'est pas toujours trop tard, j'ai encore une chance de m'en sortir sans aucune égratignures si je lui obéisais.

—"Bien sur je n'ai qu'une seule parole après tout."

Moi —"D'accord, j'accepte, de toute manière je n'ai jamais apprécié les ennuis après tout."

Alors je que j'étais entrain de parlé avec l'employé Sumiyaki était toute en larmes lorsqu'elle entendait que j'allais m'enfuir pour ma propres survie en la laissant à son triste sort.

—"Alors tu vas me passer ton ballet doucement et délicatement."

Il tendit son bras droit en avant pour attraper le ballet.

Moi —"D'accord."

Je tendis le ballet en sa direction comme il me le demandait, quelque centimètres avant qu'il ne puisse l'atteindre je mis toute ma puissance pour le poussé contre le mur, Sumiyaki s'écarta du mur au bon moment, l'impact un peu brutal le fit lâcher son couteau.

À l'impact je crie

Moi —"Sumiyaki, cours appelé de l'aide !"

Je savais à l'avance que mes chances de réussite serait faible mais je ne pouvais pas abandonner quelqu'un dans ce genre de situation.

—"Tu vas le regretter !"

Son regard c'était assombri, ce qui m'avais mis un coup de pression.

Il arriva à se dégager en un rien de temps il ramassa son couteau tout en se ruant sur moi, j'avais réussi à esquivé son premier coup suivie du deuxième il me lança sont couteau au niveau de l'épaule gauche je n'avais malheureusement pas pu esquivé ce projectile mais la vitesse du couteau n'était pas assez fort pour pouvoir perforé ma peau de plus, j'avais une veste qui aurait pu diminuer les dégâts subit.

Après ce lancer de couteau il se rua sur moi en me fessant tombé parterre, étant donné qu'il se trouvait sur moi cela lui donner l'avantage du combat, de toute manière je doute fortement que j'aurai pu faire quelque chose si c'était moi au-dessus.

Suite à ce plaquage il commença à me ruer de coup de poing.

Je ne pouvais que tenté de me protéger au mieux.

—"Si seulement tu m'aurais obéi je t'aurais laisser tranquille mais tu a voulu jouer au héros !"

Alors que je me fessais ruer de coup un léger sourire se manifesta.

—"Qu'est-ce-qui te fais marée !?"

Moi —"Je me demandais juste comme tu allais réagir après t'être fait arrêter."

—"Je t'ai tellement frappé que tu en a perdu les pédales."

Au moment où j'allais abandonner ma garde, j'entendis la voix de Sumiyaki qui semblait être avec les renfort.

D'une voix essoufflé elle dit

Sumiyaki —"J'ai ramener des renforts !"

Hurla t'elle.

Les renforts qu'elle avait ramèner était en réalité que un renfort de plus on l'avait déjà croisé aujourd'hui c'était la vielle dame qui était passé près du parc.

Je me demande comment elle a fait pour arriver en même temps que Sumiyaki puisqu'elle n'est plus toute jeune.

«Serait ce ma fin ?» alors que cette phrase raisonnait à l'intérieur de moi la vielle dame ne resta pas de marbre, elle s'est mit dansune position de conbat que je ne connaissais pas.

—"Tu crois que tu vas faire quoi ? Tu n'ai plus toute jeune."

Alors qu'il se moquer d'elle cette dernière ne se laissa pas influencer, dès lors il avait finit sa phrases la vieille dame lui lança un coup de pieds, ce seul coup l'avais mit KO directement.

Juste après ça je perdis connaissance.

Lorsque de mon réveil, une lumière scintillante ce situait en plein milieu de la pièce ce qui rendait une grande partie de la pièce visible dans l'obscurité.

Je sentis un parfum envahir lentement mon nez, ce dernier provenait de la couverture.

«Sa sent bon»

Alors que j'étais concentrer sur ce doux parfum, je n'avais pas remarquer que j'étais dans une pièce que je ne connaissais pas, me trouvant dans un lit sa devait être une chambre.

J'enviais la personne à qui cette chambre appartenait.

Alors que je me demandais toujours dans quelle endroit j'étais exactement, la porte s'ouvrit.

Une voix anxieuse me possa cette question

—"Vous vous êtes réveillée ?"

Pourquoi me demander cette question puisque tu vois bien que je suis réveillée.

Ne connaissant pas mon interlocutrice j'ai juste répondu d'un "Oui"

Elle alluma la lumière.

La lumière était tellement puissante que j'avais dû mal à ouvrir les yeux.

Moi —"Ah ! Mes yeux."

«Elle voulait peut être m'achevé ?»

Ma façon de penser était celle de tout otaku car lorsque l'on jouer au jeux vidéo nous avons besoin de minimisé toute source de lumière puisque celle-ci a la capacité à nuire à notre vision sur l'écran, imaginer même une seconde être arrivé à un boss mais au moment où vous allez donné le coup de grâce une lumière brillante apparaît sur votre écran vous ne pourrez plus savoir où le boss se situe on peut dire que vous seriez désorienté, suite à cette incident vous allez prendre des mesures afin que cela ne se reproduise plus, la plus simple est celle de se couper de tout contact avec la lumière en d'autre terme, nous jouons la plupart du temps dans le noir pour éviter ces attaque lumineuse, se qui rend nos yeux plus sensible à la lumière.

Prise de panique, elle éteint immédiatement la lumière.

Alors que j'étais entrain de me tortiller intérieurement pour cette question insensé elle se précipita vers moi inquiéte à mon sujet.

Même s'il fessait noir j'avais entrevue son visage lorsqu'elle passa dans la zone illuminé par la lune c'était celui de Sumiyaki.

Juste en face de moi elle me dit

Sumiyaki— "Kakehi vous allez bien ?!"

Moi —"Oui"

Ce mot n'était pas suffisamment fort pour calmer l'angoisse qu'elle a dû subir durant mon sommeil se qui l'a poussa à reposé une seconde fois sa question.

Sumiyaki— "Kakehi est-ce-que vous allez vraiment bien ?!"

Inquiète sur mon état elle ne pouvait rester sur place.

«Un mot ne suffit pas ? Je vais tenter d'en rajouter»

Suite à cette question je fis l'effort d'ajouter à ma réponse de base "Très bien."

Après lui avoir dit cela sont visage semblait plus apaisé que tout à l'heure.

Sumiyaki —"J'étais vraiment inquiète à votre sujet."

«Ne se répète t'elle pas depuis tout à l'heure ?»

Ne sachant pas comment répondre je changea de sujet.

Moi —"Est-ce-que vous savez l'heure qu'il est ?"

En mettant son index sur son menton elle se mit à réfléchir, après quelques secondes sans n'avoir prononcé un seul mot elle sortit du silence.

Sumiyaki —"Je dirais qu'il est au alentour de 1h47"

1h40 ne suffisait donc pas ? Elle a ajouté le 7 comme si qu'elle pouvait être autant précis.

Pendant que j'étais entrain de me poser cette question Sumiyaki se leva en se dirigeant en direction de la fenêtre, d'où j'étais je pouvais apercevoir son ombre qui se reflétait au millieu de la pièce.

Sumiyaki —"attendez je vais vérifier celà."

Je ne lui avais rien demandé mais il semblerait qu'elle voulait être plus précis dans sa réponse, c'est vrai que une horloge nous aiderait grandement.

Moi —"quelle heure affiche l'horloge ?"

Alors que j'étais persuadé qu'elle regardait l'heure sur une horloge elle me répondit

Sumiyaki —"Quelle horloge ?"

Je fus confus de sa reponse, je n'ai pu lui répondre.

Sumiyaki —"En comptant les secondes qui se sont écoulés jusqu'à présent il est 1h51 exactement, je me suis trompé de 2 minutes"

Comment fessait t'elle pour savoir l'heure ? C'était la question qui circulait dans ma tête ensuite la seconde m'étais un peu plus dure à lui faire part puisque à la fin de sa phrase elle semblait légèrement irrité de pas avoir eu raison sur l'heure qu'il était exactement, d'ailleurs cela m'avait immédiatement fait rappeller tout les évènements qui mon conduit jusqu'ici et un élément sortait du lot plus particulièrement, c'était bien ce sourire qu'elle avait eu lorsque l'employé avait fait marche arrière sur ces propos envers Sumiyaki, je me suis donc juste contenter de lui faire part de ma première question.

Moi—"Comment aviez vous fait pour connaître l'heure sans horloge."

Je fis semblant d'être enthousiasme pour découvrir la manière donc elle a procédé, je voulais à tout prix que ce visage ne réapparaisse pas devant moi de plus je voulais impérativement rester en dehors de toute cette histoire même si en vrai je savais que cela était trop tard puisque maintenant je me trouvais au centre de toute cette histoire.

En tentant de me lever, des douleur au niveau de mes bras se manifestait, j'aurai aimé crier de douleur mais je me suis retenue afin que se séjour ne se prolonge pas.

Une fois les zone à douleur critique repéré je suis partie rejoindre Sumiyaki comme-ci derien n'était.

Sumiyaki—"avec ça."

Elle pointa son doigt en direction du ciel en me montrant la lune.

Moi—"La lune ?"

Sumiyaki—"Ah oui j'avais oublié que mon père m'avait dit qu'à vôtre réveil devez passer le voir."

Elle semblait s'être remise puisque sa voix été redevenu normal.

Moi —"Pourquoi vôtre père voudrait-il me..."

Mon cerveau a cessé de fonctionner à cet instant précis.

Moi —"Je suis chez vous ?"

Je pensais être chez là vielle dame mais j'avais tort.

Sumiyaki —"Chez-moi, pourquoi ?"

Que vais-je devenir après la confrontation à son père.

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