Épisode8: La révélation d'une lettre.

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Épisode8: La révélation d'une lettre.

Après que sensei nous ait donner les grandes lignes de se que nous devions faire, plusieurs groupes c'était formé afin de répartir les tâches équitablement, plus où moins. Bien évidemment les groupes qui avait été formé était tous axé sur le leader de la classe qui n'est autre que Omura, même si quelques groupes clandestins c'était formé afin de lutter contre ce dernier, la meute de suiveur les fit changé d'avis en a rien de temps, pour éviter d'être leur proie ils se sont dispersés.

Tout mes camarades était déjà sortis de l'entrepôt lorsque j'y mets les pieds, après quelques secondes passer à observer je vis la silhouette qui appartenait à Kikuchi.

Après avoir eu une conversation un peu malaisante avec Kikuchi, à ma plus grande des surprises elle me demanda un service.

À ce que je me souviens lorsque que nous acceptons un service une fois d'une quelconque personne cette dernière aura la mauvaise tendance à prendre un pli sur celui qui rend service, d'ailleurs une histoire similaires m'étais arrivé il y a pas très longtemps de ça.

Une camarade de classe qui était mignonne à la fois me demanda gentiment si je pouvais ramasser son stylo qui était tombé sous ma table c'est sans aucune hésitation que je le ramassa pour le lui rendre elle m'avait aussi dit merci, rien d'anormal jusqu'à là jusqu'au jour où pendant les pauses, ma solitude misérable eu vent d'une conversation qui tournait autour de moi.

«Elles s'intéressent vraiment à moi ? Je suis leurs style peut-être ou bien l'une d'elles m'aime peut-être ?»

Je pensais à ce genre de choses sauf que aucun de ces raisonnements n'était le bon.

La fille que je trouvais charmante m'avait révélé une autre facette que je connaissais pas, je pense que je n'étais pas le seul à avoir vue ce côté méprisant qu'elle avait avec autrui lorsqu'elle ne leur font pas face.

J'avais eu le droit à ces genres de mots

 —"Tu a encore fais tombé ton stylo sous sa table n'est-ce-pas ?"

Un léger sourire sortit du coin de sa bouche

Sumiyaki —"Oui et alors ?"

—"C'est quand que tu comptes lui annoncer ?"

Sumiyaki —"Sa avance doucement mais sûrement, vaut mieux ne pas brusquer la chose.

Lorsqu'elle lui possa cette question elle rougit légèrement.

—"Tu à de la chance d'avoir trouvé une personne qui va devenir ton petit ..."

Jusqu'à là tous les éléments liés à une déclaration était présent, dans ma tête je m'imaginais déjà à saluer ma future petite amie qui est à mes yeux l'une des plus belles filles de la classe, mais très septique à mon imagination qui dépasse l'entendement je suivis la conversation jusqu'au bout et croyez moi que ce qu'elle avait annoncé était toute autre chose qu'une déclaration.

Elle suivie 

—"Chien."

Sumiyaki —"J'ai déjà un chien chez moi mais je ne peux pas le ramener à l'école, il me manque tellement."

Elle croissa les bras sur sa table tout en fessant une mine désespéré.

—"Je le sait très bien, quand tu m'invite chez toi, tu emmènes ton chien partout à croire que tu le préfères à moi."

Elle lança cette réplique sur un ton d'humour.

Je voyais au loin le sourire qu'elle venait de faire c'était de toute évidence un mensonge afin de camouflé le vrai sens de sa phrase, je suis plutôt doué pour deviner se genre de détails à force de passer mes journées à écouter les conversations des autre cela avait renforcer mes aptitudes autour du mensonge.

Sumiyaki —"c'est le seul qui répondait à mes critères qu'est « L'Obéissance » et le plus important à mes yeux «La soumission» j'aime le regard qu'il fait lorsqu'il ramasse mon stylo."

—"Quelle regard fait-il ?"

Sumiyaki —"Bah... Il ne me regarde pas, n'ai-je pas là la preuve qu'il est bien soumis."

Sa copine sentant que les évènements la dépassait totalement, se contenta de lui répondre d'un "c'est vrai".

Sumiyaki —"Il lui faudra un nom je me demande comment je vais bien pouvoir l'appeler."

Elle réfléchissait au nom qu'elle pourrait me donner.

—"Mais il n'a même pas encore dit oui que tu veux déjà lui trouver un noms."

Sumiyaki —"C'est vrai comment devrai-je procédé ?"

Sa copine tira une tête qui voulait dire comment suis-je censé te répondre alors que je n'ai pas de réponse à cette question insensé.

Elle fit un léger bon en avant

Sumiyaki —"Et si je lui envoyait une lettre ?"

—"j'avoue que ce n'est pas bête comme idée."

Mon ouïe était passer de fine à misérable, dans ces genres de moment là, je maudit ma solitude. La sonnerie de reprise des cours venait de retentir.

Je n'avais pas pu entendre la fin de conversation puisqu'elles l'avais fini hors de la classe, je n'aurai pû me permettre de les suivre derrière cette porte.

Quelque jour plus tard le moment fatidique arriva.

Comme prévu j'avais reçu une lettre dans mon casier mais elle était accompagné d'un collier, je suis pas très doué pour faire la différence entre un collier et un collier pour chien. Je me suivie ressouvenu d'une deuxième péripéties qui était liée avec les collier.

Un après-midi ma classe et moi étions sur le chemin afin de nous rendre dans la forêt, une de mes camarades avait un collier autour du coup, c'était bien tout ignare que je lui avait demandé pourquoi elle avait un collier pour chien autour du coup, d'ailleurs je me souviens toujours de sa tête, ce n'était pas du mepris non plus que j'etait un dechet mais bel et bien que j'étais inexistant pour elle, ce qui avait plongé les deux rang derrière moi plus son rang et le mien dans une atmosphère étouffante qui avait duré tout le trajet jusqu'à la forêt.

La lettre était de couleur rose avec un coeur au niveau de l'ouverture, même si je me doutais bien du contenu de la lettre mon cœur battait à 100 à l'heure, c'était la première que je ressentais cela, d'habitude cela m'arrive uniquement chez moi lorsque que je joue à un jeu vidéo stressant.

Mes mains commencèrent à devenir moite, je pris une profonde inspiration, puis en premier lieu j'entrouvi la lettre pour savoir à quoi m'attendre, et comme je m'en doutais il y avait plusieurs photo d'un chien, chien qui devait être sans doute être le sien à mon avis, on aurait pû croire à un choix d'illustration mais l'intention était de toute évidence présente, la lettre commença par se qui s'ensuit

M —«Cher Kakehi Hikeru si vous lisez cette lettre que j'ai mise dans votre casier c'est que la fin des cours vien tout juste de retentir, j'aimerai avoir une conversation avec vous à ce moment-là, je vous donner rendez-vous derrière notre établissement avant 16h 35 si vous ne vous présenter pas à cette heure-ci avec le collier cela signifierait que vous refusiez ce que j'aurai à vous dire.»

Le Destinataire se présentait sous le nom de code M, il ne m'a pas fallu longtemps avant de connaître la signification de cette lettre d'ailleurs.

Il me restait environ 3 minutes pour me rendre au lieu du rendez-vous, 2 options s'offrait à moi, la première était que soit j'ignorais la lettre et toute cette histoire ce finissait maintenant où soit que j'acceptais de me rendre au rendez-vous, je me suis mis à pensée à tous les efforts qu'elle avait dû faire afin de préparer ce jour-là, finalement j'opta de m'y rendre.

Lorsque je me suis rendue au lieu du rendez-vous j'aperçois une silhouette qui était de dos c'était bien ma camarade de classe Sumiyaki qui se tenait devant moi.

L'endroit était à l'ombre, heureusement que j'ai l'habitude d'être dans le noir.

Au même moment que je m'arrêta elle se retourna 

Sumiyaki —"Merci d'être venue Kakehi."

Je fis l'ignorant.

Moi —"Ce n'est rien, alors vous voulez me parler de quelque chose ?"

Sans m'en rendre compte ma phrase venait de lui mettre un coup de pression, gêner elle eut légèrement du mal à me répondre

Sumiyaki —"Euh... Oui, je voudrais vous demander un truc... vous pourriez accepter s'il vous plaît ?"

Sans même me faire comprendre la chose qu'elle attendait de moi, elle me pressa dans une demande que j'étais sensé ignorer.

Moi —"Qu'elle est le truc que vous souhaitez tant me dire ?"

Je jetta un petit regard en direction de ses yeux, soudainement elle me tendit une seconde lettre, c'est en étant surpris que je tendit en retour ma main pour la récupéré.

«Elle l'aurait faite au cas où elle n'aurait pas pû s'exprimer en face de moi ? bizzare puisque quand elle était avec son amie elle avait une assurance imposantes envers ses intentions de me dresser qui aurait cru qu'elle se retrouverait pétrifié d'en faire la demande.»

À cet instant ce n'était pas de la colère que je ressentais mais bel et bien de la pitié et quand je commence à avoir de la pitié c'est bien à ce moment que mes choix deviennent les plus chaotiques.

La transaction se fit sans aucun échanges verbaux.

Dans cette seconde lettre elle expliquait qu'elle voudrait que nous sortions nous promener dans un parc qui se situe pas très loin de notre collège et que avant que se soit l'heure de rentre elle me dirai ce qu'elle voulait me dire aujourd'hui.

Si j'aurai pas entendu la conversation de l'autre jour je pense que j'aurai pu croire qu'elle m'invitait à un rendez-vous pour me déclarer sa flamme avant de rentrer, comme à la télévision enfaite mais cela était une illusion monté de toute pièce.

Un léger bruit de buisson se fit entendre, on serait espionné ?

Ma camarade de classe toussa à plusieurs reprises comme ci qu'elle voulait camouflé quelque chose.

Elle Brisa le silence

Sumiyaki —"Alors ?"

Ses yeux était à la fois doux et embué.

J'avais fait genre que je réfléchissais mais en réalité mon choix était déjà fait à l'instant ou j'ai su que nous allions nous promener à deux dans un parc, c'était bien la première fois que je me fessais invité par une fille mais cette atmosphère du lieu qui avait été choisie me fit penser à quelque chose mais je ne savais plus quoi exactement.

Moi —"Hum... D'accord."

À mon annonce son visage c'était apaiser, un grand cap venait d'être franchit.

Je sais pas si c'était moi mais on dirait que la situation avait été inversé, étrangement je dominait la conversation alors que de base j'étais sensé être un peu la proie en quelque sorte.

Sumiyaki —"Ok, je vous donnerai la date du rendez-vous dans les jours qui suivent."

Nous nous sommes quitté sur cette dernière phrase qui sonnai comme une conversation entre deux amoureux qui débutaient leur relation.

J'ai donc regagné mon casier pour y récupéré l'a première lettre que j'y avais laissé mais à mon plus grand des malheurs elle c'était volatiliser, un problème venais tout juste de se créer par mégarde.

Vu l'heure qu'il était le voleur devait sans doute déjà avoir quitté les lieux, de toute façon je n'ai qu'une infime chance de le retrouvé parmi tous les élèves de l'établissement de toute manière je pense que ce serait perçu comme une simple déclaration parmi tant d'autres et puis je suis méconnu de tous, en d'autre terme les chances de me faire interpellé par un élève se situe entre 0,01% et 0,07%, ce sont bien des chiffres misérable.

Quelque jours plus tard, des rumeurs me concernant vont bon train depuis que cette lettre m'a été dérobé, et de nouvelles infos viennent précisément de surgir. Des informations qui attise tous les fans de légende urbaine, c'était de toute évidence un scénario que je ne n'avais jamais joué dans ma tête, je me demande bien comment peut-on passer d'une simple lettre de déclaration à une rumeur un peu bon marché.

C'était lors du changement de classe que je vis le fameux prospectus dans lequel était marqué le contenu de la lettre, je peine à croire que un seul exemplaire serait en vadrouille.

C'est seulement quelques mètres plus loin que mes dires furent confirmé, il y avait bien plusieurs exemplaires. Lorsque je décida d'en lire le contenu j'en fut confus, plus de la moitié de la lettre d'origine avait été modifié à ma plus grand des surprises les réel intentions caché à travers cette lettre avait été révélé au grand jours.

Moi qui pensais quand acceptant ce rendez-vous j'échapperai à ce genre d'événement majeur, bien que mon visage était inconnu par la plupart des élèves de l'établissement je ne pouvais pas en dire autant de celui de ma camarade de classe qui était hélas inconnu de personnes.

Je n'avais jamais préciser ce point là mais elle fait partie du troisième plus grand groupe du collège ce qui fait de elle pas n'importe qui comparé à moi qui peine à intégrer un groupe même petit soit-il.

Connaissant maintenant sa vrai facette je compris pourquoi elle n'était pas dans l'un des deux premiers groupes.

Je pourrais soupçonner tous le monde mais je me devais de rester calme face cette situation ahurissant, je repris mon souffle avant de me mettre en marche vers la première personne qui pourrait être le fameux semeur de trouble, bien sûr je ne compte pas interagir avec ce dernier puisque je ne serai quoi lui dire.

De plus, il m'est impossible d'engager une conversation avec un inconnu de mon gré d'autant plus si celui qui devait ouvrir le bal ne serait autre que moi, il faut que je trouve une alternative à la conversation.

À mon arrivée en classe personne ne me regarda, c'est triste à admettre comme à mon habitude aurais-je envie de dire, sauf un seul regard qui était celui de Sumiyaki.

Après avoir eu un contact visuel d'au moins 3 secondes sans lui faire de signe je m'assis à ma place, je ne pouvais pas lui dire que la lettre avait été volé, il était normal qu'elle pense que c'était moi qui était l'auteur de la nouvelle version qui circulent dans les couloirs.

J'ai donc éviter tout contact, étrangement elle était quand-même venue me voir 

Sumiyaki —"Bonjour Kakehi, euh... Vous savez pour le jour de notre rendez-vous... je voulais savoir si vous avez du temps libre mercredi après-midi ?"

Sumiyaki posa ces deux mains sur les bords de ma table.

De là je pouvais apercevoir sont décolleté.

«C'est donc ça qui m'attend si jamais je serai amené à être son petit ami ?!»

Alors que ma bave était à deux doigts de dégouliner je détourna mon regard.

Comme à mon habitude je fis genre une nouvelle fois que je réfléchissais si ce jour-là j'avais du temps libre alors que en réalité je savais pertinemment que rien d'important m'attendais, hélas tel est la jeunesse d'aujourd'hui, paraître occupé rend les gens plus cool, c'est comme sur téléphone lorsque que je communiquais avec mes amis, non plutôt mes camarades de classe et plus particulièrement des filles, déjà que nos dialogues était pauvres, elles prenait une heure pour me répondre c'était bien évidemment pour paraître occupé tandis que moi lorsqu'elles me répondait ma réponse venait dans les 5 seconde qui suivait jusqu'au jour où je me suis fait appeler de "no life" par l'une d'elles, ce fut un réel choc, et depuis ce jour lorsque je recevais un message je me contente juste d'appliquer ce que la jeunesse instaure derrière son passage en lui répondant 10 minutes après de manière à moins paraître comme un "no life", même si pour ma part j'aurais eu la nette tendance à appeler celà de la prompte réactivité.

Je vais lui dire que je suis libre sans en faire trop, cela pourrait me rendre bien trop prétentieux.

Je fis semblant de réfléchir

Moi —"... Ma mère m'a rien demandé de spécial... du coup je suis disponible mercredi après-midi."

Sumiyaki —"Vous êtes sûr votre mère ne vous a rien demandé ?"

Elle persistait

Moi —"Non."

Sumiyaki —"C'est cool que vous aider votre mère de nos jours la plupart des jeunes n'aide plus trop leurs parents."

Elle était heureuse, je ne pouvais plus faire marche arrière en lui annonçant que tout ceci était un mensonge.

Sumiyaki  — D'accord c'est super alors, et pour l'horaire..."

Elle mit son index près de son menton tout en prenant une mine pensive.

Sumiyaki —"17h30 ça vous va ?"

Elle semblait légèrement soulagé de ma réponse 

«17h30 me paraît un peu tard pour un rendez-vous.»

Bien que je doutais du contenu de cette sortie celà ne m'a pas empêché d'accepter.

Moi —"Oui."

Sumiyaki —"Ok, Nous nous rejoindrons devant le collège."

Elle retourna à sa table finalement joyeuses, ce qui la rendit deux fois plus mignonne.

Je me demande comment elle fessait pour sembler heureuse puisque la vrai nature de sa lettre avait été révélé, la seul chose que j'ai en conclue de cette discussion etait que le regard que nous nous étions échanger n'était pas réciproque.

À ce moment-là ma tête était légèrement chamboulé, je repris une nouvelle fois une profonde inspiration pour que mes idées soit clair, je me suis donc mis à observer son amie, il y avait que elle qui était présent lors de l'annonce de la lettre.

«...Attend comment ai-je fait pour oublié un tel passage, suis-je bête ? »

Je me suis ressouvenu du moment où les deux ont quitté la classe, pourquoi serait t'elle sortie ? Deux hypothèses s'offre à moi, la première est qu'elles avait eut une envie pressante en même temps tandis que ma deuxième hypothèse se basserais autour de leurs cercle d'amis, malheureusement j'en connais pas beaucoup sur les personne qu'elles fréquentes.

Je vais devoir enquêter sur eux aussi ?

Je doute réellement que je puisse trouvé le coupable si je me met à tous les observer, une seule solution observer ma camarade pour que je puisse voir lesquels de ces amis je verrai les plus sortir du lot.

Une fois la sonnerie de midi c'est loin derrières elles que je me suis mis à les suivre, pour paraître plus crédible j'ai emmené mon bento avec moi.

C'était sûr à 100% qu'au moins une bonne vingtaine de personnes aller être au rendez-vous puisqu'elle fait partie du troisième plus grand groupe du college.

Le groupe se dirigeaient vers la porte qui mènent en dehors de l'établissement, Sumiyaki et tous ses amis se sont installer près d'un arbre sur la zone vert de notre collège, le soleil tapait légèrement mais pas de quoi à en crever de chaud.

Je pense que même si je m'installais prêt de eux ils ne me verraient pas mais je ne vais pas prendre de risques puisque le coupable pourrait être l'un d'eux donc je vais me contenter de rester à une distance save puisqu'il doit connaître mon visage.

Plusieurs groupes d'élèves étais assis sur les marche avant mon arrivée.

Je me suis assis sur l'une des marche qui mènent vers les classes de clubs, d'où je suis je ne peux pas entendre ce qu'ils se disent, observer leurs comportement envers Sumiyaki me suffisait amplement.

Pour qu'une personne vienne causé du tort à une autre c'est forcément que l'autre personne à pénétrer dans le territoire de ce dernier, en d'autre terme j'ai franchis la ligne que cette personne avait tracé depuis longtemps contre mon gré.

Après quelques minutes d'observation intense une personne sortait le plus souvent du lot, c'était un garçon au cheveux blonds qui restait la plupart du temps près même très pré d'elle de loin on aurait pû croire à un vrai couple mais je ne pense pas que ces deux là ont ce genre de relation vu que Sumiyaki a un petit penchant tordue pour les chiens, à le voir au loin il ne m'a pas l'air soumis comme moi.

«je me rabaisse tout seul, je suis vraiment lamentable.»

Plus les minutes passèrent plus les doute je que portait sur lui devenait visible, j'ai compté le nombre de fois où il l'avait touchait, j'en suis précisément à 39 fois et seulement 7 fois pour la fille qui ce trouvait à sa droite, sans l'ombre d'un doute je tiens mon coupable.

Mais maintenant que j'ai le coupable de la lettre que vais-je faire? Ne pouvant parlé à personne de cette incident, l'affaire reste irrésolvable, en d'autre terme tout ce que j'ai fait a servi à rien puisque je n'ai pas pris en compte mon niveau misérable en communication avec autrui.

Finalement je suis retourner en classe avant eux pour ne pas en croisés sur mon chemin.

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