Épisode7: Un Talent caché à la vue de tous.

10 minutes de lecture

Épisode7: Un Talent caché à la vue de tous.

Mlle Kizugawa —"Bon nous allons pouvoir enfin commencer à préparer les terrains. Comme je vous l'ai annoncé jeudi dernier, nous entamons déjà le dernier cycles de sports."

Apparemment elle nous l'avait déjà dit jeudi sauf que moi ces jours-là je ne vais pratiquement jamais ce qui me laisse assez dans flou sur les rôles qu'ils avaient planifier jeudi soir.

Après que sensei est fini ses petits explication qui pouvait m'être que incompris, toute la classe se sont directement dirigé vers la petite salle où l'on stock tout l'équipement de sports du collège.

L'endroit était peut éclairer digne d'une zone qu'on pourrait qualifier de lugubre sans la moindre once d'hésitation.

Attendez ne vous méprenez pas par «role» ,nous allons bien évidemment pas faire du théâtre qui plus est dans le gymnase de plus à en juger par les équipements que mes camarades ont déjà commencé à ramené, faire du théâtre avec une raquette et un volant serait de toute évidence moqué à fortiori par toute la classe, même moi en général qui rigole peux en public pourrait m'arracher un sourire bête mais qui reste avant tous un sourire parmi tant d'autres.

Tanaka —"Que est-ce que tu fais planté là, sans bouger."

Faudrait savoir lorsque tu dis que je suis «planté là» à ce que je sache une plante ne se déplace pas, alors c'est logique que je sois pas entrain de bouger à moins qu'elle soit transporté dans un pot de fleur mais ce n'est pas la plante qui ce déplace bien qu'elle soit en mouvement comment certains pourraient le pensé mais plutôt le pot de fleur, je pars juste du fait que quand quelqu'un demande à une autre personne de la déplacer elle dit la plupart du temps «pourriez vous mettre le pot de fleur sur la table».

Il me comme si de rien n'était.

Moi —"Je n'imaginais pas devoir adresser la parole à un soit disant amie qui a essayé de me vendre."

Tanaka —"«Vendre» ? Tu utiliserait pas là un terme assez fort ?"

Moi —"«Assez fort» dis tu ? N'ai-je pas le droit d'employer le terme qui s'harmonise parfaitement à la situation dans laquelle je me trouvais il y a maintenant quelques minutes de cela.

Tanaka —"C'était juste une blague, rien de bien méchant."

Pourtant le visage qu'il tirait tout à l'heure ne me disais pas du tout la même chose.

Moi —"Tu sais pourtant très bien que n'aime pas sortir du lot, alors si tu m'annonce que je doit faire des pompes devant tous le monde c'est sûr que avec ça je me démarque du groupe."

Tanaka —"J'aurais plus envie de dire que c'était une chance unique de montré tes talents."

Il mit sa main devant lui tout en le pressant.

Il veut me montrer sa force ?

Moi —"Tu sais très bien que ces deux monde sont différents, regarde toi."

Tanaka souleva son t-shirt et regarda son ventre.

En fessant ce geste tout à fait normal à mes yeux mais qui était un tout autre au yeux des filles j'entendis des mots toujours aussi désagréable à son sujet venant d'elles.

—"Regardez moi ce gros pervers veut nous montré son corps tout maigre."

Tanaka —"Tu à raison en fin de compte."

Je ne vais pas nié que le fait qu'il se soit fait une raison part rapport à tout ça me mis dans un état plus apaisé.

Tanaka "Mais... je parlais de toi au début."

Ne vas t'il jamais s'arrêter, bon sang.

Moi —"Où veux tu en venir part là ?"

Un fois de plus Tanaka Repositionna correctement ses lunettes en reprenant un sourire plutôt flippant.

Tanaka —"Montre moi ton ventre."

Si à ce moment là j'aurais été spectateurs de ces mots qui peuvent prêter à confusion je serais à cette instant auprès des filles à l'insulter .

Un peu confus je bégaye

Moi —"Euh... je ne sais pas de quoi tu voulais parler en disant «tes talents» mais malheureusement pour toi je possède pas ces talents."

Tanaka —"Me serais-je trompé à ton sujets ?"

Je me rappelle encore lors de ma venue dans ce collège lorsque que je me retrouvais seul pendant les pause à attendre que la sonnerie des cours retentisse, chaque seconde était d'une ennuie Infini jusqu'au jour où Tanaka m'adressa la parole pour me demander si je voulais bien me joindre à lui, j'étais gêné mais en même temps heureux mais ça c'était avant que Saotome ne viennent en début d'année.

Tanaka avait avis de la même façon avec moi, je croyais être spécial mais tout ça n'était qu'une illusion, maintenant on pourrait dire que je suis devenu son ami de seconde zone. Je vais pas nié que ce ne fut pas ma première fois que je passe à la seconde zone voir même parfois à la troisième zone et dans un cas des plus rare à l'effacement total de moi dans leurs mémoires, quel tragédie.

Moi —"Nul doute, tu t'ai trompé de personne. Ont se connait depuis deux ans maintenant, si j'aurais eu le moindre talent crois moi que je me tiendrais pas à côté de toi en ce moment."

Que se soit lui où moi qui aurait possédé ces «talents» devrai-je insisté sur le fait que je parle de talent au pluriel ce qui signifie que nous avons affaire à plusieurs talents.

Nos chemins ne se serait jamais croisés puisqu'à l'instant où nous nous parlons je ne serai probablement pas là à ces côtés, je me serais fait pleins d'amis par les faits de mes talents et si sa aurait été lui, la probabilité qu'il serait venu me voir n'aurai cependant clairement pas bougé. À en juger par le comportement des filles envers lui, je ne peux que raisonné de cette façon car lorsqu'un groupe de filles t'attaque en début de scolarité tes chances de te faire des amis par la suite se voit drainée par un poids invisible au dessus des épaules qu'on nomme «humiliation» cette humiliation que chaque être humain a dû enduré au moins une fois dans sa vie même si je doute que le compteur reste qu'à 1.

J'aurais cependant décliné sont offre d'amitié tout en veillant à se que cela se fassent dans l'une des plus grandes discrétion afin que je reste tapis dans l'ombre car j'ai la nette tendance à faire tout ce qui est à mon pouvoir pour ne pas me démarquer du lot.

Dans tout types de groupe que se soit à mon avis en primaire, collège, lycée et en universités nous avons deux voie qui sépare la plupart des gens, la première que je vais nommé leader et la deuxième que j'appellerai suiveur. Je vais aller droit au but pour que personnes ne s'y perdent.

Les leaders se sont tous simplement les personnes qui alimentent le groupe dans lequel il se trouve, 75% du temps il sera au centre de l'intention et bien sûr les conversations autours de celui-ci iront du "elle sont de quelle couleur tes chaussettes" à "qu'est ce que t'a mangé se matin" avec de telles conversation superficielle ils arrivent a gardé tout leurs entourage actifs mais quand c'est une autre personne même venant de leurs propres groupes parfois vous pourrez vous attendre à ce que quelqu'un d'autre le coupe pendant qu'il parlait afin de rediriger la question au leader. Quel tragédie une fois de plus.

Dans mon cas, ce qui est sûr c'est que je ne ferai jamais parti du groupe de gens que je nomme leader, j'aurais plus eu tendance à être dans la catégorie des suiveurs voir même dans celle des suiveurs des suiveurs.

La seule information que je pourrais dire c'est que leurs nombres peuvent aller de cinq à dix dans la plupart des établissements dans lesquels j'ai été scolarisé.

Je peux vous garantir qu'un groupe de taille petite au yeux des autres aura la plupart du temps tendance a commencé à partir de quatre, en dessous de sa vous serait traité comme un «sans amis».

Je ne saurais vous énumérés le nombre de fois que j'ai entendu la phrase «voudrait tu te joindre à notre groupe» à des nouveaux venus que se soit pendant la pause déjeuner ou après les cours juste avant que les activités de clubs démarre. Ne me demandé pas comment sa se fait que j'entends beaucoup cette phrase car je suis dans aucun groupe, j'aimerais vous dire que étant la plupart du temps en mode Solitaire lors des pause ou tout simplement en classe la seule chose que je peux faire est d'écouter et observer mes camarades de classe, je me suis même attribué une médaille en or tant bien qu'en observation quand espionnant les conversations des autres contre mon gré.

De temps en temps et croyez moi que j'aurai vraiment préfèré être dans un groupe pour ne pas avoir a entendre certaines conversations que j'aurai bien voulu jamais en avoir eu conscience.

Tout en ignorant mes derniers parole il dit

Tanaka —"Je vois, je crois que tu t'en ai jamais aperçu."

il posa sa main sur mon épaule gauche avec une mine désespéré.

Tanaka"Je pense que toute a l'heure nous aurons droit a un bon match."

Sans que je comprenne le sens de sa phrase Tanaka s'éloigna de moi.

Tanaka —"Hikeru tu sais ne gâche pas tout avec ça."

Moi —"De quoi tu parle à la fin?"

c'est sur une question sans réponse que notre conversation se termina.

J'ai toujours détester les questions réponses avec cette éléments qui nous laisse la plupart du temps avec un aigre goût amer dans la bouche que l'on appelle suspense, les seuls facteurs qu'elle laisse derrière son passage sont sans aucun doute négatif et néfastes pour l'être humain je vais cité les plus connues d'entre elles qui sont majoritairement du stress, anxiété, angoisse.

Je jetai un léger regard en direction de l'entrepôt, avant de m'apercevoir que la moitié était déjà sur le terrain.

Moi —"Mince, j'avais oublié, avec toutes ces monologue intérieur que je devais moi aussi ramené le matériel."

C'est sans m'avoir divulguer le sport à l'étude que nous allons pratiquer pendant le dernier cycles de cette année que mes camarades ramenait petit à petit le matériel nécessaire au cours.

A vrai dire j'aurai pu tout simplement observer le matériels que mes camarades ont ramené pour qu'à mon tour je le prenne mais à mon arrivée là-bas il n'y aurait plus eu la moindre chose à apporter.

À cause de la discution avec Tanaka le temps pour que je ramène quelque chose c'était resserrer de manière assez sévère.

Heureusement que dès le début j'avais pu entrevoir une raquette, avec les filets j'avais eu le choix entre deux options la première était du volley ballon et le deuxième était du badminton, si j'aurais ramené un ballon de volley j'aurai été au centre de l'intention chose que j'ai toujours essayer d'échapper que se soit dans le mauvais sens dû terme que dans le bon.

Je jeta un regard cette fois-ci un peu plus modéré de manière à pouvoir trouvé un matériel à prendre, après dix secondes d'analyse j'avais enfin trouvé quelque chose qui manquait à l'appel.

Je me derigea sans aucune hésitation dans la zone de stockage afin de prendre les volants.

À ma plus grande des surprises l'entrepôt avait eu le droit à un changement total, moi qui pensais rentrer dedans pendant quelques secondes pour y resortir, je mettais fait de fausse idée.

Néanmoins cela ne m'avais pas pris plus de 40 secondes pour parvenir à la repéré, la fameuse boîte de volant ce situait au déçu d'une étagère au fond de l'entrepôt.

Seul question que je me posais à ce moment était «comment vais-je bien pouvoir atteindre la boîte ?» puisse qu'elle ne se trouvait pas à ma auteurs mais plutôt au double de ma taille, même avec une chaise il m'aurait été impossible de l'atteindre, de tout manière il n'y avait aucune chaise au alentour.

C'est seulement à quelques pas de l'étagère que je vit la silhouette d'une personne, c'était encore celle de Kikuchi qui essayait d'attraper la boîte mais sans succès bien évidemment.

C'était à prévoir que cela se solderait par un échec total ni plus ni moins. À en juger par sa taille les chances qu'elle avait se situait entre 0% et 7%.

C'est avec surprise que Kikuchi semblait préparer un coup spécial pour attraper cette boîte.

Kikuchi prit un léger élan avant de se mettre à courir en posant sont pieds droit sur le mur en sautant.

Finalement cette essaye était pour la deuxième fois un échec.

Je n'osais pas lui parler de mon propre chef depuis l'incident de toute a l'heure je m'en veux énormément.

«Bon je vais prendre mon courage a deux mains cette fois-ci pour aller lui parler sans avoir d'arrière pensé.»

Moi —"Vous avez besoin d'aide Kikuchi ?"

Surprise elle se retourna

Kikuchi —""Vous êtes là depuis quand Kakehi ?!"

Sans vouloir la rendre gêner de ces saut historique je me suis contenté de déformé la réalité.

Moi —"Je viens juste de venir. Pourquoi ?"

Sont expression changea légèrement et le ton de sa voix aussi

Kikuchi —"Je sais que vous me menter..."

«Quoi ? Mon jeu d'acteur à diminuer !?»

Moi —"Comment ça je mens?"

Je fis mine de ne pas comprendre où elle voulait en venir.

Kikuchi —"Je l'ai sentie à l'annotation de votre voix."

«De telles pouvoirs existent t'il vraiment dans la réalité ?!»

Kikuchi —"Vous avez vue n'est ce pas?"

Je baisa légèrement la tête en hochant la tête.

Elle se retourna en direction du mur en plaquant ces mains sur son visage, quelque seconde plupart elle se retourna en face de moi.

Kikuchi —"j'aurais un service à vous demandé, Kakehi."

Annotations

Vous aimez lire Keruichiwa ?

Commentez et annotez ses textes en vous inscrivant à l'Atelier des auteurs !
Sur l'Atelier des auteurs, un auteur n'est jamais seul : vous pouvez suivre ses avancées, soutenir ses efforts et l'aider à progresser.

Inscription

En rejoignant l'Atelier des auteurs, vous acceptez nos Conditions Générales d'Utilisation.

Déjà membre de l'Atelier des auteurs ? Connexion

Inscrivez-vous pour profiter pleinement de l'Atelier des auteurs !
0