Épisode4: Un geste qui engendre une dispute.

Lors de mon retour en classe je me suis aperçu que une autre classe y stationnait pris au dépourvu je me recula de deux pas et je toca tout en évoquant la cause de ma venue.

Moi —"Excusez-moi j'ai oublié mon sac en classe, pourrais-je entrer pour le prendre ?"

J'ai dû utiliser une voix douce afin de renforcer les chances qu'elle accepte.

«Ah...cette fameuse voix adoucit que nous faisons tous lorsque que l'on adresse la parole à un individu que nous ne connaissons pas où pour le respect envers cette personne la plus part du temps, je peux même vous donner quelque exemple si vous doutez de «mes dires».

Je commence avec la plus connue et surtout la plus pratiquer à travers le monde :

«Exemple numéro 1: Au téléphone.»

Je me lança dans un monologue intérieur en imitant une voix aiguë.

"Bonjours madame si nous vous appelons aujourd'hui c'est bien pour vous signaler l'absence en cours de votre fils ?."

Moi —"Bonjour madame mon fils est malade désolé de ne pas vous avoir prévenue plutôt dans la mâtiné."

Enfin... tout ça c'était plutôt au début de l'année maintenant elle ne répond plus du tout au appels du collège.

Bien sûr en vous disant «mes dires» j'accentue fortement sur le mot, bon bref...passons au deuxième cas.

Exemple numéro 2: Passer une commande au téléphone.

Ah oui...encore une fois j'avais oublié de préciser que vous verrez ces situations non authentique à fortiori au téléphone, mais puisque je n'ai pas de téléphone je ne peux que me basé sur les dires que j'ai moi même pu entendre et observer, observer ? oui, il y aurait des cas durant lequel, ces personnes qui font cet voix adoucit au téléphone lâcheraient un léger sourire à son interlocuteur en même temps, impensable n'est-ce pas?, je reprends.

Je repris une une voix aiguë.

Moi —"Bonsoir, ici la livraison de sandwich j'écoute votre commande !."

Pour ce début là je dirais plutôt une voix assez dynamique et réactif mais quand est-il de notre cher client?.

Moi —"Bonsoir j'aimerais commander une pizza avec l'option, une acheter une offert."

Dit t'elle en adoucissant sa voix.

Je vais pas trop m'attarder sur cette cause perdue que notre société surnomme tout simplement «Simple politesse envers autrui» je l'ai juste fait pour vous prouver que «Mes dires» sont vrai et réel.

Bien sûr c'était encore a Nifumi-sensei que je devais m'adresser sauf que cette fois-ci je n'avais pas besoin de sortir un sourire forcé puisqu'elle ne m'en demanda pas un, en même temps qui demanderait un sourire à un élève qui oublie son sac dans sa classe ? Mais bon mieux vaut rester prudent que jamais.

Face à son tableau avec une craie entre ses dents, un bouquin de japonais à ça main gauche, entrain d'effacer le tableau à l'aide d'un effaceur avec sa main libre Nifumi-sensei me fit signe en hochant sa tête deux fois.

Moi —"Merci."

Depuis tout à l'heure je regarde Nifumi-sensei jusqu'à que je me rappelle qu'il y avait des autre élève aussi, ce sont des 5 ème?non... Je dirais plus des 4 ème, du coup je suis leur senpai.

Je jeta deux trois coup de regard dans la classe, a peine je regarda deux élèves du sexe opposé que tous les regards se sont river sur moi, je pouvais sentir d'où je suis l'aura que dégageaient la classe entière rien qu'en les regardants.

Dans ces genres de moments là, lorsque que l'on me regarde je préfère éviter tout contact visuel, d'autant plus s'ils sont nombreux en même temps.

Je me mis à fixé le sol sans détourner du regard sur ce terrain là je suis imbattable, toute fois, cela n'empêche pas les gens de me regarder.

Un fois en face de ma table je vis qu'une seule des deux table qui était la mienne était occupé par une fille avec un livre en main, ne voulant pas connaître la cause de se délaissement des autre envers elle je ne posa pas de question sur le sujet de toute façon me connaissant je pourrais jamais poser de question au début d'une rencontre cela donnerait l'impression d'être curieux chose que je suis absolument pas.

Je demande à la fille à voix basse

Moi —"Excusez moi Pourriez-vous me donner mon sac en bas de la table s'il-vous-plaît ?."

Elle ignora ma demande et continuait de lire sont livre comme-ci de rien n'était, étant très patient avec autrui j'attendis 30 secondes avant de devoir lui répéter.

Moi —"Excusez moi pourriez-vous me donner mon sac en bas de la table s'il-vous-plaît ?"

Aucune réponse de sa part.

«Je suis donc si misérable à ce point là ?»

Mon sac se trouvant de l'autre côté de la table je n'avais plus le choix que d'aller le prendre par moi même, je me baissa pour passer en dessous de la première table au moment de mettre ma main gauche celle-ci glissa, c'est sans réellement le vouloir que je m'agrippa a la jupe de la fille cette dernière poussa un léger crie, un crie d'ailleurs qui ne fit réagirent un.

La fille pris de panique jeta un coup d'oeil sous sa table et vit que j'étais aggriper à sa jupe, elle mit sa main gauche sur la chaise afin de m'empêcher de voir sa culotte et commença à me ruer de petit coup de poing avec sa main droit, au bras et ce jusqu'a que je lâche prise.

Prise de panique la fille me bombarda de question.

—"Qu'essayer vous de faire avec ma jupe ?"

En rappliquant tous de suite.

—"Que faite vous sous ma table !?"

Moi —"Je voulais prendre mon sac de moi même mais puisque vous m'avez ignoré quelques secondes auparavant, je me suis résolu à aller le chercher sauf que au moment où je m'apprêtais à l'attrapé , ma main gauche à dérapé."

Après lui avoir raconté elle reprit son souffle.

—"Et comme part hasard il est fallu que vous attrapez ma jupe."

Moi —"N'ayant aucun appuie fixe après se dérapage inattendue je me devais d'en trouvé un au plus vite et... le seul appuie que ma main est pu agrippé c'était ta jupe."

Elle me jeta un regard froid à deux sens le premier était bien évidemment que j'étais un gros porc et le deuxième qu'elle me considèrait comme un gros déchet, une pierre de coup comme le dirais... Ah non enfaite personne ne dit ça dans mon entourage était-ce une illusion ? ...je ne le sais pas, mais vu la situation je pense que oui.

Suite à ce regard j'avais compris le fait qu'elle avait reprit son souffle n'était pas pour se calmer mais pour mieux m'attaquer.

Dois-je joué maintenant la carte de la hiérarchie dans cette situation... non cela ne me servirai à rien, je vais plutôt aller là où le vent m'emportera.

La fille ferma son livre tout en mettant un marque-page à la page qu'elle était en train de lire.

Alors que j'étais toujour en dessous de la table elle commença à me jeter des coups de pieds qui ne sont d'ailleurs pas lancer au hasard elle ciblait un endroit en particulier .

Moi —"Pourquoi est-ce que tu me lance des coups de pieds dans les côtes sa fait très mal !?"

—"À votre avis pourquoi j'ai choisi cette endroit? aurais-je dû vous frappez à un endroit où la douleur serait moindre."

Moi —"Non mais sur les côtes sa fait un mal de chien."

La douleur est vraiment insupportable de plus je n'étais pas en très bonne posture pour tenter d'esquiver quoi que se soit en d'autre terme j'étais à sa mercy.

—"J'avais songé à un autre endroit que celui-ci mais à mon avis celui-là aurait était encore plus douloureux que vos simple côte."

Je n'avais pas besoin de dessin pour savoir de quel endroit elle me parlait.

—"N'aviez vous aucun remords à frappé un simple élève qui voulait tout simplement récupérer son sac qui se trouve à sa place?"

Elle me regarda avec un visage qui montre que je venais de la dégouté encore plus.

"Et en plus je suis assis là où ce déchet de gros porc est assis lorsqu'il à cours avec Nifumi-sensei."

Elle venait de m'en faire part indirectement avec ce regard toujour aussi méprisant à mon égard.

Moi —"Je vous est entendu."

—"Et alors? N'aviez vous donc aucun remord à aller expier une fille sous sa table ?"

Elle à dit la même phrase que moi juste en changeant le sujet de cette dernière, je vais opter pour de la galanterie

Moi —"Aucun puisque je vous est déjà révéler mes intentions qui diffèrent de vos pensées assez malsaines... enfin avec le temps et cette perspective qui met encore plus en valeur vos cheveux."

—"Cesse donc ces flatterie qui n'ont d'effet sur moi, vous me prenez pour l'une de ces fille facile qui on juste besoin d'un compliments pour tombé immédiatement amoureuse d'un garçon."

Sur ce point là je suis totalement d'accord avec elle, c'est le secret des gars populaires auprès des filles mais à force de jouer sur plusieurs tableaux on finit toujours par se brûler.

"Comme on le dit souvent «qui ne tente rien n'a rien»."

"La seule chose que vous venez de me dire avait de toute façon 0% de m'atteindre."

Sont expression faciale ne pouvais pas être decripter par un débutant comme moi, la seule chose que je pouvais dire était que son regard était malveillant envers moi.

«je me demande si elle est comme ça avec tout le monde.»

Elle sortit un désinfectant de son sac et commença à s'en mettre sur les mains, elle prit aussi un chiffon puis versa six goût de désinfectant et commença à nettoyer la table.

Moi —"Merci de désinfecter notre table comme sa vous enlèverait les microbes des autres élèves qui partagent cette table avec nous."

—"Pour commencer je vais vous corrigé en rectifiant le tire si je désinfect «ma table» c'est belle et bien à cause de vous et de vos manière peu fiable à interagir avec une fille en étant en dessous de sa table avec une perspective que nous ne pouvons seulement qualifié de très louche en son insu."

Moi —"C'est vrai que dit comme ça sa paraît louche, mais n'auriez vous pas oubliée de mentionner la cause qui fait que le garçon soit en dessous de la table de la fille? «table» que je rappelle au passage qui est d'ailleurs aussi la sienne"

Elle murmura à voix basse

—"Vous êtes vraiment une cause perdue."

Elle laissa échapper un soupire avant de réouvrir son livre qu'elle avait fermé quelque minutes auparavant avant que nous lançons ce débat dû comment du pourquoi je m'étais retrouver en dessous de sa table.

je la regardis mais plus aucun réaction de sa part cela veut dire que c'est moi qui avait raison et non le contraire, j'ai enfin pu prendre mon sac sans plus de problème qu'il en avait déjà eu, mais la voir avec se visage me donne plutôt l'impression qu'elle n'avait pas gagné la bataille mais la guerre ce qui ne me plaît pas t'en que sa.

Devrai-je lui demander son nom?... non je risquerais de me prendre un vent du coup je pense m'abstenir pour cette fois.

Au moment où j'allais partir, toujours les yeux rivés sur son livre sa voix venait de parcourir mes oreilles.

—"Je vous souhaite pleins de problèmes."

Elle n'en prononça pas plus.

Serait-ce plus malin de lui répondre ou de continuer mon chemin ? Je vais continuer mon chemin... parce-que je suis encore plus en retard maintenant !

Je salua Nifumi-sensei avant de refermer la porte de la classe car l'élève et Konoe était déjà partie, enfin... du moins c'est se que je pensais mais Konoe était du côté droit de la porte assise à attendre quelqu'un puisqu'il n'y avait plus personne d'autre dans classe cette je ne pouvais que en déduire qu'elle m'attendais en faite.

Moi —"Kikuchi pourquoi m'avez vous attendue vous allez être encore plus en retard part ma faute."

Il m'était impossible de continuer mon chemin sans devoir lui parler du coup j'ai sortir une réplique banal que j'ai entendu mainte fois puisque je fais partie de ces personnes qui sont là plupart du temps en retard même si en réalité je surpasse largement cette catégorie, et de loin.

Kikuchi —"C'est moi qui est décidé de rester là à vous attendre donc c'est tout simplement de ma faute et non de la votre, pouviez vous arrêter de vouloir porter le poids des autres sur votre dos." Dit Konoe d'une voix toujours monotone."

Je ne trouve pas de mot pour répliqué à la raison que Konoe c'était faite de moi, mais j'avoue qu'elle n'a pas totalement tort en quelque sorte.

Moi —"Je sais pas comment vous répondre..."