J'ai commencé à penser de cette façon vers la fin de cette année scolaire.

J'ai commencé à penser de cette façon vers la fin de cette année scolaire.J'ai commencé à penser de cette façon vers la fin de cette année scolaire.

Au début de l'année, aucun rendez-vous chez la conseillère d'orientation était prévue, mais de semaine en semaines cela a changé.

C'est une perte de temps.

Je soupirai, attendant mon tour. Un élève est déjà dans le bureau de Chizuru-sensei.

Lorsque que je suis le premier a avoir un rendez-vous, la conseillère d'orientation vient me chercher en plein milieu du cours.

Je vous laisse imaginé la discrétion que cela à...

Où sinon, La conseillère demande a l'élève d'aller cherché le prochain et ainsi de suite.

Je soupirai a nouveau, tentant tant bien que mal de trouvé un accoudoir. Dans ce couloir divers chose son stocker, donc il n'est pas rare de trouvé une ou deux table ici.

Malgré mes paroles rassurante aucune table était ici cette semaine.

Pour faire passé le temps, je décidai de plongé mon regard a travers la fenêtre. Les fenêtre de ce couloir donne vue sur le terrain de sport, il est naturel de voir une classe faire du sport.

Soudainement, la porte s'ouvra.

Une étudiante aux yeux bleus pleurait. Après m'avoir remarquer, elle cacha son visage tout en s'éloignant.

J'étudie depuis deux années dans ce lycée, mais je ne l'avait jamais vue auparavant.

Je suis pas le genre de personnes a me soucier des problèmes d'autrui.

La seule bonne chose est que vous vous souvenez toujours du visage auquel vous avez parlé.

Chizuru-sensei fit signe de la main indiquant d'entrer.

"Bonjour."

Elle m'a accueilli avec un sourire aux lèvres.

"Bonjour, comment vas-tu Hikeru?"

"Bien."

Il n'y a aucune intégrité dans mes paroles, seulement le strict nécessaire.

Comment souriait telle ? après avoir fait pleuré cette fille...

A-t-elle oublié ?

Chizuru-sensei a fouillé le bureau, trouvant en 30 secondes la feuilles me concernant.

″Alors, Hikeru, as-tu eu le temps de réfléchir à notre conversation?″

Était-ce censé être une conversation? C'était comme un questionnement...

Elle fit tourner son stylo avec ses doigt, le faisant tournoyé rapidement.

En répondant incorrectement je pourrai le prendre en pleine figure !

Je ne pouvais pas lui dire les éléments qui m'ont distrait de mon devoir envers Chizuru-sensei.

"Comment ... eh bien ... j'étais occupé du coup je n'est pas eu le temps ..."

Sans avoir eu le temps d'expliquer convenablement la situation elle soupira, exaspéré.

Chizuru a posé le stylo sur le bureau, bien que son bureau soit déroutant.

"Sinon, pourrais-tu me dire l'obstacle qui a retardé la date limite?"

Je ne peux pas te dire la vérité.

"Eh..."

À ce moment-là, Chizuru-sensei a commencé une phrase que je ne voulais pas entendre à cause de sa forme superficielle.

"Si vous avez des problèmes, n'hésitez pas à venir parler."

Enfermé, je reste dans ma coquille, comme le disaient la plupart des enseignants de toutes les institutions où j'avais étudier auparavant.

Je ne parle pas en classe, cela devait être normal, mais tous les professeurs me l'ont reproché.

Aurais-je dû être libre d'agir pendant les cours ?

J'ai un comportement modèle, mais je suis mauvais pour étudié.

Deux options s'offre a moi. Vérité ou mensonge.

Pourquoi ai-je dit deux options ?

Je n'ai qu'une seule option, qui est évidemment ″mensonge″

Qu'on le veuille ou non, mentir fait partie intégrante de la vie. Après tout, aucuns être humains peut s'empêcher de mentir durant sa vie.

Quand mes yeux ont touché Chizuru-sensei, je perdis mon troisième sens.

"..."

En raison de sa pertinence, il est très difficile de maintenir un contact visuel stable.

Les yeux de Chizuru me fixaient constamment.

Je n'aime pas le contact visuel, je détournis mon regard.

Je regardai autour du bureau jusqu'à ce que mes yeux arrêtent de bouger.

C'est comme s'ils étaient paralysés.

Étonnamment, mes yeux s'intéressent à la poitrine de Chizuru-sensei.

Remarquant ce fait, elle soupira à nouveau.

Je secoue immédiatement la tête et efface le regard malsain sur mon visage.

Chizuru a utiliser l'ordinateur avec une expression sérieuse.

Vous savez exactement où pointé le curseur de la souris, même lorsque vous êtes de l'autre côté de l'écran.

Sur un ton d'humour elle dit

"Ce que je peux voir, c'est que vous êtes absent 140 fois cette année. Nous détenons le records du monde avec toi!"

"Sensei peut-elle me féliciter?"

"Bien sûr que non, sinon j'incite l'élève a ne pas aller à l'école."

Chizuru-sensei se pencha, atteignant le troisième tiroir du bureau puis pris une feuille vierge. Elle s'est précipitée vers la photocopieuse, pour photocopié ma liste d'absence.

Elle dit de dos

"Après plus de 6 mois d'inactivité l'élève dernière va te donner du travail″

A-t-elle débloqué une compétence qui lui permet de parler à des objets électroniques?

Je lui ai posé cette question

"Quelque chose ne va pas?"

La photocopieuse n'a pas été activé depuis un certain temps, donc il était difficile de la faire fonctionner. La machine a impitoyablement fait un bruit effrayant.

Chizuru cria

Il y a trop d'absents pour tout imprimer sur une seule feuille...

"Hé, Hikeru apporte une deuxième feuille, car une feuille ne suffit pas pour toutes tes absences."

Je vais lui apporter une autre feuille immédiatement.

Après avoir imprimé deux feuilles d'absences, Chizuru-sensei me les as remise en disant ceci

"Veuillez justifier vos absence injustifiée pour la prochaine réunion."

«Est-ce ironique? Parce que toute mes absence sont pas justifiée.»

Mes pensées intérieures auraient aimé le dire, mais à ce moment-là je me suis retenu, comme je l'ai toujours fait.

"Compris."

"Maintenant, Hikeru tu peut retourne seul en classe."

«Seul? Tu n'as pas besoin de pousser le couteau profondément!»

Je ne pense pas qu'il faudra du temps pour retourner en classe car il n'y a rien de distrayant...

"Oui"

J'ai pris les deux feuilles d'absences et les aient mises dans mon cahier et j'ai quitté la pièce.

"Oh, ne ferme pas la porte. Il y a un autre étudiant qui te suit."

"Au revoir."

"Au-revoir."