A l'école élémentaire, j'avais des problèmes d'apprentissage. je progressais pas au même rythme que mes camarades de classe, j'étais l'élève avec les mauvaise notes de la classe.

'Pourquoi suis-je vraiment nul ?'

Cette question était celle que je répétais sans cesse dans ma tête. D'autant plus, mes notes désastreuse était lié étroitement a mon incapacité a avoir des amis.

Qui voudrait être ami avec un idiot comme moi ?

Le tourment de jamais sortir de cette spirale était effrayante.

Au vue de mes difficulté scolaire, ma mère avait trouvé une Étudiante qui, a l'époque, voulait m'aider avec des cours particulier. c'était une fille.

Évidemment, a l'époque, le genre de la personne m'étais indifférent. A cet âge là, j'incarnais 'l'innocence pur'. Hélas, cela n'allait pas durée.

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Un tas de voitures défilaient sous mes yeux, c'était les parents des élèves qui cherchaient leurs enfants. Dans ma famille où ni mon père ni ma mère avaient de voiture, je devais rentrer a la maison seul car ils travaillaient.

L'école finie, j'attendai, comme d'habitude, que la fille me fait cours particulier vienne me chercher avec sa voiture. Au début, ont devaient se rendre a sa maison a pied mais ,depuis peu, elle a acheter une voiture ce qui rend notre trajet nettement plus agréable. Mes pied me font mal lorsque que je marche trop.

N'ayant pas d'amis avec qui m'amuser la seule chose que je peux faire est de regarder le sol.

En fixant le sol de petite marque commençaient a se propagé sur le trottoir et même sur la route, ces marques devenaient de plus en plus nombreuses. Il plut.

Quelques minutes passèrent.

La pluie s'intensifiait chaque minutes, malgré cela, je suis resté de marbre.

Une voiture klaxonna a deux reprises, avec se signale je savais pertinemment que c'était Sayato, ma tutrice. Klaxonner devant plein de gens attire inévitable l'intention sur nous. Je montai précipitamment dans la voiture.

Sayato à 18 ans. Elle vie seule.

'Pourquoi est-ce que tu t'ai pas abriter sous l'arrêt de bus ?!'

Elle sorta une serviette sèche de son sac puis l'a tendis. Je pris la serviette puis m'essuyai les cheveux avec. C'était un geste habituel.

'Beaucoup de personnes était sous l'arrêt bus. il y avait pas de place pour moi.'

C'est se que je pense vraiment.

'Tu as demandé au moins ?'

Je suis resté silencieux. Mon silence voulait dire non.

'Je te dispute pas. J'aime pas quand tu attrape froid.'

Sayato se tourna vers moi souriant

'Maintenant que tu es sec, vien me faire un bisous !'

Auparavant, j'avais déjà tenté de pas lui faire de bisous. Si je lui en fait pas elle n'avancera pas jusqu'à que je cède. Je n'ai pas le choix.

Je m'avancai vers sa joue et lui fit un bisous.

Touchant sa joue, elle ne pu s'empêcher de montré son enthousiasme.

'Sayato a deux fois plus d'énergie maintenant !'

Nous sommes arrivés a sa maison. Pendant le trajet elle m'a posé diverses questions sur ma journée. malgré le fait que je lui disais chaque fois la même chose, cela semblait l'intéressé.

Sayato m'a immédiatement demandé d'aller me lavé pour pas tomber malade. Elle m'avais prêter un t-shirt qui était inévitablement trop grand pour moi.

Je suis partie dans la salle de bain. Je savonnai mon corps.

'C'est moi, puis entré ?'

C'était Sayato, se trouvant derrière la porte.

'Oui'

Elle est entré, couverte par une serviette, puis elle la enlevé avant de me rejoindre.

Cela n'avait pas d'importance puisque j'étais encore innocent.

'Tu as besoin d'aide Hikeru ?'

Elle était tout le temps au petit soin avec moi. J'ai accepté.

Elle frotta mon dos, c'était l'endroit que j'arrivai pas a lavé seul. Sayato était la seule personne sur qui je pouvais compté.

'Bon maintenant, pourrait tu lavé mon dos aussi ?'

Après avoir échangé nos place, je commençai a mon tour a frotté son dos.

'Pourrai-je te posé une question sayato ?'

'Oui, laquelle ?'

Elle pencha sa tête. puisque j'étais derrière son dos, elle tentait désespérément de me regard.

'Pourquoi est-ce que tu a une grosse poitrine ?'

'Je suppose que c'est mon rôle de t'apprendre cela. Mais avant ça je voudrai qu'à partir d'aujourd'hui tu m'appelle onee-chan'

Je n'y voyais aucune raison de refuse sa demande, j'ai accepté sa conditions. D'autant plus que je voulais savoir pourquoi sa poitrine était grosse.

'Onee-chan'

Elle sauta de joie et m'attrapa dans ses bras tout en me serrant fort contre ses seins. Heureusement que j'avais fini de frotté son dos.

Lorsqu'elle se calma, elle m'expliqua

'Il y a du lait dans ma poitrine, voilà pourquoi mes seins son gros.'

Elle approcha ses seins plus près de mon visage.

'Ah oui, comme les vaches ! Avant j'avais regardé une émission sur les vaches. Pour récupéré le lait, le fermier tirait sur les mamelles de la vache.'

'Tu veux gouter de mon lait ?'

'Oui... mais j'ai déjà bu mon lait au chocolat quand je suis sortie de l'école. Ma mère veut que je bois qu'une seule brique de lait.'

Ma mère me donne toujours une brique de lait au chocolat avant que je parte a l'école.

Après avoir réfléchit un court instant, elle me proposa ça

'On à cas garder ça secret, personne ne connaitra la vérité sauf nous deux. Tu me le promet ?'

'Promis'

Nous avons ensuite fait une promesse avec notre auriculaire.

'Tu peut boire de mon lait.'

J'ai pris son sein droite et je l'ai collé contre mes lèvre puis j'ai commencé a sucer son sein.

Elle gémissait légèrement.

Malheureusement, aucune goûte de lait n'ai sortie de sa poitrine.

'Mince j'avais oublié un détail, il faut que nous faisions quelque chose avant que mon lait arrive.'

'Que devons nous faire ?'

Je voulais impérativement boire du lait.

'Je t'expliquerai après qu'on est finit de se lavé.'

Nous sommes entré dans le bain ensemble.

On avait passé un bon bout de temps dans la salle de bain. Onee-chan avait avertit ma mère que je dormirait ici, étant donné que mes vêtements était tout trempé.

'Puisque demain on est samedi nous travailleront demain.'

Son appartement n'était pas grande mais il y avait assez de place pour nous deux. Je comptais aller directement sous le kotatsu mais Onee-chan m'en empêcha.

'Nous allons joué a un jeu pour que mon lait vienne.'

Elle me donna des instructions qui était de me déshabiller et de m'allongé sur son lit.

Je lui ai obéi, même si je voulais aller sous le kotatsu, je voulais aussi boire le lait de Sayato.

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Depuis ce jour, a chaque fois que j'allais chez-elle, on faisait cela, elle me répétait sans cesse que je devais garder tout ça secret, comme on se l'était promis la première fois.

Malheureusement, j'ai su trop tard que ce qu'elle faisait avec moi n'était pas bien.

J'ai effectivement été victimes d'agressions sexuelles.