Philippe me regarde de haut en bas et m’invite à rejoindre le vestiaire d’un geste de la tête, je m'exécute sans attendre. Philippe me succède de très près il semble bien pressé. À peine entrés dans le vestiaire, Philippe me saisit l’épaule interrompant ma marche.

- Philippe : Alors, tu as envie ?

- Moi rougissant : Oui.

- Philippe : Bouge pas, comme tout à l’heure, je m’occupe de toi

- Moi : D’accord.

Philippe m’enlace alors que je suis encore dos à lui. Rapidement, il commence à caresser mon torse, je me relâche alors et commence à bander plus fort. Philippe pose la tête sur mon épaule.

- Philippe : Et bien mon coquin, il est déjà bien excité !

- Moi : C’est ta faute !

- Philippe : J’ai encore rien fait !

- Moi : Bon c’est la faute à la tenue !

- Philippe pouffant de rire : Oui oui c’est ça !

Philippe descend le long de mon ventre arrive sur mon sexe gonflé et commence à le caresser. L’effet est immédiat : mon sexe se gorge de sang et se gonfle, Philippe est bien collé contre moi. Je ferme les yeux, et me pince les lèvre de désir. Je ne souhaite qu’une chose : que Philippe me libère de mon vêtement tellement je suis excité. Je sens son sexe contre mes fesses.

Malgré mon souhait, c’est Philippe qui retire son léotard le premier.

- Philippe : Est-ce que tu me permets un tout petit truc ?

- Moi curieux : Euh comme quoi ?

- Philippe rougissant: Juste me glisser entre tes cuisses.

- Moi : Euh oui mais tu va faire quoi ?

- Philippe légèrement rouge : Juste me frotter….

- Moi : Ba on essaye, si j’aime pas j'te dit stop.

- Philippe souriant : Vendu !

- Moi : Tu veux pas que je me mette face à toi ?

- Philippe : Non non c’est mieux comme ça.

Philippe glisse sous mes pieds une sorte de planche afin que je sois un peu plus haut, je n’ai aucune idée d'où sort cette planche mais je monte dessus sans rechigner. Une fois dessus Philippe me rapproche du bord arrière et m'étreint à nouveau. J’ai une petite appréhension et j’ai le sentiment qu’il en a conscience.

Philippe reprend ses caresses sur mon sexe, et après quelques douceurs, fait glisser lentement son sexe entre mes cuisses, il est tout contre mon périnée c’est une sensation tout étrange que je ressens là. Malgré mon léotard, je reçois bien la chaleur de son sexe. Philippe commence quelques mouvements d’avant en arrière il frotte mes testicules avec son gland lors de certains mouvements.

Je ne peux plus cacher mon excitation, Philippe abuse un peu de la situation. J’apprécie véritablement sa façon de faire, c’est une sorte de communion entre son excitation et la mienne, très forte. Il finit enfin par écarter le morceau de tissus avant pour libérer mon sexe de sa cage, il fait rouler mon prépuce et sortir mon gland. Les yeux fermés, j'émets de légers gémissement de plaisir.

Mon sexe est gonflé comme rarement, Philippe se joue de mon excitation : aucun doute possible il sait y faire avec les hommes, je me laisse couler, submergé de plaisir. Je jouis rapidement déversant sur le sol les quelques liquides de ma verge. Philippe, ayant senti mon éjaculation juste après avoir à son tour fait jaillir son sexe, relâche mon sexe et son emprise.

Je m’habille rapidement, sans faire plus attention que ça à Philippe. Je me sens soudain étrangement apaisé. Un grand vide en moi comme un silence, un vide un petit air de déjà vécu. Au moment d'enfiler mon pantalon, je m'emmêle les jambes, je glisse et plus rien…..