- Philippe : Je suppose que tu es d’accord.

- Moi : Physiquement oui, mentalement c’est autre chose.

- Philippe : Arrête de penser alors... D'toute façon tu n’as rien à faire, je m’occupe de tout.

Je ne dis mot, je suis de plus en plus excité de savoir que Philippe veut s’occuper de ma très forte envie. Il me malaxe les fesses et m’embrasse dans le cou.

Soudainement, Philippe desserre son étreinte, déboutonne mon pantalon et le fait tomber le long de mes jambes. Mon sexe est très gonflé, je ferme les yeux. Je me sens rempli de désir. Philippe se jette immédiatement sur mes lèvres et m’embrasse : surpris, j’ouvre immédiatement les yeux et le repousse légèrement.

- Philippe : Excuse-moi, c'était trop tentant.

- Moi un peu gêné : C’est pas grave.

- Philippe : Ça t’a plu ?

- Moi gêné : Oui mais ça m'a fait du mal.

- Philippe : Oui j’imagine, j’aime beaucoup les bisous dans une relation.

- Moi : Oui moi aussi. Mais tu connais ma situation.

Philippe me saisit à nouveau, il n’a pas abandonné son action ; il lève mon t-shirt et me le fais retirer. il me caresse à nouveau les fesses. N’ayant plus que mon boxer, l’effet est maximum sur mon érection, je suis super excité. Je commence également à me débloquer et à l’effleurer sous son t-shirt.

- Philippe voyant que je commence à me décoincer : Tu commences à avoir envie on dirait.

- Moi rougissant : Grave, tu peux regarder si tu veux.

- Philippe coquin : Je compte pas que regarder tu sais !

Je rougis devant cette intention si clairement exprimée, Philippe l’a bien entendu remarqué, il en profite alors pour reprendre ses caresses sur les fesses. Je n’ose pas vraiment lui rendre la pareille, je me contente de lui caresser le dos et les hanches.

Philippe glisse ses deux mains le long de mes cuisses, rapidement il pose l’une de ses mains sur mon sexe qui réagit immédiatement à cette sollicitation. Je ferme à nouveau les yeux, Philippe applique quelques caresses qui font encore monter mon excitation et gonfler mon sexe.

- Philippe chuchotant : Hé bien, t’es tout excité mon cochon.

- Moi : C’est ta faute.

- Philippe: Je peux te déshabiller ?

- Moi rougissant : D’accord.

Sans attendre plus longtemps, Philippe fait descendre très lentement mon boxer le long de mes jambes, en l'écartant sur le devant pour bien dégager mon sexe au garde-à-vous. Philippe le regarde avec attention, dressé vers le ciel. Il ne dit mot mais apprécie longuement la vision qui s’offre à lui.

Après un petit moment, Philippe me regarde dans les yeux à nouveau et commence à me caresser le sexe. Il alterne entre caresses et masturbation tout en manipulant gentiement mes bourses. Je suis excité à mort. J'essaie maladroitement de lui caresser les fesses mais vu que Philippe est encore habillé, ça ne doit pas être très efficace.

- Philippe : Ça te plait ?

- Moi la voix haletante de plaisir : Je crois que tu as la réponse en main.

- Philippe souriant : Moi j’adore le fait que tu sois entièrement nu et moi non.

- Moi : Ça t'excite ?

- Philippe : Grave !

- Moi souriant : Moi si tu continues, je vais pas tarder à jouir !

- Philippe : Tu veux que je te fasse jouir comme ça ou tu faire veux autre chose ?

- Moi curieux : Euh comme quoi ?

- Philippe : Ba je peux te sucer si tu veux !

- Moi : J’ai jamais essayé.

- Philippe : Sérieux ?? Faut corriger ça !

- Moi rougissant : Si tu veux.

Philippe retire immédiatement son t-shirt et se met à genoux, il commence par embrasser ma verge turgescente, il continue quelques instants sa masturbation avec quelques lents va et vient.

Philippe me regarde et prend mon sexe en bouche, la sensation est très agréable : c’est chaud et humide. Philippe fait des va et vient avec sa bouche, c’est véritablement très bon. Il fait quelques choses avec sa bouche mais j’ignore exactement quoi, je sais seulement que mon excitation n’en est que plus grande.

Après quelques instant, Philippe accélère ses va et vient, sa main saisit à nouveau mon sexe et lui applique également des mouvement complémentaires. Je suis au bord de l’explosion.Tout doucement, il sort alors mon gland de sa cachette de peau, l’effet est maximal.

- Moi : Je viens !

Philippe l’a très bien senti venir mais poursuit son action. En fermant les yeux, je laisse partir mon éjaculation dans la bouche de Philippe et lâche un râle de soulagement et de plaisir.