- Philippe me tendant des léotards : À mon avis, l’un des deux devrait t’aller.

- Moi : D’accord et tu as trouvé pour toi ?

- Philippe en me montrant d’autres léotards : Les deux là sont un poil petits, y’en a un autre mais il est trop grand.

- Moi : Ah du coup tu va faire quoi ?

- Philippe : J’hésite .

- Moi : Entre quoi et quoi ?

- Philippe : Mettre un trop petit et mettre autre chose.

- Moi : Ah... et autre chose comme quoi ?

- Philippe : J’en sais rien, hormis les trucs pour fille, j’ai presque tout essayé….

- Moi : Ba mets un truc pour fille.

- Philippe souriant : N’importe quoi !

- Moi : T’es pas cap ?

- Philippe un peu surpris : Tu le ferais toi ?

- Moi jouant le jeu : Bin pourquoi pas !

- Philippe : Si je le fais toi aussi ?

- Moi pris au piège : Euh, j’ai déjà un truc moi !

- Philippe : T’es pas cap en fait, tu me charries encore.

- Moi souriant : J’avoue, mais fais comme tu le sens.

- Philippe : Ba justement, je sais pas.

- Moi : Moi, si tu fais pas le léotard, je le ferai pas tout seul en tout cas.

- Philippe : Du chantage ?

- Moi : De la pudeur plutôt.

- Philippe : Ba j’essaye et on voit, essaye de ton côté.

- Moi : Je te laisse tester en premier ?

- Philippe : On se change tous les deux ensemble plutôt non ?

- Moi souriant : Tu veux me mater en fait hein ?

- Philippe souriant : J’avoue.

- Moi : Je suis toujours un peu gêné par ça en fait.

- Philippe : Je le fais en premier si tu veux !

- Moi souriant : C’est pas vraiment le problème.

- Philippe : Tu m’avais dit que tu me la montrerais.

- Moi souriant : J’ai dit oui pour les sous-vêtements mais pas sans !

- Philippe : Je t’ai déjà vu en slip tu sais !

- Moi rougissant : Euh oui,....

- Philippe : Écoute, je m’occupe de toi si tu le fais, enfin si tu le veux.

Philippe touche un point sensible, ça fait plusieurs jours que j’ai des envies de masturbations. Je n’ai pas encore osé passer à l’acte, car il ne nous est pas possible de nous enfermer dans nos “cellules”. Je n’ai pas très envie de me faire prendre en pleine "exercice".

Le sujet réveille immédiatement des envies que j’ai ignorées trop longtemps, mon sexe se gonfle. Ma réaction trahit mon envie : je détourne les yeux et croise les mains sur l’avant de mon pantalon. Philippe l’a bien compris ; il se rapproche de moi me sépare les mains et m’enlace soudainement. Je suis surpris! il me saisit alors vigoureusement les fesses.