En avant

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Je me réveille après une très courte nuit, une fois encore je suis très fatigué, mais impossible de dormir, c’est pénible. Finalement, je me lève comme la veille et je récupère quelques vêtements, je suis toujours aussi peu fan d’enfiler des vêtements qui ne sont pas les miens, mais une fois encore, je n’ai pas le choix. Je vais me doucher, j’ai entendu quelqu’un en sortir tout à l’heure. Une fois sorti de ma chambre, j'entrevois Philippe malgré la faible luminosité.

- Moi : Salut !

- Philippe : Hello ca va ?

- Moi : Oui et toi ?

- Philippe : Oui tu as bien dormi ?

- Moi : Franchement non et toi ?

- Philippe : Moi ca va.

- Moi : Je me douche et on y va ?

- Philippe : Comme tu veux.

Je me déshabille et m'enfile sous la douche, je me savonne généreusement. Ayant de délicates pensées à l’intention de ma douce Amandine, je me revois avec elle dans notre oasis de bonheur près de l'étang, je verse une petite larme mais ça me donne l’espoir de la revoir. Je ressors de la douche, je me sèche et m’habille. Je retrouve alors Philippe, aucune trace de Lucie : elle doit encore dormir mais qu’importe.

- Moi : On y va ?

- Philippe : T’es motivé !

- Moi : J’ai envie de me débarrasser de ça!

- Philippe : D’accord, en avant !

Nous nous dirigeons vers le “salon”, je suis Philippe de près. Philippe appuie sur la fameuse sonnette, la porte ne tarde pas à se débloquer. Il me laisse entrer le premier et referme la porte derrière lui. Philippe me fait signe d’entrer par la seule porte que je n’avais pas encore franchie. On est dans une sorte de dressing avec une commode et une espèce de banc pour éventuellement s'asseoir. Il y a des porte-manteaux qui ressemblent beaucoup à ceux de mon ancien collège.

Philippe se dirige vers la commode l’ouvre, me regarde.

- Philippe : Tu veux faire ça comment ?

- Moi : Comment ça ?

- Philippe : Tu veux une tenue particulière ou pas ?

- Moi : Ah oui c’est vrai, Lucie m’a dit que le mieux c’est de se dénuder un peu.

- Philippe : En effet, mais tu fais comme tu le sens.

- Moi : Tu y vas comment toi ?

- Philippe : Je sais pas justement, je voulais faire un peu en fonction de toi.

- Moi : Ah bah j’ai pas trop d’idée….

- Philippe : Déjà, est-ce que tu te sens toujours de le faire ?

- Moi : Oui oui !

- Philippe : OK ; du coup pour faire simple, je pense qu'au final, je vais pas me changer et y aller avec mon boxer.

- Moi : OK, je n’ai trouvé qu’un slip ce matin.

- Philippe : C’est pas grave !

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