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emilie9517

emilie9517

Dpuis le début, tu ne cesses de hanter mon esprit... Je suis devenue ta proie et tu me pourchasses sans relache. Je voulais te dire que j'en ai marre, marre d'oublier tout ce que tu me fais subir chaque jour... Je tente de resister, mais sache que tu me fais pleurer tous les soirs... Je repense a la première fois que tu ma frappé, si violemment que j'en ai perdu connaissance...Je ne sais pas si tu t'en veux a force de me faire souffrir tout le temps, mais sache que maintenant, j'ai appris a me defendre et que le seul mot qui me vient en bouche quand je te vois c'est... vengeance!
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Défi
emilie9517

C' est la rentrée... Le pire moment pour les élèves. Je rentre en troisième, donc plus qu'un an et je suis libre! J'ai gardé les afaires de l'année dernière car ils n'étaient pas trop abimés.
Je prend mon petit dej' en vitesse caje ne dois pas rater le bus. Je cours sur le trottoir et mon sac rebondit sur mon dos. Soudain je cru entendre une petite voix sourde qui avait l'air d'etre en colère.
Je n'y pretta pas trop attention et grimpa dans le bus scolaire. Tout le monde tirait la tronche:
Je descendis puis je me dirigea vers le portail de mon college. Mon premier cours était le francais et j'avais un nouveau prof et des nouveaux elèves que je ne connaissais pas encore. Arrivée en classe, je déposa mon sac violemment par terre, et j'entendis un "aille" Le nouveau prof se retourna et me dit " Mademoiselle, c'est vous qui faites ca? Ne commencez pas a faire le singe dès la rentrée je vous prie." Je m'assied a ma table, en bougonnant. Je ne comprennais pas, j'etais la première a arriver en classe, donc personne n'avait pu faire ce cri! Après le cours de francais, je me refugias dans les toilettes et regarda mon sac pour voir si quelque chose clochait. Quand tout a coup, Deux yeux et une bouche se formèrent sur le devant de mon sac! Je sursauta et le sac me dit: " Eh, tu commences a me saouler toi! Je commence a avoir mal partout a force d'etre jeté dans tous les sens depuis l'année dernière! Je n'avais rien dis jusque la mais maintenant que tu vas te servir de moi pendant un an de plus, tu as interret a prendre soin de moi!" Je repondis " C'est idiot! Je suis en train de parler avec mon sac dans les toilettes! Et de toute facon que va tu faire si je continue a te balancer partout hein? " Je lui donna un coup de pied et soudain, il siffla et toutes les affaires que contenaient ma trousse se dispèrsserent partout dans la cabine. Ils etaient aussi vivants! le stylo plume me balanca de l'encre, la gomme se jeta sur mon visage, le ciseau decoupa mes lacets... Bref un carnage...Vite j'abandonna mes fournitures et mon cartable dans la cabine et referma la porte en vitesse, mais ils passèrent par en dessous sauf mon sac qui resta. Je courrus dans la récré a la recherche de quelque chose qui pouvait m'aider. Je remarqua une bouche d"egouts non loin de moi. Je me plaqua devant et tira la langue a mes styolos, gomme et ciseau. Ils sautillèrent de plus en plus vite et soudain, tombèrent dans la grille d'egouts. J'avais gagné. Mais on a du me prendre pour une folle, surtout quand je suis revenue en classe sans affaires ni sac! Mais je preta serment, plus jamais je ne prendrai plus soin de mes fournitures scolaires
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Défi
emilie9517

si le soleil m'eclairait, je mourrais surement. Je souhaite m'exprimer a la seule force de mes mots, mais je ne sais pas si ils sont assez costauds. Je suis jeune bien sur, mais cela ne m'empeche pas de vivre ma vie sous forme de lettres, de phrases ou d'histoires, vu que j'adore ecrire!!
poemes,haikus textes, tout y passe. Je laisse mes doigts tapoter le clavier, sand faire attention a quoi j'ecris, c'est la consigne. Je pense que je vais m'arrreter j'espere que j'ai tout respecter
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Défi
emilie9517

Il faisait nuit, j'avais froid.
Mes talons résonnaient sur le sol pavé de la ruelle déserte innondée par une pluie incessante.
Je sentais les battements permanants de mon coeur dans mes veines et mes respirations haletantes me brulaient la trachée.
Il me cherchait. Il allait me trouver.
La seule source de lumière qui faisait miroiter les étoiles sur le sol trempé était un lampadaire en piteux état.
J'avais ce sentiment insupportable d'angoisse, de faiblesse.
Mais ce qui me terrorisait encore plus était de ne pas entendre ses pas cadencés résonnant dans la nuit à ma poursuite.
Il ne faisait aucun bruit mais savait que je pouvais ressentir sa présence.
Il aurait pu me tuer depuis longtemps, mais me voir tenter de lui échapper désespérément faisait resortir son instinct de chasseur primitif.
Je décidais de tourner à gauche, en puisant les dernières forces de mon corps.
Une impasse.
Mon âme me quittait soudainement.
Comme une proie, j'avais atteri dans son piège.
Un imense mur de béton détruisit mon infime chance de m'enfuir.
En me retournant avec peine, mes yeux se posèrent sur une ombre, juste au bout de la rue.
C'était lui.
J'étais figée par la peur, mes yeux ne pouvaient se détacher de cette créature qui, comme la faucheuse, allait emporter mon âme en Enfer.
En une fraction de secondes, il se trouva devant moi, de toute sa hauteur.
Il était pâle et de longues canines se dissimulaient sous ses lèvres violacées.
Je ne voyais pas ses yeux, couverts d'un long voile noir.
Il me projeta parmis les poubelles dans un vacarme assourdissant.
Je laissait échapper un cri de douleur qui le fit rire sournoisement.
Tout au fond de moi, je savais que mon heure avait sonné, alors je m'effondrais sur le sol gelé, un dernier soupir s'évaportant dans la nuit.
Il se pencha, me prit par la gorge et enfonca violemment ses crocs dans ma chaire tendre.
Je n'avais plus la force de crier. Je m'offrais à lui, tel un corps froid et inhabité.
Il s'abreuvait de ma seule preuve d'humanité, en laissant échapper des grognements rauques tel une bête sauvage.
Mes yeux se mirent à voir flou, le sol se dérobait devant moi.
Mon crâne frappa le sol, mes cheveux mouillés éparpillés autour de moi.
Le noir total.

Il s'enfuit en me laissant pour morte, à l'abandon, dans cette ruelle salie par le vice.






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