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Dylan R

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Jeune auteur, je suis à la recherche d'aide afin de pofiner l'écriture de mon roman et puis un jour pourquoi pas le publier.

Merci à tous.

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œuvres
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"J'aime" reçus

Œuvres

Défi
Dylan R

Le bonheur n'est ni matériel ni financier. Il est dans le coeur des personnes qui nous entourent et le partagent avec nous.
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Dylan R

Notre histoire commence dans un petit village de Bretagne, où vit une jeune fille de douze ans portant le nom de Léa. Depuis ses dix ans, des choses incroyables se produisent. Par exemple, lorsqu'elle se met en colère, ses yeux ont tendance à changer de forme, les autres enfants ont des pupilles rondes en tout circonstance et bien ceux de Léa changent et prennent à quelque chose près la forme de celles d'un chat, une sorte d'amande. Au début, la jeune fille ne s'apercevait de rien mais plus le temps passait plus son cercle d'amis se réduisait pour en arriver jusqu'à l'année dernière ou elle n'avait plus que deux amis, Thomas et Aude.
En début d'année tout allait bien le trio jouaient et passaient leurs récréations ensemble. Et puis du jour au lendemain Aude changea de comportement. Elle est passée du rôle de meilleure amie de Léa à celui de pire ennemie. Elle commença à raconter des histoires au sujet de Léa, comme quoi son père, qu'elle n'a jamais connue, était partie car il avait eu peur de ses yeux de monstre, ou bien que Thomas et elle était amoureux. Tout était faux bien évidemment, les deux amis se connaissent depuis qu'ils sont tout petits du fait que leurs parents se connaissent depuis plus longtemps encore. A partir de ce jour-là le trio devient un duo. Léa essaya à plusieurs reprises de savoir pourquoi Aude avait changé de comportement de cette façon, mais la seule explication qu’elle pouvait donner était qu’elle ne pouvait pas rester traîner avec des monstres.
Aujourd'hui les deux amis sont au collège et tout se passe plutôt bien, même que Luna une fille un peu étrange de la classe de Léa à rejoint le duo. Tout aurait pu se passer encore mieux si Aude ne se trouvait pas dans cette même classe.
Il y a environ un mois, l'anniversaire de Léa à eu lieu. Elle avait organisé une petite après-midi sympathique avec ses deux amis chez elle. Au début tout se passait bien mais d'un coup le vent se mit à souffler si violemment que l'on aurait dit qu'il y avait une tempête dans le quartier. Mélanie, la maman de Léa, a décidé de mettre fin à l'après-midi et a renvoyé tout le monde chez soi.
Après quoi Thomas fut absent pendant toute une semaine et ne donna aucune nouvelle laissant Léa faire front seule à toutes les moqueries incessantes d'Aude et de sa bande de copines toute aussi peste les unes que les autres. Au retour de son ami, tout n'était pas tout à fait comme avant, il était distant avec elle, la laissant seule parfois. Léa se réfugie au CDI du collège. C'est le seul endroit de l'établissement où elle peut être au calme et loin de la bande de peste.
Léa à même l’impression que son monde est en train de changer. Entre le fait qu'elle à un mal de tête permanent, qu'elle ressent de petite décharge électrique dans le dos à chaque fois qu'elle ressent un peu de colère ou encore, mais pour le coup elle se demande si ce n'est pas une coïncidence, tout le courant du collège à sauter alors qu'elle passait à côté du disjoncteur et qu'elle à ressenti une forte décharge électrique dans tout le corps. Elle sait bien que tous ces changements qu’elle ressent ne sont pas dû à son âge, bien que ça soit la réponse que sa mère lui donne quand elle lui parle des choses qui lui arrivent depuis quelques jours.
Mais le week-end dernier, il lui est arrivé une chose plus étrange que d’habitude.
Ça à commencé samedi alors qu’elle faisait ses devoirs, Léa fut prise de violentes migraines venant par vagues. Par moment Léa ressentait de l’électricité parcourir ses mains. Elle décide de s'allonger sur son lit pour faire passer les migraines, s'endort très rapidement, comme si elle n’avait pas dormi depuis des jours et fait un rêve étrange.
Au début de celui-ci tout se passait plutôt bien, elle flottait dans les airs comme si elle était en apesanteur.
Mais très rapidement elle se mit à tomber, si vite qu’elle crut qu’elle allait s’écraser au sol. Au dernier moment sa chute fut ralentie puis quand le sol fut juste sous ses pieds, elle ralentit encore un peu et s’y posa avec une grande délicatesse, Léa vu qu’elle était dans une grande pièce avec pour seul accès un grand portail blanc, si grand qu’elle ne pouvait appercevoir le sommet. Il était recouvert de signe étrange et au milieu, comme si c’était une serrure, il y avait un cercle dans lequel on pouvait voir une empreinte de main.
Léa s’en approcha timidement car elle crut entendre des grognements. Plus elle s’approchait du portail plus ils étaient clairs et puissants, comme si un énorme animal vivait de l’autre côté du portail. Quand elle fut assez proche elle voulut poser la main sur une des portes pour l’ouvrir, elle fut repoussée en arrière par une rafale de vent, si violente qu’elle aurait pu arracher la maison de la jeune fille de terre. Avant de ne plus voir le portail, la jeune fille voit deux grands yeux bleu clair la fixer.
Ça lui fit si peur qu’elle se réveilla en sursaut, elle tomba de son lit en faisant un fracas si important que sa mère qui était dans la cuisine l’entendit et se mis à courir dans la maison, monta les escaliers quatre à quatre, puis entra dans la chambre de sa fille sans même frapper à la porte en criant. Léa tout va bien ?! Oui, répond la jeune fille, j’ai juste fait un rêve super bizarre.
Léa sourit à sa mère et fit comme s’il ne lui était rien arrivé et passa le reste de son week-end sans y penser. Bien que les migraines ne passent pas, elle essaye de garder le sourire et de faire bonne figure.
On est jeudi et depuis cette histoire les migraines de Léa, ne passent pas et chaque fois qu’elle s’énerve elle ressent de l’électricité dans ses mains. La jeune fille sent que quelque chose ne va pas et ne sait pas comment l’expliquer. Elle n’en parle à personne, même pas à Thomas. Ils se connaissent depuis qu’ils sont tous petits et se sont toujours tout dit. Mais pour le coup Léa à peur que Thomas la prenne pour une folle, ce qui serai logique au vu de ce qu’elle pourrait lui dire. Actuellement elle est en cours d'histoire et n’arrive plus à se concentrer. Léa qu’es qui t’arrive ? Demande Luna à voix basse. J’ai super mal à la tête. Et je n’arrive pas à me concentrer sur ce que dit la prof, répond-elle. Léa et Luna je ne vous dérange pas, intervient Mme Balcourte, je suis en train de vous expliquer que pour la fin de l’année, qui est dans un mois vous allez devoir me présenter un exposé sur le sujet de votre choix, et vous ne trouvez rien de mieux que de discuter et de déranger toute la classe. Veuillez nous excuser Madame, mais Léa ne se sent pas bien alors je lui ai demandé si elle ne voulait pas aller à l’infirmerie, rétorque Luna. Je me fiche de vos excuses et Léa peut éventuellement patienter cinq minutes pour la fin de mes explications et de mon cours.
Mme Balcourte se retourne vers le tableau et reprend ses explications.
Mais il est impossible pour Léa de se concentrer sur les explications de sa prof et ça l’énerve, si bien que la jeune fille ressent à nouveau de l’électricité dans ses mains. Elle essaye temps bien que mal de rester le plus calme possible mais il y a trop de bruit autour d’elle, Luna qui voit son amie souffrire demande le silence dans la classe, au même instant toutes les lumières de la classe ainsi que l’ordinateur et le vidéoprojecteur de Mme Balcourte se coupent. Tout le monde est surpris de de cette coupure de courant qui tombe à pique, on peut entendre les élèves du premier rang se plaindre du fait qu’ils n’auront pas toute les informations sur la préparations de l’exposé et en même temps les élèves du fond de la classe, eux sont heureux car cela signifie que le cours est fini en avance. Puisque je ne peux pas finir mes explications avec l’ordinateur, je vais vous communiquer une dernière information. Vous devez me rendre votre sujet et un brouillon pour la fin de semaine. Explique Mme Balcourte avec un grand sourire. Mais Madame, la fin de semaine c’est demain, intervient Amandine, notre déléguée de classe. Et on à un contrôle à préparer pour le matin. Ce n’est pas mon problème, vous devez me donner un brouillon un point c’est tout. Rétorque-t-elle. Et c’est la fin du cours, tout le monde dehors.
Léa n’essaye même pas d’en savoir plus, c’est la fin de la journée et les migraines sont de plus en plus fortes, alors elle fonce vers la sortie du collège quand Thomas la rattrape. Léa attend moi, on peut rentrer ensemble ? demande-t-il. Oui mais dépêche car j’ai mal à la tête et je veux rentrer au plus vite. Dit-elle. Pas de problème, on passe par le chemin de fer ? Propose Thomas. Du moment que je rentre au plus vite chez moi, répond la jeune fille.
Les deux amis se mettent en route. Thomas essaye de savoir ce qui arrive à son amie, mais elle ne lui répond pas, alors il n’insiste pas et garde le silence.
Sur le chemin, ils croisent Aude et sa bande en train de faire on ne sait quelle idioties sur les murs du collège. Tient les filles, voilà les inséparables. Vous êtes toujours fourrés ensemble tous les deux. Comment vous faites pour vous supporter l’un et l’autre ? Demande Aude. Parce qu’on c’est ce que veut dire le mot amitié. Or toi tu l’as oublié avec le temps, rétorque Léa. Et ce n’est pas le jour pour venir cracher ton venin sur nous, alors prend ton groupe de pompom-girl et va embêter quelqu’un d’autre.
C’est la première fois que Léa ose répondre de la sorte à une provocation d’Aude, ce qui surprend tout le monde autour d’elle. Mais d’une certaine façon le fait de cet exprimer de la sorte et de rembarrer Aude permet à Léa de se sentir un peu mieux. Comme si sa colère était liée aux migraines et à l’électricité qui se balade dans tout son corps. Pardon ! s’exclame Aude surprise par la réponse de Léa. Tu te prends pour qui ? Ce n’est pas un monstre qui va me dire ce que j’ai le droit de faire ou non !
Mais aujourd’hui Léa en a plus qu’assez du comportement d’Aude, alors ce coup-ci elle va se défendre et qu’importe les conséquences de son geste.
Elle prend son courage pour leur faire face, une décharge électrique plus intense que les autres parcourt le corps de la jeune fille, au même instant une sorte de bulle bleu clair apparaît autour de Léa et grandit très rapidement, repousse tout ce qui se trouve autour de la jeune fille. Elle n’en croit pas ses yeux et ne comprend pas ce qui se passe. Tu es vraiment un monstre, dit Aude en se relevant, et je te jure que tu vas me le payer !
Cette phrase met Léa dans une colère noire et incontrôlable. Alors que Aude reprend ses affaires, Léa perd le contrôle et exprime toute sa colère sur l’adolescente. Stop ! j’en ai assez que tu passes ton temps à t’en prendre à moi ! hurle Léa. Alors maintenant tu vas me laisser !
Léa tend la main vers Aude et, sans que la jeune fille comprenne ce qui arrive, un éclair bleu jaillit de sa main et touche l’autre jeune fille dans le ventre et l'envoie balader à bien deux mètres en arrière.
Par peur d’avoir fait du mal à Aude, même si elle ne la supporte plus, Léa se met à courir sans regarder ou elle va, au bout de deux minutes elle finit par trouver un coin pour reprendre son souffle et se met à pleurer. Quelques minutes passent et Thomas rattrape son amie. Thomas ?! s’étonne Léa, je suis désolée…, mais je n’ai rien pu faire, tout est allé trop vite, dit-elle en pleurant.
Thomas la prend dans ses bras et lui répond. Ce n’est rien, regarde je vais très bien et ne t’en fait pas pour Aude elle va très bien aussi, je m’en suis assurée avant de te rejoindre. La console-t-il. Tu es sûr ? Car j’ai eu peur de lui avoir fait mal. Demande Léa. Et puis je ne sais même pas comment tout ça est arrivé. Je ne sais pas comment tout ça fonctionne, mais il m’est arrivé presque la même chose, répond Thomas. Vraiment ? remarque Léa. Et comment tu arrives à contrôler ? Le plus simple est d’aller en parler avec ta mère, répond le garçon. Tu crois qu’elle sait ce qui m’arrive ? demande Léa. On lui posera la question. Dit-il en souriant.
Thomas tend une main vers son amie pour l’aider à se relever et les deux amis reprennent la route. Leur chemin ne prend pas plus de dix minutes, mais dans ce laps de temps, Léa à de plus en plus mal à la tête et les vagues d’électricité sont de plus en plus fortes. C’est comme si elles voulaient sortir de son corps et en même temps voulaient y entrer. En arrivant devant chez elle, Léa sent la décharge électrique de tout à l’heure revenir, cependant elle est plus forte et plus intense qu’avec Aude. Thomas ! crie Léa, rentre vite dans la maison et mets toi à l'abri car j’ai l’impression que ça recommence. Et je ne veux pas te faire de mal. Ok, je vais prévenir ta mère de ce qui se passe, répond-t-il, en attendant essaye de rester le plus calme possible.
Thomas rentre dans la maison, en laissant son amie dehors. Il donne l’impression de savoir ce qui arrive à Léa. Serait-ce possible ? Et qu’es qui lui arrive ?
Plus Léa se pose de question plus les décharges que ressent la jeune fille deviennent insupportables. Soudain, elle entend une voix l’interpeller.
- « Jeune fille, si tu ne parviens pas à te calmer tu vas te faire du mal ainsi qu’aux personnes auquel tu tiens. »
Pourtant il n’y a personne autour d’elle, mais la voix semble si proche. Qui peux bien lui parler ?
- « Arrête de te poser autant de question. Et concentre-toi sur une chose en particulier qui pourrait te calmer. »
- Qui es-tu et où es-tu ? demande la jeune fille apeurée.
- « Qui je suis pour le moment ça n’a pas d’importance. Et pour tout te dire et faire simple je suis dans ta tête. »
Comment es possible ? Personne ne peut être dans sa tête et pourtant c’est une explication à ce qui se passe actuellement. Après tout Léa est peut-être en train de devenir folle et tout ce qui ce passe n’est rien d’autre qu’une hallucination de son esprit pour lui dire d’arrêter de travailler ses cours et d’aller se reposer ?
Ou bien tout est vrai ?
Et là ça serait très bizarre. Comment une personne pourrait lui parler dans sa tête ? Et comment une jeune fille de douze ans pourrait-elle faire de l’électricité avec ses mains ?
Alors qu’elle se pose encore plus de question, les décharges électriques que Léa ressentait en elle finissent par ne plus être supportable. Elle tombe à genoux devant la porte de sa maison et se met à crier de douleur, des éclairs partent dans toutes les directions. Au même moment Thomas ouvre la porte, Léa tend une main vers son ami pour lui dire de rester à l’intérieur, mais sans que la jeune fille puisse faire quoi que ce soit un éclair frappe le jeune garçon de plein fouet dans la poitrine, il se retrouve propulsé cinq mètres en arrière et sa tête cogne contre un mur. Quand Léa voit Thomas s’effondrer au sol, elle se met en colère et de plus en plus d’éclairs s’écrasent au sol.
Plus rien ne parvient à calmer la jeune fille. Sa mère réussit à passer au travers des éclairs et s’approche de sa fille. Elle la prend dans ses bras pour essayer de la calmer. Tu n’as rien à craindre, dit calmement Mélanie, tout ce qui t’arrive est tout à fait normal. Comment ça ? interroge la jeune fille encore plus apeurée qu’elle ne l’était. Je t'expliquerai plus tard, répond-elle. Pour le moment tu dois trouver le moyen de te calmer. Et comment je fais ? demande Léa. Fait le vide dans ta tête, explique sa mère. Tu dois ressentir tous les éclairs qui sont autour de nous.
La jeune fille ferme les yeux et se concentre sur le bruit des éclairs, une fois cela fait elle parvient à les voir alors que ses yeux sont toujours fermés. C’est bon je les vois, s'extasie-t-elle. Je fais quoi maintenant ? Tu dois les arrêter. Répondit sa mère.
Léa se concentre encore plus et finit par faire cesser la tempête d’éclairs. Super ma grande. La félicité Mélanie. Et maintenant ? demande Léa.
Mais avant que sa maman ne puisse lui répondre, la jeune fille s'évanouit.
Juste avant de perdre complètement connaissance elle entend ces mots.
- « Repose toi petit ange. Je veille sur toi. »
Ce n’était pas la première fois que la jeune fille entendait ces mots. Ils sont d’un tel réconfort pour elle, qu’elle finit par s’endormir.
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