Il y a en toi quelque chose d’irrésistible
Qui me pousse à toujours en vouloir d’avantage
Qui face à moi, te rend invincible
Et perdura à travers les âges
 
Chaque soir je m’endors en pensant à toi
Contre tant d’amour, il devrait y avoir une loi
Car durant toute la sainte journée
Il n’y a encore que toi dans mes pensées
 
On dit que l’amour donne des ailles
Mais sans toi je ne veux pas voler
Je préfère restée au sol à tes cotés
Et me languir dans tes bras de plus belle
 
Chacun de tes regards me donnent envie de t’embrasser
Chacune de tes paroles suffit à m’envoûter 
Je ne pense plus qu’à toi, tu me fais oublier tout le reste
Chaque nuit que tu passes avec moi, devient céleste
 
Je chéris tout de toi, tes qualités comme tes défauts
La moindre parcelle de ton corps me donne chaud
Il n’y a pas d’assez belle langue pour te dire combien je t’aime
Pour l’amour que je te porte, un simple baiser ne suffirait pas lui-même

Voici un texte aux abords bisounours, mais visant seulement à faire réfléchir sur le sujet.

Je te hais pour tous ces soupirs que tu m’as fait pousser
Je te hais pour toutes ces larmes que tu m’as fait verser
Je te hais quand tu me dis en trouver une autre jolie
Je te hais quand tu ne te rends pas compte de ce que je vie

Je te hais pour être parti loin de moi
Je te hais pour ne me faire penser qu’à toi
Je te hais pour me priver de tes baisers
Je te hais pour ne plus m’apaiser

Je hais tes airs vainqueurs
Alors que souffre mon cœur
Je hais plus que tout, tes silences
Qui ne me rappelle que trop ton absence

Et je te hais bien plus encore,
Pour tant manquer à mon corps,
Et je te hais au-delà des mots, du temps et des idées

Car malgré tout, je ne cesserais jamais de t’aimer

Ce n'est pas une critique objective, mais un avis personnel, vivant cela au quotidien du fait de mon âge (18 ans).

Un conte sur une couleur vive.

Ma réponse au défi 10 mots, pour les repérer, je les ai souligné ! Bonne lecture :)

Jamais elle n'aurait cru en être capable, pourtant… Il était là, se dressant fièrement devant elle. Après maintes tentatives hasardeuses, elle avait réussi. « Une si belle chose » à la force du poignet, c’est fou ce dont le corps humain est capable. Elle n’arrivait pas à la quitter des yeux, lisse mais robuste, légèrement bronzé, il était de taille parfaite. Elle avait hâte de pouvoir y goûter.
L’impatience est telle qu’il est presque impossible de se contrôler dans ces moments-là. Elle savait que ce genre de chose se partageait, qu’il ne serait pas content si tout était fini trop tôt. Et alors qu’elle n’y tenait plus, elle eut une idée lumineuse. Du chocolat ! Toujours est toujours meilleur avec du chocolat. Et justement, elle avait de la sauce au chocolat qui dormait dans le frigo. Facile à étalée, délicieuse à manger ou même lécher.
Délaissant quelques secondes l’objet de ses désirs, elle ramena la sauce et commencer à l’étaler doucement. Il la regardait maintenant avec plus d’envie que jamais. Il aimait ce qu’elle lui faisait, c’était si bon… Dire qu’elle était une pro dans le domaine était peut-être exagéré, dû à son manque de pratique les années précédentes, mais elle avait fait tant de progrès depuis quelques mois… Tous les weekends étaient une découverte, une nouvelle idée, un fantasme à assouvir. Bien sûr, quelques fois il y avait quelques ratés, mais comme tout le monde. Un problème de temps ou une idée trop originale, rien de bien méchant.
Etant perdu dans ses pensées, il ne remarqua pas tout de suite qu’elle s’était à nouveau éloigné, quand il réalisa, il vit de suite la bombe de crème chantilly dans sa main. De mieux en mieux… Il baissa la tête et fut satisfait du maintien de ce qui leur procurerait bientôt beaucoup de plaisir. Elle secoua alors la bombe et laissa échapper la délicieuse crème sur sa langue, une habitude délicieuse qu’elle avait depuis l’enfance. La connotation du geste le fit rire, surtout dans le contexte.

Ils se sourient alors à nouveau. Lui pris la bombe et cinq assiettes et alla dans la salle à manger, retrouvé leurs convives et elle, arriva quelques secondes après, tenant fièrement son chef d’œuvre entre les mains : un soufflé !

Chaque fois que je scrute le miroir, je le vois. Cet homme que je ne suis pas. Il se regarde sans même me deviner. Il ne sait pas que je suis là et ne le saura jamais. Je ne suis qu’un autre, une pensée fugace, un esprit libre. Il est arrivé premier et moi second, ne méritant pas ma place à la lumière du jour. Seule la solitude m’accompagne. J’ai essayé de prendre le pas, une fois… Plus jamais, je ne suis pas fait pour la vie extérieure. Je reste dans mon monde, caché dans un coin de la pièce, rêvant de ma vie sans lui.
Il est tout et je ne suis rien. Il a tout et je ne vie que par procuration. La vie peut sembler injuste, mais je suis l’intrus. Je n’ai aucun droit et doit faire profil bas. Car le jour où l’on me découvrira, ce jour-là, je serais perdu. Ils voudront m’évincer, me faire disparaitre. Pas que je sois nocif ou dangereux, je suis même plutôt attachant dans le fond. Mais ma présence est indésirable, jamais je ne serais accepté. C’est le lot des gens comme moi…
Qui suis-je alors ? Qui peut-on répudier à ce point ? Qui peut s’immiscer dans votre tête, et en prendre le contrôle à volonté ? Qui peut voir le monde à travers les yeux d’un autre ? Réfléchissez, il est lui et je suis un autre lui. Il est un, je suis son autre. Il se sent seul, je suis toujours avec lui. Je suis là, je suis son autre soi. Je garde le secret de sa maladie.

Même la fin n'est pas toujours celle attendue...

Réponse à mon propre défi " https://www.scribay.com/defis/defi/278 ". Ecrit au feeling, sans idées précises au départ.

Une courte nouvelle sur un instant de vie d'une petite fille.

Tous vos regards tournés vers moi
Je ne marche plus où que ce soit
Sans penser à ce qu’on dirait
Même si je sais que c’n’est pas vrai
 
Vos cris, rires et moqueries
Me font perdre le sens de ma vie
Vous pensez faire rigoler
Moi j’ai tendance à pleurer
 
Bien sur vous ne voyez rien
L’important c’est votre bien
Vous vous moquez sans comprendre
Que je ne veux plus vous entendre
 
Et j’accepte tout
Ce que vous pensez de moi
Il n’y a que vous,
Moi je me fous de tout ça
 
Vous pensez tout haut
Et vous dites n’importe quoi
Un silence trop beau
Moi je me fous de tout ça
 
Les gens peuvent très bien rire avec vous
Ils parlent aussi dans votre dos
Ce n’est pas en vous moquant de nous
Non, que vous sortirez du lot
 
J’en ai marre de vos stupides idées
Même si vous me dites vouloir m’aider
 
Et j’accepte tout
Ce que vous pensez de moi
Il n’y a que vous,
Moi j’me fous de tout ça
 
Vous pensez tout haut
Et vous dites n’importe quoi
Un silence trop beau
 
J’accepte tout
Sauf peut être
N’être rien du tout
 
Et j’accepte tout
Ce que vous pensez de moi
Il n’y a que vous,
Moi j’me fous de tout ça
 
Vous pensez trop haut
Et vous dites n’importe quoi
Un silence, trop beau
 
Moi je me fous de tout ça

Je me fous de tout ça