Que les textes et poèmes emportent mon cœur.

A nous l'hypocrisie , la tristesses et l'oublie. L'humain deviens personnelles égoïste , les humanistes ce rebelles. A quoi bon battre le paver , c'est dans notre face qu'il sera jeter. Le changement c'est sans précédent, merci au média , a ces information sans fondement. Ce fixant seulement sur le malheurs de la France. Les œillères bien fixer , en bon français , oublie les peuples d'à coter.

Au coeur de ce brassier qui nous consumes,
A cet amour brulant qui fuse qui fume.
A nos corps à corps, à cette clope si vite allumer et fumer,
Cet amour transpirant, exprimant ce mouvement exitant.
Ecoute ces souffles suivre,
Cette cadence rythmé, continue cette danse,
Au coeur de ce désirs incandéscant, tes coups de reins percistant,
Oui ce mouvement, cet engouement,
Pour au final ce soulagement ,
Danse en moi, attache toi,
Je t'aimerais sans foi ni loi.

Les yeux plonger dans le goudron.
Qu'est devenu cette belle nature autrefois dominante et verdoyante.
La puissance qui s'en échappait est a présent étouffer sous ce quotidien incessant et bruyant.
A nous les buildings et cette odeur de merde quotidienne.
Moi je fuit pour une vie qui sera mienne.

Je pensais avoir mis ce cœur sous scellés,
Il a pris un pied-de-biche et a forcé l'entrée.
Le vent me ramène les promesses faite au creux de l'oreille.
Tu avais des doutes mais dans les discussions prédominer la couleur vermeille.
En un claquement de doigts tout c'est envoler.
À présent elle est là et moi, impuissante et en grande perdante, j'ai tirer ma révérence.
Sans silence, le vacarme de mon cœur etouffe la raison et me pousse dans la démance.
Dans cette bourgade me poursuit, les souvenirs de cette nuit,
Sur cette place sous les étoiles je me forçais de mettre un frein, à peine j'osée plonger mon regard dans le tien.
Lorsque tu m'as prise, dans tes bras contre ton cœur je me sentis conquise.
Nos bras et nos lèvres se sont entrelacés,
J'ai compris que sous deux êtres la terre pouvait se fissurer
À peine de temps de reprendre mes esprits, que tu disparaissaisais déjà dans la nuit.
Perdu dans les méandres de ma raison, mon cœur hurle et je sens tambouriner mes demons.
Sous cette boue et cet aspect sans cœur, j'ai appris qu'il s'y cachait un être seulement plein de doute et de peur.
J'ai l'impression que c'était seulement un film, mais la fin n'étais pas ce à quoi je m'attendais.
Plus jamais je ne me présenterai comme inaccessible.
De haut je suis tombée, mon cœur a été pris pour cible.