Wolfgang est un chasseur issu d'une illustre lignée, seul problème, c'est un lycanthrope. Un poilu, un loup-garou, et cela lui vaut d'être un chasseur marginal. Considéré comme une sale bête depuis sa tendre enfance, il marche au bord du gouffre menaçant à chaque instant d'y tomber.
Jusqu'à ce qu'il croise la route de Katia, une vampire folle, maudite, qui s'est entiché du vampire et a décidé de lui faire partager sa souffrance, son désir mais aussi son délire. Jusqu'où leur haine pour l'autre et pour eux-mêmes les mènera-t-elle ?

Récit composé à partir d'un jeu de rôle textuel, merci à Babine ma partenaire de jeu sans qui je n'aurais pu aller aussi loin. Je suis en train d'essayer de composer quelque chose d'intéressant à lire à partir de ces bouts de récit, j'espère qu'il vous plaira et n'hésitez pas à me donner vos retours !
Attention, ce texte contient de la violence, du sexe et de la vulgarité !

Alessandro et Lorenzo Llywlyn sont des jumeaux vampires, une relation électrique pas toujours évidente pour eux comme pour leur entourage. Alessandro est une rock star qui a le plus grand mal à accepter de garder le secret de sa nature tandis que Lorenzo est le cardinal de Paris, un rang prestigieux accompagné de lourdes responsabilités.

Des responsabilités d'autant plus lourdes à porter lorsque sa compagne disparaît, que son jumeau se lie d'amitié avec une sorcière et qu'une vidéo d'un vampire s'immolant fait le buzz sur youtube. Lorenzo parviendra-t-il à maintenir le calme à Paris ? Est-ce qu'un prêtre doté du don de double vue et une policière obstinée parviendront à l'aider ?

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Bonjour à tous, ceci est un manuscrit (assez volumineux) que je suis en train de relire / corriger. Cette étape étant compliqué pour moi qui n'ait pas du tout un esprit de synthèse et d'analyse sur mes propres écrits, aussi ais-je besoin de vos avis, et de votre aide si vous l'accepter !

Ce manuscrit est basé sur un JDR textuel sur forum que j'ai créer en 2009 qui s'appelle Drag Me to Hell. Je remercie d'ailleurs les joueurs et la communauté pour m'avoir donné envie d'en faire un roman.

Etrange créature que voilà, Narcissa est une hérésie, une créature du diable, élevée dans une secte, et elle seule peut capter toute l'ironie de la chose.

Hier on a pleuré, on a été choqué, en colère, amer, noyé dans l'incompréhension, et puis le deuil s'est achevé, on a chopé notre numéro de Charlie Hebdo - du moins ceux qui ont pu -, on a redécouvert les journaux papiers, on s'est marré comme des bossus devant les dessins de Cabu publié dans le Canard Enchainé qui a fait un très bel hommage. Et puis on essaie de se remettre à vivre normalement. Si hier le goût de cendre dans notre bouche nous empêchait de hurler, il nous empêchait aussi d'écrire mais aujourd'hui on peut à nouveau, reprendre notre vie, continuer à écrire, et à créer. L'art est un catalyseur, l'art permet aussi de reprendre le contrôle sur nos peurs, nombres de dessins effectués en hommage à Charlie l'ont prouvé. Ils nous ont aidé à oublier notre peur, à reprendre le dessus, et la manif a achevé ce beau mouvement, l'a magnifié. Aujourd'hui la vie reprend son cours mais elle a un goût plus intense. On est rempli de nouvelles résolutions, parce qu'on se dit que Charlie est maintenant en chacun de nous. Ce ne sont sans doute que des mots. Et demain, j'espère qu'on continuera à l'être, Charlie, à incarner cette laïcité et cette liberté de pensée, qu'on continuera à rire de tout, parce que le rire est aussi une arme, et sans doute la meilleure de toutes.

Ce matin, réveil douloureux. Les yeux encore collés aux paupières, d'avoir trop pleuré ou pas assez, d'avoir eu un sommeil agité plein de terreur et d'angoisse, on se rappelle, comme au lendemain d'une catastrophe qui nous a effleuré, on a encore le goût de cendre dans la bouche. La boule au fond de la gorge est encore là. Elle semble avoir enflée. On réalise que ça s'est bel et bien passé. Les mots manquent quand on doit en parler. On a ajouté un Je suis charlie sur Facebook et partout, mais quand il vient le temps d'en parler avec sa voix, tout d'un coup, on tremble, on renifle, on ne s'en sent pas la force. Parce qu'on n'a pas le talent qu'ils avaient ni la moitié de leur courage, mais leur souvenir, leur dessin, leur bouille à jamais gravé dans notre esprit, et ce cri, NON, VOUS N'AVEZ PAS TUE CHARLIE, VOUS N'AUREZ JAMAIS GAGNE, LA LIBERTE D'EXPRESSION VIVRA ETERNELLEMENT reste bloqué au fond de notre gorge. Oui il y a de la tristesse en chacun de nous ce matin, quand on réalise qu'ils ne sont plus là, et que c'est un peu comme si ceux qui nous avaient quitté avant, Professeur Choron, François Cavanna, mourraient un peu à nouveau. Alors on réalise que c'est nous, la relève, c'est à nous de nous dresser contre la barbarie et la violence. Parce que le rire continuera, et qu'il sera toujours plus fort que la connerie.

Les anciens, ils disent que c'était mieux avant, l'était-ce vraiment ?

Texte très court, science-fiction qui questionne sur la société, la question des libertés face au contrôle par un système.

J'attends vos retours !

Les membres de ma guilde d'écriture m'ont lancé un défi, à partir de la célèbre peinture de Edward Hopper, Nighthawks, je devais écrire une page word. Alors voici, le récit, très court forcément, d'un homme plongé dans ses souvenirs...

1670, Versailles se construit sur d'anciens marécages, le Roi Soleil ignore cependant qu'il bâti son empire sur le royaume des fées. Celles-ci n'ont guère envie de lui céder leur territoire. Entre complots, trahisons, empoisonnements et messe noires, plongez dans les mémoires gardées secrètes de Louis XIV.

** Notes de l'auteur:
Cette histoire est en cours d'écriture, aussi n'hésitez pas si vous avez des commentaires à me faire sur le fond, la forme, tout me sera utile !