Bonjour,

C'est la première fois que j'écris et publie un texte. Je souhaite relever ce défi pour m'améliorer et affiner mon style d'écriture.

Je serais ravie de recevoir vos conseils sur tout défaut à améliorer.

Malgré mon niveau, j'espère que cela vous plaira.
je vous souhaite une bonne lecture.

salut, voila une fanfiction du manga l'attaque des titans, j'espère que ça va vous plaire.

je vous souhaite une bonne lecture !

Eloise reçut un message sur Instagram d’un supposé prince riche qui a besoin d’argent pour créer son entreprise en ligne. Elle épia son compte et vit 2 abonnés et 4 abonnements.
Un long soufflement se fait entendre.
Sérieusement c’est quoi cette arnaque ? Les gens n’ont absolument rien à faire de leur vie.
Par pitié elle lui versa un peu d’argent avec un message disant que c’est tout ce qu’elle a pour le moment, et qu’il devrait arrêter de se faire passer pour une personne qui ne l’est pas.

Huit ans plus tard, une personne frappa à la porte.
Elle dévala les escaliers et se précipita vers la porte d’entrée. En ouvrant la porte elle vit un grand homme blond, aux yeux bleus comme un clair de lune. Il était d’une prestance élégante et imposante. Euh .. on se connaît ?
Il arqua un sourcil et l’observa complètement confus. Oui, tu m’as envoyé de l’argent il y a… Je ne suis pas une strip-teaseuse, salut.

Elle lui claqua la porte au nez mais une phrase lui coupa ses prochains gestes.
tu as gagné un million d’euros, proclame l’inconnu d’une voix forte.
Qu’est-ce qu’il raconte comme bêtise celui-là ?
La sonnette retentit plusieurs fois. L’individu ne voulait visiblement pas s’en aller.

- tu es bien Eloise Dumortier ? Ton Instagram est bien..
Mon cœur s’emballa comme une horloge détraquée, bordel mais c’est qui ce mec ?
- ..DmtEloise
Qui me demande ?
Après une longue inspiration elle continua, si c’est pour mon prêt à la banque pour mes frais de scolarité je comprends, je vais bientôt rembourser. Il me faut encore un peu de temps. Ça se rembourse assez vite 15 000 € n’est ce pas ? Dit elle en ricanant comme une hyène. Je gère la situation, vous pouvez disposer.
L’argent n’est plus un souci mademoiselle, c’est terminé, ce n’est plus qu’un petit détail. Il suffit juste de régler le problème ici et maintenant.
L’étudiante déglutie avec une pulsation cardiaque battant à plein régime
Oh putain est-ce un assassinat ?
À son tours l’individu leva un sourcil, il se demandait réellement ce qu’il faisait là. Pourquoi était-elle aussi stupide ?
Eloise prit la chaussure qui se trouvait à sa droite et se dirigea vers la fenêtre en pointa « l’arme » en direction de cet homme.
Comme vous pouvez le voir je suis armée, si vous tentez le diable je n’hésiterai pas à vous faire du mal. Et je vous préviens vous ne préférez pas connaitre les degrés de douleur que je peux vous infliger.
je ne suis en aucun ici pour vous blesser, je suis ici pour rendre ma gratitude, dit-il nez à nez avec la jeune femme à travers la fenêtre. Ça fait huit ans maintenant, te souviens-tu ?
je ne me souviens même pas de ce que j’ai mangé ce matin, dit-elle légèrement perplexe, la situation prenait une tournure complètement différente. Mais tant que vous n’allez pas me tuer, continuer.
Elle continua à agiter la chaussure pour montrer qu’elle n’hésiterait pas une seconde si quelque chose de louche devait se produire.

- je suis le prince qui vous a contacté auparavant pour une petite somme d’argent. Vous m’avez énormément aidé et j’en suis très reconnaissant. Dites-moi ce qui vous souhaitez en plus de cet argent ? Je remuerais ciel et terre pour vous.
La bouche d’Eloise prend la forme d’un « Oh », puis elle lança la chaussure par derrière et agita ses mains libres consciemment pour clamer son innocence. Elle ouvrit la porte puis lui demande que ça serait bien de réparer la télévision pour commencer.
L’homme s’incline et répondit « Bien sûr. »
Quelque temps après, il s'assied à côté de la télévision, regardant avec désespoir le fouillis de câbles dans ses mains .
Mademoiselle , dit-il, secoué par la défaite, y a-t-il autre chose que je puisse vous apporter ? Une nouvelle télé par exemple ?
Non, dit-elle avec plein de sarcasmes, vous êtes à mon service jusqu’à ce que ce soit fait. Il n'y a pas le feu au lac, prenait le temps qu'il vous faut.

La jeune femme déforma son visage d’un grand sourire et celui du prince grimaçais de terreur.

- d’ailleurs je vais vous raconter comment j’ai cassé cette télévision qui me tient tellement à coeur.

salut,
voici une fanfiction de jujutsu kaizen. Je tiens à préciser que les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Gege Akutami, sauf pour le personnage principal.
Bonne lecture !

La chaleur était au rendez-vous en ce début d’après-midi, les chants des oiseaux caressaient mes tempes. Je marchais dans la rue en direction de ma fac.
Je levai mon vis-à-vis en direction de… Waw..
Une décharge électrique traversa ma colonne vertébrale. Mes yeux étaient attirés par le visage d’un homme comme des aimants. C’était un homme plutôt petit de taille aux cheveux noir de jais. Il détourna son regard puis nos regards s’entrechoquèrent. Ces yeux gris perçant me sondaient de la tête aux pieds.
Un visage parfait.
À cette vision, une pulsion profonde m’enroba.
J’ai le visage chaud voire brulant, ma poitrine bat à un rythme indéfinissable, mes mains moites tremblèrent sans que je ne puisse rien n’y faire. Le monde s’arrête. J’étais seule avec lui. C’était seulement lui et moi. Plus rien autour n’avait d’importance.
Il avait un visage parfait, si parfait que je ne peux détourner mon regard de lui.
Ma chaleur corporelle avait grimpé d’un cran.
À cet instant précis je n’ai qu’une obsession c’est de lui parler. Le problème, c’est que j’ai perdu le contrôle de mes cordes vocales après l’avoir vu, mon cerveau était en court-circuit.
J’étais là, à l’observer sans rien pouvoir faire, prisonnière d’une cacophonie de sensation que je ne maitrisais pas.
salut, dit-il d’une voix suave en me regardant intensément, comment tu t’appelles ?

Une voix qui provoqua une vague de frisson que mon corps eut du mal à résister. Des bouffées de chaleur consumaient mes joues et ma poitrine. Les sensations de mon corps étaient intenses, désordonnées et dans ma tête seule une phrase tournée en boucle, comment tu t’appelles ?
C’est vrai ça, comment je m’appelle ?
Après quelques secondes qui parurent une éternité je tentais de répondre :
B..bb.. balbutie-je, en tentant tant bien que mal de formuler un mot correct.

La ligne droite de ses lèvres se fendit en un sourire séduisant, qui me coupa les prochains mots. Je passai pour une vraie coincée ridicule par la perte de mes moyens.
tu as perdu la parole ?

Mon pouls s’accéléra, je ne contrôlais pas cette vague de fourmillement dans mon bas-ventre. J’avale ma salive à plusieurs reprises dans l’espoir de formuler une phrase correcte .

- Oui.. euh non.. Je m’appelle Bélina