Au début, ils étaient cinq...

- De toute façon, commença Ron, on peut partire.
- Oui, mais même...
- On y va? Demanda Jenny en chuchotant.
- Comment marche ce balais? Lui demanda Jones.
Ron éclata de rires discrets.
- Ce n'est pas drôle, répliqua Jenny.
- Ce qui me fait rire, c'est que c'est le premier Willers à ne pas le savoir!
- Ne t'en fais pas, Jones, tous les Willers n'ont jamais eût à apprendre à s'en servir... Ils l'ont fait tous seuls, continua Jenny.
- J'espère que ce n'est pas le balais de ménage de ma tante Périnia...
- Impossible! Regarde ce logo. C'est celui des Willers, et à côté, celui des Bouraq-d'or.
- Les quoi ?
- A Boudlard, il y a plusieurs familles: Les Bouraqd'or, les Basilicards, les Pourroufles et les Serresd'aiglons. Jenny et moi, on fait partis des Bouraqd'or. Et tois aussi, j'espère...
- Mais, comment je vais renter dans le collège Boudlard? Les Dersley ne voudront jamais...
- Mais pas les Croney! Dit Ron d'un air malin. Tu es le chouchou de ma mère. Ricana-t-il.
- D'habitude, je n'aime pas être chouchou, mais pour ça... Je vous suit! Il prit sa baguette en main, s'assis sur son balais et s'envola avec tous ses amis, sans oublier Twinky qui volait librement dans le ciel de nuit.
- Alors, c'est confortable?
- Et comment! C'est plus facil que je ne le pensais!
- C'est normal! Il y a une seule famille qui sait le mieux débuter l'étape du balais, c'est la tienne! S'écria Jenny. Ron, passe la cape d'invisibilité de Jones! Si jamais quelqu'un nous voyait... Chacun mit une cape qui les renda invisible.
- Je suis sûr qu'aucun Caldus ne nous a vu... Dit Ron en regardant les trottoirs. Et puis, à cette heure-ci, je n'ai jamais vu personne!
- Des Caldus? Demanda Jones.
- Ce sont les gens qui ne sont pas magiciens. Par exemple, Jenny est née dans une famille Caldus, mais elle, elle est magicienne.
- Jenny ne fait pas partie de ta famille?
- En réalité, c'est ma cousine, mais ses parents ont déménagés pour affaire, et la garder était trop dangereux. Ils sont au bout du monde. Ils l'ont laissés chez nous quand elle avait deux ans. Et, maintenant, on est "frère et soeur".
- C'est vrai? Demanda Jones en la contamplant.
- Oui... rougissa-t-elle aussis-tôt.
- Au fait, à Boudlard, je suis sûr que tu seras le plus célèbre! S'exclama Ron en faisant comme si il avait un appareil photo entr ses mains.
- Je sais, à cause de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Pronnocer-Le-Nom... Et aussi parce que mes parents sont les plus grands magiciens, surtout mon père...
- Oui, c'est vrai, mais aussi grâce à ta cicatrice en forme W, qui celle-ci est recouverte d'un éclaire, aussi en cicatrice. C'est, euh, c'est machin truc qui te l'a faite en voulant te tuer, après avoir tué tes parents. Mais, personne ne sait comment tu as réussit... Tu aurais une petite idée?
- Oui. Lui répondit Harriy sèchement.
- Comment ça, oui? Je pensais que...
- Non, le sort d'amnésie est achevé. Je me souviens de tout, à présent.
- Raconte. On arrive bientôt.
- Mes parents fuyaient de Tu-Sais-Qui, avec moi dans leurs bras. Mon père et ma mère me protégeaient, pendant la nuit, ils courraient pour trouver un endroit où se réfugier. Et, tout à coup, Tu-Sais-Qui apparut devant nous. Il tennait sa baguette entre ses mains. Une horrible baguette toute tordue. Je me souviens de ses paroles qui les ont tués... " Maracaranda"... Le sort de la mort. J'avais trois ans. J'ai vu mes parents s'écrouler et crier devant moi... " Aucun coeur! Laisse Jones... LAISSE-L..." ou encore des cris de terreur, d'horreur. Puis, ce fut mon tour, avant même que ce voleur de mort pronnoça ses paroles, mon père me dit un dernier mot : " Jones, voici ta baguette et ton balais, et dès ma mort, je te protègerais de ce voleur de mort. Vis ta vie... Laisses-toi guider, et vas à Boudla...". Tu-Sais-Qui pronnonça alors le sort de la mort, il pointa sa baguette sur moi, et, je n'ai rien senti. J'avais mit ma baguette contre mon coeur, je la serrait bien fort, ma mère m'avait protégé, seule une cicatrice du W de Willers et un éclair fit effet. Puis, je brandis ma baguette vers l'ennemi et pronnonça " Expuliarius!", alors, il se fit expluser, et disparu. Et, je me suis ensuite retrouvé devant la porte des Dersley. Ils étaient au courant de ce qu'il s'est passé. Et, pour ne pas faire remarquer qu'un magicien était chez eux, ils me cachent... Et maintenant, je retrouve enfin ma baguette et mon balais...
- Quelle histoire! Vraimbeldor t'attend à Boudlard. C'est le directeur, le plus grand directeur que personne n'ai jamais connu. Tes parents voulaient que tu ailles à Boudlard, et c'est donc pour ça qu'on t'y emmenne après les vacances.
- Mille mercis ! Je me demande quelle tête font l'oncle Fromnon et mo gros cousin de ainsi que la tante Périnia et le gros Derver!
- Tiens, on est arrivés. Vous avez prévenus vos parents que vous me cherchiez?
- Ma mère, oui. Mon frère et mon père, non.
- Ton frère? Je ne savais pas que tu en avais un.
- Il s'appelle Morcy. Il est préfet, à Boudlard. Mes parents, pour le féliciter, ils lui ont offert un bureau, depuis, on ne le vois seulement que dans son bureau.
- Comment offrir une pièce? Demanda Jones surpris. Ron lui répondit simplement en lui montra sa baguette. Quand Jones et ses amis furent posés dans le petit jardin de Ron, Twinky se posa sur l'épaule de Jones. Ron ouvrit la porte et entra, suivit de Jones et Twinky, ainsi que Jenny.
- M'man! On est rentrés! Cria Ron.
- Chut, et si ton frère et ton père dormaient?
- Alors, déjà, que pourrait faire mon frère, en dehors de Boudlard? Et mon père, lui, illa arrive dans dix minutes de son travaille.
- Personne de ta famiille, à part Jenny est un Caldus?
- Non, ah si, Monsieur Krokou...
- C'est qui?
- C'est sa stupide peluche avec laquelle il dort tout le temps pour soit disant "Bien Dormir", avec un grand B et un grand D. Soupira Jenny.
- Mon Jony! S'écria Mrs Croney, la mère de Ron. Que tu m'as manqué! Je me souviens de ton sort d'Amnésie... hein, Ron? Elle lança des éclairs à Ron.
- Ron? Lui demanda Jones surpris. C'était donc toi?
- Mais non! Je ne voulais pas...
- Je vais lui expliquer, à ce pauvre chou, que tu ne lui racontes pas des Mayales!
- Des Mayales?
- C'est des bêtises...
- Ah, d'accord...
- Au fait, Ronald voulait tellement te voir... Cela fait 1 ans que vous ne vous vous êtes pas vus.
- Comment? Mais...
- Je sais, mais, Ronald voulait absolument te voir, et, de plus, à Boudlard, quand tu avais 10 ans, presque 11, il y avait eu une Activitée Combat. Mrs Carnivoal, votre proffesseure de duels et combats vous avait mit ensemble. Jones, tu avais trop peur de perdre le contrôle de ta baguette et de blesser ton meilleur ami Ron, mais, Ron, lui, voulait que tu lui jettes des sorts à blanc, pour pouvoir jouer, alors, il a voulu te montrer le sort que tu pouvais le jeter, et sans faire exprès, il t'as jeté un sort d'Amnésie. Mais, ce sort t'as juste fait oublier Boudlard. Mais une fois que tu auras revu le château Boudlard, tu te souviendras de tout. Ensuite, lorsque tu étais à Madrid, pendant 1 ans, Ron, pour te faire revenir t'as déclaré que vous ne vous étiez pas vus depuis 7 ans, toi, tu n'en avais aucune idée, à cause de l'amnésie. Hein, Ron?
- C'est bon, m'man, maintenant, tout va mieux.
Mr Croney entra dans la maison.
- Que se passe-t-il, ici? Demanda Mr Croney, surpris de voir tout le monde autour de la table.
- William! Voici Jones, il reste ici pour les vacances d'été.
- Harry! Cela fait 7 ans! S'exclama William Croney.
- William!
- Je suis au courant, pour l'amnésie.
- Toi aussi, tu lui avais fait croire que...
- Excuses-moi, Jones... En tout cas, je suis heureux que tu sois ici, entre de bonnes mains. Mortor va sûrement te laisser tranquille pour de bon!
- Vous croyez? Moi, je suis persuadé qu'il me retrouvera bien un moment... et, sûrement bientôt. Dit Jones sombrement

Jones Willers a 12 ans. Il habitait à Madrid, et revient dans sa ville natale: Carville. Cette merveilleuse ville a beaucoup changée. Il envoie des lettres de renseignement à ses meilleurs amis: Ronald et Jenny. Jones découvre ses talents de sorcellerie, en découvrant son balais et sa baguette magique chez les Dersley, sa famille la plus proche après la disparition de ses parents.
Histoire avec quelques inspirations d'Harry Potter.

Le ciel est bleu, tout bleu,
Pétillant de soleil.

Noir et opaque, un nuage s'élève monstrueusement.
Il cache derrière son épais manteau
La couleure azure du ciel.

Et son étoile vive et éclatante
Laisse une longue traînée noire
Colorant les nuages de suie.

La végétation se mélange à l'odeure acre du charbon,
Le paysage change de couleur,
De forme de vie.

Au loin, d'immenses cheminées s'élèvent
Sur la ligne de l'horizon.

La brume se mélange à la poussière des charbons;
L'odeur est épouvantable,
Insupportable.

La couleure noire de la pierre,
Bienvenue au royaume de fer!
Où règne sa majesté le feu.

A.B

Nous sommes en 2020, à Lille, au collège Carnot.
- Chacun va me faire un exposé. Camille, tu feras un exposé sur Miro, toi, Felix A, tu feras un exposé sur Agatha Christie, Felix L, tu en feras un sur Margaret Mitchell... après deux minutes de choix... et toi, Tom, tu en feras un sur Charles de Gaulle! Et tu as intêret à le faire! S'écrie ma professeure.
Ah oui! J'allais oublier: Je m'appelle Tom, j'ai 12 ans et demi, donc je suis en 5ème E. Fan de BD, je n'aime pas travailler, enfin, c'est pas mon truc.
- Tom! Tu m'écoute?
- Oui, Mlle Gymette. Enfin, je veux dire, qu'avez-vous dit?
- Je disais que tu as intêret à le faire, cet exposé sur Charles de Gaulle.
Et comment! Je suis un descendant de ce générale, non mais!
- D'accord, Mlle Gymette.
- Ils seront à rendre pour la semaine prochaine, Lundi. Vous avez trois jours pour préparer vos présenations.
" TOC TOC TOC"
- Entrez.
Le principal entra dans la pièce. Les élèves se levèrent.
- Asseyez-vous. Ordonna celui-ci.
- Pourquoi Mr Grenu vient nous voir? Me glissa mon voisin, Felix A.
- Bonjour les enfants, je suis venu vous voir car, je suppose que vous êtes au courant pour vos exposés. Il y aura un concours. Les 5èmes F vont ausi y participer. Nous ferons un vote pour les deux exposés les plus réalstes et les plus complets. Mais, pas trop complet, sachez-le, sinon, ça serait trop ennuyant pour les autres, et nous en aurons jusqu'au lendemain matin. Car, bien entendu, vous êtes en 5ème et non en 3ème. Bon, je ne vais pas plus vous derranger. Bonne chance, et surtout: courage, les enfants!
- Merci, monsieur, à bientôt, m'sieur!
Dans les couloirs...
- Eh, Tom! Tu vas perdre, Charles de Gaulle, c'est moi qui le gagne. Moi, Gaspard de Gaulle!
- Porte quoi, t'es même pas de sa famille.
- C'est vrai qu'en verité je suis Gaspard Bigloo...
- Ridicule, oui. Le coupais-je.
- QUOI ?! Répète ! S'énèrva mon ennemi.
- Ri-di-cule, t'es sourd ou quoi?
- Vas-y, toi, c'est quoi ton nom de famille ?!
- Peuh! J'vais pas t'le dire, et puis, me dis pas qu'on est deux à faire un exposé sur Charles de Gaulle ?!
- Bah si. Et mon père est historien. C'est la main dans le truc !
- Cool ta vie.
- T'as dit quoi?
- Je disais que: j'm'en fou du métier de ton père, t'es pas obligé d'me raconter ta vie, t'sais. Bon, bah... j'ouvri la porte de la sortie et je rentri chez moi.
- Salut, loulou, tu viens manger ton cher gateau à la myrtille? S'exclama maman.
- Désolé, m'man. Je vais dans la cabane. J'ai du boulot!
Je fonça vers la cabane perchée dans un arbre du jardin. Bien sûr, pour monter, il faut se mettre dans une grande boîte en métal et tirer sur une corde pour la faire monter. Hop! Je cherchais partout un coffre que maman ne veut pas que j'ouvre. Au fait, c'est papi qui m'a dit: " Mon grand-père est Charles de Gaulle, ou mon père, je ne me souviens plus trop." Donc, je lui ai répondu: " C'est vrai? Charles de Machin est mon arrière grand-père?!" " Oui. J'ai souvenir que mon père s'appellait Charles de Gaulle." Papi a vécu tellement de choses que... il a perdu un bout de sa mémoire. Après, il y a une ou deux preuves: Il a chez lui des photos de Charles, maman ne veut pas que je lui demande de m'en dire plus sur lui...
- Eh! Il est là! Papi m'avait donné un coffre sur de Gaulle. Heureusement, maman n'en sait rien. Je l'ouvris en découvris environ huit livres dedans, ainsi qu'un chapeau militaire et des dizaines de médaille, il n'a sûrment pas pu toutes les mettre, il en avait tellement, enfin, je pense ! Je vis un livre pas comme les autres... Il était marron rouillé, poussiéreux, mais magnifique. J'ouvis la première page en soufflant dessus pour mieux voir. Il était écrit: " Ma véritable vie magique". Que voulait-til dire dans le sens "magique"? Je tournai les pages et tombit sur " 1er juin 1940, Paris, je suis général..."
- Alors, c'est à Paris qu'il est général? Eh, c'est quoi, ça? " pargueston"? Puis, je me retrouvit comme par magie je ne sais où, avec le livre dans les mains.
- Où suis-je?
- A Paris, l'ami. Dit une voix derrière moi.
- Qui êtes-vous? Je me retournais en sursaut.
- Tu ne t'attendais point à avoir une réponse? Je m'appelle Philippe. T'as point l'air d'être du coin!
- Je..
- Attends, lèves-toi... Il me releva, en évitant que le livre tombe.
- Merci, Philippe. Je m'appelle Tom.
- D'où viens-tu?
- De Lille. Zut, je n'ai pas mon téléphone! Peux-tu me le prêter?
- Attends! Tu peux m'expliquer comment tu veux que je le transporte???
- Bah, un téléphone tactile, tu viens de quelle année???
- J'ai 13 ans. Et nous sommes en 1940, si tu veux vraiment savoir.
- En... je ne me sens pas bien...j'ai compris ce que voulait dire mon arrière grand père... avec le mot "magique"...
- C'était qui, ton arrière grand-père? Me demanda-t-il.
- Charles de Gaulle.
- Quoi ?! Tu te moques de moi, là? Le gigantissime nouveau général depuis ce matin?
- Oui. Je lui montrai le livre.
- C'est... c'est bien son écriture. Comment as-tu fait pour récupérer ce livre?
- Dans un coffre qui est... bah... laisse tomber... je suis son descendant, du côté du père de ma mère.
- Incroyable!
- Où est-il, en ce moment ?
- Dans huit minutes, il fait un défilé. Là-bas... Il pointa du doigt une place.
- Alors, il ne reste plus qu'à y aller. Tu me suis?
Il éclata de rires.
- Si tu penses que ses gardes vont te laisser s'approcher de lui... t'es drôle, toi !
- Bon, ce n'est pas grave, on verra quand même. Donc tu me suis ?
- Et comment ! Maintenant, on est amis.
Philippe était un garçon normal, blond, les cheuveux courts, habillé en chemise blanche et en pantalon noir claire et épais.
- Merci, Philippe, alors... je peux juste te dire un truc ? Puis-je te faire confiance ?
- Juré, aprouva mon ami.
- Je viens du futur, en 2020. Cela paraît totalement dingue, mais c'est vrai. J'ai prononcé quelques mots d'une page de ce livre et...
- Tu t'es retrouvé ici, acheva Philippe.
- Oui. A présent, ne perdons pas de temps, ou nous arriverons trop tard.
Nous nous dirigeâmes vite vers la Place de la Concorde.

Jean est un garçon de neuf ans. Après un accident d'avion, sa mémoire se récupère petit à petit. Il va faire des rencontres plus ou moins sympathiques et devra survivre de le froid glaciale de Taïga.

Pourquoi j'écris ?
Tout simplement...
Car l'écriture me rend libre d'inventer, libre de rêver, libre d'écrire.
C'est une grande passion, pour moi. C'est ma façon de vivre, de rêver, de ne pas m'ennuyer.
Cela paraît court, mais, je vous préviens: mes explications ne sont pas complétées car je ne sais pas tout expliquer.
A.B

Vivre, c'est quoi?

Si j'avais été...
Une source d'information pour savoir et pour aider,
Un oiseau libre, scintillant de bonheur et de fierté,
Une rivière avec ses douces goutes qui appaisent tant la nature sans embêter,
Une clée pour ouvrire une maison sans forcer,
Des nids pour oiseau sans foyer,
Un sac pour aider à porter,
Le vent pour voyager,
Ou la liberté, pour avoir la paix.

Une musique harmonieuse,
J'aurais pu assouplire les paroles,
Mais, je ne peux pas changer,
Je suis un humain ainsi que des histoires.

A.B

Agathe et son meilleur ami Nathan sont en sortie avec leur classe à Phalempin. ils ont fait une découverte. ils vont ainsi sauver le futur qui serait l'époque la plus paresseuse, sans eux. Nathan est mauvais en classe, et Agathe est la meilleure, ils sont vraiment faits comme ça pour être meilleurs amis? ainsi va la vie!

Azerty est touché par la Trisomie 21. Son père est parti à Versailles et sa mère à Paris en laissant une vieille dame (sa tante) s'occuper de lui. Kevin va découvrir Azerty, ils vont tous deux devenir inséparables. Azerty et son ami vont donc recevoir sur le dos des moqueries.
" Personnes ne te comprendra, tout le monde te jugera jusqu'au jour où ces personnes seront dans la même situation que toi".

Toutankhamon, le célèbre pharaon de la vallée des rois a disparu. Son brave fils Thoutandon part à sa recherche en laissant entre les mains de son oncle la vallée des rois. il rencontrera deux amis dont il deviendra inséparable. ils traverseront le Nil, feront de rudes épreuves, ainsi que des égnigme plus ou moins dangereuses. Parviendra-t-il à retrouver son père? on ne sait jamais! si tu veux tout savoir, bonne lecture!