Plaisirs aquatiques

14 minutes de lecture

Je n'avais pas prévu de faire un 2e chapitre, surtout tant de temps après le 1er, mais un vague à l'âme d'après fêtes de fin d'année m'a ramené sur ce récit. Il subsistera probablement des fautes d'orthographe/grammaire, n'hésitez pas à me les signaler, je ne mords pas ;-)

Avertissement post-écriture: ce chapitre est beaucoup plus osé que le 1er je trouve (je me fais rougir moi-même...). Pour les plus prudes: n'allez pas plus loin !

***

 En fait de rivière, c'est un gros ruisseau alimentant un petit étang auprès duquel nous arrivons. Il nous a fallu nous éloigner du chemin d'encore au moins trois cents mètres en une lente montée, avant qu'une pente assez abrupte ne nous dévoile soudainement un vrai coin de paradis. Il ne semble tout simplement pas naturel, comme si un paysagiste y avait consacré des mois pour accomplir l'oeuvre de sa vie.

 La large trouée dans la canopée qui m'avait permis de trouver cet endroit vu du ciel permet au soleil méridien d'éclairer et réchauffer ce lieu édénique. Les arbres semblent s'être écartés volontairement pour laisser la place à une étendue d'eau cristaline qui parait creusée dans la roche et être suffisante pour s'immerger en s'asseyant à son point le plus profond. Son contenu fuit lentement par une cascade enchanteresse d'environ un mètre de haut avant de plonger à nouveau dans la forêt.

  • Wahou c'est ... commence ma femme sans parvenir à finir sa phrase.
  • Oui ! réponds-je simplement.

 Je sors donc mon appareil photo et prend une photo afin de garder un souvenir. Et en parlant de souvenir, un autre vient garnir ma galerie lorsque d'un cliché j'enregistre la vision érotique que me propose la femme que j'aime. Penchée en avant pour délacer ses chaussures de marche, j'ai une vue parfaite sur ses lèvres intimes encore gonflées et son anus tentateur surplombant ses cuisses où sechent désormais les gouttes restantes de mon sperme. Vu la longueur de sa robe, je doute qu'elle puisse se relever autant d'elle même, et la soupçonne donc de l'avoir volontairement remontée sur ses hanches afin de réactiver mon excitation cassée par la magie du lieu.

 Et c'est naturellement qu'une fois pieds nus, elle fait voler dans un même mouvement son unique vêtement et son chapeau. C'est donc entièrement nue, les tétons dardés, qu'elle s'avance dans l'eau.

  • Hé ! Mais elle est bonne en plus ! Viens vite ! me hêle-t-elle avec un sourire à se damner.

 Après une nouvelle photo de cette aphrodite impudiquement dévêtue les mollets dans l'eau, j'enlève également tout ce qui me recouvre pour que l'on soit tels Adam et Eve dans cet Eden. Elle profite de ces instants pour s'assoir au plus profond, l'eau recouvrant à peine son opulente poitrine, ses mains probablement occupée à enlever les traces de nos ébats précédents. Lorsque je me rapproche du bord pour la rejoindre, et aux vues des mouvements de ses épaules et de la rougeur naissante de ses joues, je suppute que ses doigts ont une activité bien moins sage qu'une simple toilette. La réfraction et les reflets de l'eau m'empechent toutefois d'en être sur, et je cherche donc à confirmer mon hypothèse:

  • Dis-moi, tu ne serais pas en train de te caresser sous l'eau ? lui demande-je goguenard, alors que son regard se fixe sur mon sexe maintenant pleinement en érection.
  • Hummmmmm, peut-être... minaude-t-elle sans cesser ses agissements. Le plus sûr pour s'en assurer serait que tu te rapproches...

 Alors que je m'apprête en souriant à m'approcher, elle me stoppe.

  • Attends ! Il te faudra une preuve si tu veux me confronter sur mes activités aquatiques, ajoute-t-elle timidement en rougissant franchement. Vous devriez filmer avec votre téléphone pour pour avoir une preuve, Maître.

 C'est donc très surpris que je vais récupérer celui-ci, étant donné que cette demande est une première. Sur le fond, vu que si il nous arrive de prendre des photos sans équivoque pendant nos ébats, nous ne nous sommes jamais filmés. Mais aussi sur la forme, puisque cette attitude soumise et embarassée tranche soudainement avec celle de son invitation initiale à la rejoindre. Enclenchant le mode vidéo, je cherche maintenant une confirmation du jeu qu'elle semble vouloir jouer:

  • J'ai deux questions pour toi, commencé-je. Premièrement, es-tu en train de te masturber ? Attention à ta réponse, celle-ci sera enregistrée, et tu sera punie si tu me mens ! Et ensuite, m'as-tu appeler "Maître" comme "Avocat", ou comme "Maître, je suis votre soumise" ?
  • Je suis seulement en train de me nettoyer, et j'assumerai les conséquences si c'est faux, Maître, insiste-t-elle sur ce dernier mot en fixant l'objectif. Et quand au surnom, à vous de voir le jeu que vous préférez ...

 Nos tenues et le cadre ne se prêtant pas vraiment à un jeu de rôle avocat/cliente dans un tribunal, c'est dans la peau d'un dominant que j'essaye de me placer. Alors qu'elle continue ses mouvements dissimulés, commençant à gémir légérement, c'est d'un pas assuré, contrairement à ce que je ressens, que je commence à rentrer dans l'eau. Les quelques mètres nous séparant sont vite avalés et je peux maintenant disctintement voir l'une de ses mains cajoler sa perle de plaisir, pendant que l'index et le majeur de l'autre font des va-et-viens dans son sexe.

  • Ho la menteuse ! Tu seras donc punie ! indiqué-je sévèrement avant de me radoucir. Mais on verra ça plus tard. Pour l'instant, regardes l'état dans lequel tu m'as mis. Tu vas me donner du plaisir avec ta bouche !
  • Oui, Maître... répond-t-elle avec un léger rictus de désir.

 Ce nouveau jeu entre nous semble lui plaire, puisque c'est avec un sourire gourmand qu'elle se met à genoux, attrape ma hampe d'une main et fait glisser sa langue sur toute ma longueur. Pendant que son autre main s'occupe toujours de son clitoris, elle s'applique à gouter et avaler le restant de nos fluides encore humides sur moi, ses paupières se fermant alors qu'elle ne peut contenir un gémissement de plaisir. Fixant à nouveau mon téléphone, elle dit disctintement en rougissant à nouveau:

  • J'aime le goût de votre jouissance dans ma bouche, Maître. Pouvez-vous m'en donner encore plus? J'en ai besoin... s'il vous plait?
  • Je déciderai selon mon envie et ton implication !

 Agrippant fermement mais sans brutalité ses cheveux, je dirige autoritairement sa bouche vers mon gland. Elle ne se fait pas prier pour ouvrir ses lèvres et me laisser coulisser en elle. Docile dans le rôle quelle a choisi d'endosser, elle se concentre pour me caresser de sa langue tout en creusant les joues, pendant que je gère la profondeur de ma lente irrumation. Même baigné par les rayons du soleil sur nous, sa bouche fièvreuse me procure une sensation de chaleur plus intense encore que le reste de ma peau.

Je crois ne jamais avoir pris autant de plaisir lors des fellations dont elle est pourtant experte. Et elle semble également prendre son pied à se sentir ainsi offerte à mes moindres désirs, ses gémissements recommençant à se faire entendre en vibrant autour de mon membre.

 Sa main n'étant plus nécessaire pour maintenir mon sexe, elle la reporte sur ses seins qu'elle pétrit et maltraite, ses yeux fixés dans les miens au-dessus de l'objectif qui enregistre toujours cette scène digne d'une vidéo porno. Je profite quelques minutes de cette divine gâterie dans ce paradis terrestre, mes râles troublant souvent la quiétude du lieu. Heureusement que mon dernier orgasme date d'il y a peu de temps, car je lui aurait déjà offert la semence qu'elle a quémandée. Il est temps que je reprenne la main, et lui intime:

  • Prends-moi entre tes seins maintenant ! Et continues à me lecher en même temps. Plus tu salivera, plus ce sera agréable.

 Aspirant toujours mon gland, un "pop" sonore résonne sur notre bassin lorsqu'il quitte sa bouche. Se mordant la lèvre inférieure, elle se redresse sur ses genoux pour amener ses globes généreux jusqu'à mon membre tendu. L'index et le pouce de chaque main roulant ses tétons, ses mains empaument ses seins pour venir m'enserrer. Mon sexe tressaute sous le contact chaud et moelleux de sa douce poitrine. Me fixant du regard, elle commence à monter et descendre, me faisant coulisser entre ses monts. Elle m'emprisonne tellement que j'ai l'impression de la pénétrer, mais dans sa poitrine au lieu de ses orifices habituels. Le silence du lieu est troublé par mes râles de plaisir et par les clapotis que font ses fesses en entrant au contact de l'eau.

 Sa langue vient lecher mon gland turgescent à chaque fois qu'il approche de sa bouche. Elle laisse couler sa salive le long de mon membre avant qu'il se perde dans cette exquise vallée. Son regard incandescent dans le mien me donne sentimentalement autant de plaisir que celui physique de ses seins. Un nouvel orgasme grandit en moi, m'approchant toujours plus du précipice. Je me retire alors du chaud écrin de son buste et lui agrippant à nouveau les cheveux, lui enfonce mon sexe dans la bouche. Je lui laisse cette fois gérer la profondeur de sa fellation, mais lui ordonne:

  • Caresses-toi ! Je veux que tu nous fasses jouir en même temps. Si tu y arrives, tu auras mérité ta récompense. Sinon, je mettrais tout dans l'eau ...
  • Merci Maitre, je ne vous déceverai pas ! déclare-t-elle avec un grand sourire en utilisant chacune de ses mains pour nous masturber.

 Elle jete à nouveau ses lèvres pour m'engloutir et me lecher dans la chaleur de sa bouche. Ses gémissements viennent s'ajouter à mes râles de plaisir, les vibrations engendrées se repercutant sur mon gland. C'est exceptionnellement bon, mais mon point de non-retour arrive lorsqu'elle me branle plus franchement en me demandant:

  • Et où voulez-vous ... hummmmm... lâcher ... ho oui ... votre délicieuse semence?
  • Recouvre ton visage ! Je veux te marquer comme étant mienne, réponds-je plongé dans mon excitation.
  • Ouiiiii ... je suis tienne tout entière ... répond-t-elle en s'affranchissant de notre jeu de domination. Ouiiii, je sens que tu jouis !

 Et effectivement, tout mon corps se contracte à l'image de mes bourses, et mon sperme remonte ma colonne de chair. Et sans se départir de son sourire, elle ferme les yeux alors qu'un premier jet épais vient maculer le coin de son nez, sa paupiere et son front avant déchouer dans ses longs cheveux bruns. Le second atterit ensuite entièrement sur son front alors que son orgasme contenu la rattrape, sa bouche s'arrondissant dans un long gémissement sonore. Les suivants profitent de cette ouverture pour recouvrir son palais et sa lèvre supérieure, puis sa langue et son menton.

 Tout deux essoufflés, je comptemple la victime consentante de mes vices. A l'opposé de mes moeurs habituelles de respect des femmes et plus particulièrement de celle qui partage ma vie, je suis cueilli par un sentiment de plénitude venant de l'instinct primitif du mâle revendiquant sa propriété. Je resentirais probablement une gêne, voir une certaine honte, plus tard en repensant à cette première éjaculation faciale, mais savoure pour le moment ce stupre nouveau entre nous.

 Et je ne suis apparement pas le seul à me délecter de cet acte de soumission, puisque c'est dans un grand sourire, son oeil immaculé fixant l'objectif de mon téléphone, que ses lèvres se referment pour avaler la semence tapissant sa bouche. Utilisant ensuite le plat de sa langue tendue pour venir cueillir la dernière goutte perlant sur mon gland, elle engloutie cette ultime dose de mon plaisir.

  • Merci, Maitre, commence-t-elle en souriant. C'est toujours bien de prendre une entrée avant le plat de résistance !

 Elle part alors dans un franc éclat de rire en sautant en arrière, s'immergeant ainsi entièrement pour que ses mains puissent nettoyer son si beau visage. Et moi, je reste con, me demandant si elle parlait des sandwichs, ou d'un second ...non, troisième round qu'elle attendrait avec impatience !

 Finalement, telle Aphrodite sortant des eaux, c'est nue et ruisselante qu'elle quitte le milieu aquatique et se coiffe de son chapeau avant de s'assoir sur un rocher relativement plat en plein soleil. Celui ne tardera pas à la sécher complêtement, et bien que nous n'ayons jamais essayé le nudisme, je me décide à rester également dans le plus simple appareil comme il est de coutume dans l'Eden.

 Enfin, elle répond à ma question intérieure sur le ton de l'humour:

  • Garçon ? Je ne vois pas la liste des rafraichissements et repas que vous proposez !
  • Toutes mes excuses, Madame, lui réponds-je. Je vous apporte la carte tout de suite.

 Décidement, l'endroit semble stimuler son envie de jeux de rôles ! Je sors donc de l'eau et pose le téléphone dont j'ai coupé la vidéo après son plongeon à coté de notre sac à dos. Après m'être emparé d'une gourde d'eau fraiche et des sandwichs, je m'approche de ma femme dont les yeux sont fermés pour se protégrer du soleil vers lequel elle a levé le visage.

  • Désolé, Madame, nous avons été dévalisés et n'avons plus que cela à vous proposer, lui dis-je en montrant mes trouvailles.

 Tournant la tête, elle regarda tour à tour à hauteur de ses yeux, la bouteille d'eau, la gourde et finalement mon sexe déjà presque en éréction du fait de sa proximité avec mon membre nu.

  • Hummmmm, j'ai bien envie de ce succulent hot-dog, mais ce serait uniquement par plaisir et pas pour me nourrir. Et là, je meurt de faim ! dit-elle en m'arrachant un sandwich des mains et en croquant dedans à pleines dents.

***

 C'est ensuite repu que je me suis autorisé une sieste alongé nu comme un ver sur une grande pierre plate au soleil. Autant en profiter pour le bronzage intégral ! Ce sommeil réparateur a duré un temps indéfinisable, et je suis tiré de mon sommeil un bruit incongru. Il me faut quelques instants pour rejoindre le monde eveillé et chercher du regard l'endroit d'où provient celui-ci.

 Il émane visiblement de la nymphe s'étant accaparée la cascade au sommet de laquelle elle est assise. De ma couche, je peux voir son dos nus sur lequel dévale ses longs cheveux bruns, ses fesses étant camouflées par l'eau prise dans une cuvette derrière elle. Le liquide glisse ensuite sur ses hanches et, de part ses jambes écartées, doit plonger sur ses aines. Et probablement le long de ses lèvres intimes, dévalant ensuite entre ses fesses sur l'orifice caché que mon pouce a visité tout à l'heure, se contractant sous cette douce et fraiche caresse... Enfin j'imagine !

 Ce que je n'imagine pas par contre, c'est mon téléphone dans sa main posée sur sa cuisse. Une vidéo tourne sur l'écran, et bien que je ne puisse pas distinguer de quoi il s'agit à cette distance, le son en sourdine me parvenant m'indique qu'il s'agit de la video d'avant le repas. Mon coeur s'accélère lorsque je comprends qu'elle se repasse en boucle la scène , se voyant pour la première fois maculé de sperme. Que peut-elle ressentir ? A-t-elle honte ? Un certain dégout d'elle-même d'avoir été souillée ? De moi et de ce comportement bestial que j'ai eu?

 C'est donc inquiet que je me lève rapidement pour m'approcher d'elle et tenter de la consoler. Mais en fin de compte, cela ne semble pas nécessaire, puisque plus je m'approche d'elle et plus je l'entends gémir de plaisir. Les mouvements de son autre bras me laisse d'ailleurs supposer qu'elle se caresse en se regardant actrice d'une scène porno.

 Elle sait bien entendu que je la rejoins, mon empressement m'ayant rendu bruyant:

  • J'ai bien assez utilisé ma bouche aujourd'hui, alors à toi de venir me lecher ! m'intime-t-elle.

 Madame est exigeante ! Mais ça tombe bien, je suis gourmand. Je m'empresse donc de rejoindre l'aval de la cascade et constate que j'ai assez bien imaginé le parcours enchanteur de l'eau le long de son intimité. Mais celui-ci cesse alors qu'elle pose mon appareil sur le coté et immerge son dos en s'allongeant. Et alors que ses cheveux se mettent à flotter, je m'accroupi devant son sexe si tentateur.

 Ma langue vient laper une première fois sa sève en se logeant entre ses lèvres largement ouvertes. Les miennes emprisonnent ensuite son clitoris gonflé et l'aspire, lui provoquant un râle de plaisir. Le premier d'une longue série, puisque je m'emploie à utiliser tout ce que j'ai appris depuis notre rencontre pour l'approcher toujours plus de l'orgasme, sans l'autoriser à l'atteindre. Mon pouce s'humidifie dans son puits d'amour, et mon autre main repoussant ses cuisses vers sa poitrine, je l'amène vers son anus ainsi offert.

 Arrêtant mon cunningus pour ne pas que la conjonction de ces délices lui accorde la juissance tant désirée, mon doigt force cette entrée n'étant plus tabou pour nous. Forcer est d'ailleurs plutôt une license poétique, puisqu'il s'y enfonce sans efforts. Si les "Ho oui ! " qui me parvienne alors que je doigte son conduit de moins en moins étroit semble m'indiquer qu'elle prend du plaisir à cette stimulation, la cyprine coulant à flot dessus me le confirme. Et après, que le second pouce ait rejoins le premier dans de lents mais intenses va-et-vient, elle me dit d'une voix suppliante:

  • J'en peux plus, prends moi !

 Je ne me fais pas prier et me redresse avant de d'enfoncer mon sexe au plus profond du sien. Malgré un cri de plaisir, elle m'arrête aussitôt pour me dire:

  • Attends! C'est bon, mais c'est pas ça que je veux... Tes pouces m'ont donné envie de sodomie...
  • Mais on a pas de lubrifiant... répliqué-je contrit.
  • Je m'en fous, ferme-la et encule ta femme si elle te le réclame !

 OK... Visiblement, le romantisme n'est pas au programme ! Légèrement vexé qu'elle sous-entende un manque de virilité de ma part, je sors de son vagin et pose mon gland sur sa corolle, avant d'écarteler ses chairs en m'enfonçant brusquement jusqu'à la garde.

  • Haaaaaaaaaaa put...ain, tu me défonces ! s'écrie-t-elle.
  • C'est ce que tu voulais ?
  • Ho ouiiiiiii ! Baise moi le cul maintenant !

 Et c'est ce que je fait, littéralement. Ma colonne de chair coulisse vigoureusement dans son anus pendant de longues minutes. Ses soupirs aux premiers aller-retour laisse vite la place à des gémissements plus gutturaux, signe qu'elle ne maitrise plus son plaisir. Le mien monte relativement lentement pour une sodomie sans lubrification autre que celle s'écoulant de son sexe, mais mon point de non retour arrive très vite lorsqu'elle jouit dans un grand cri de libération qui provoque l'envol des derniers oiseaux de l'endroit. Je déverse alors ce qu'il me reste de semence au fond de son cul si acceuillant, avant de me coucher - m'écrouler quasiment - la tête entre ses seins, l'oreille écoutant son coeur ralentir progressivement de sa folle cavalcade.

  • Je crois que je vais rentrer en boitant moi ! me surprend-elle en riant.

 Après l'avoir embrassé le plus tendrement possible, je me redresse et me saisis de mon téléphone afin d'immortaliser la vision la plus excitante que je verrai de ma vie probablement. La femme que j'aime, nue à la surface de l'eau, les jambes encore relevées me dévoilant son fondement encore entrouvert par lequel s'écoule mon sperme, les joues rosies encadadrant un magnifique sourire.

  • Je t'aime, ma chérie, lui dis-je spontanément, ressentant cela au plus profond de moi.
  • Je t'aime, mon chéri, répond-elle sans quitter mon regard.

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