IV
C’était ainsi que la fin commençait. Nous devions nous libérer. Mon âge était avancé, et je t’avais toi, mon septième fils, sur qui je pouvais compter, sur qui un soir j’étalai mes graines de gloire pour qu’ainsi tu devint un grand homme. Tu étais les fils de mon amoureuse et tu jetta ton dévolu sur elle, mais elle refusa ton sexe. Tu vint donc vers moi et me manda son coeur, je l’en ôtai avec moultes larmes, mais te l’offrait tout de même et te regardai le foutre avec la plus forte des joie tandis qu’elle se vidait de son sang et de ses dernières gouttes de lait, que je bû empli de tristesse. dès l’instant qui suivit je commençais à dépérir du haut de 77 ans, privé de nourriture.
Ce qui devait être fait fût fait, et voilà que je tombe, l’échine courbée sous ta main puissante, mes yeux face au gouffre qui fût votre maison. Je tombe, quittant ce monde d’horreur, monde destructeur de rêve. Laisse mon corps pourrir au soleil je t’en conjure, ainsi ma chaire par le bec des corbeaux gagnera l'au delà des cieux. Ne laisse pas ma dépouille dans le noir. Laisse la dans la clarté couleur de lait.
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