Après ses poignet soigner, nous nous allongons près du feu. j'ai un petit sourire de ce moment passer avec lui, mais je garde ce bonheur au fond de moi. Avant de m'endormire je me demande comment va se passer la journée de demain et ou on va aller.

Le soleil se lève, la chaleur de ses rayon me reveille en douceur. Je regarde mes compagnons encore endormis et serain. En me levant, je remarque une petite fumer là ou la famille d'Emyl dormait et une bonne odeur de bacon me vient au narines.

• Vous voilà reveiller, j'ai preparer un petit dejeuner, desoler j'ai cuisiner que ce que j'ai trouver.

Un vrai festin se présente devant elle, de fine tranche de lards, de bacons, du pains de divers céréales et toute sortes de choses.

• On va se prendre pour des rois avec tout ça.
• C'est pour vous remercier d'avoir sauver mon fils hier et de m'exuser de vous avoir acccuser de ses blessures hier soir.

Son regard se plonge sur le sol toute honteuse.

• Ce n'est rien, merci pour le repas.

Pendant que je me regale, tout le monde commence a ce lever et nous dégustons tous ensemble le repas.

Quelques heures passent, la famille d'Emyl nous raconte leurs vies, les périplent qu'ils ont vécuent, parfois quelque regard se ternissent en se souvenant de leurs aventures.

Emyl allait beaucoup, dans la soirée d'hier soir son frère a prit le temps de le soigner et veiller sur lui.

 Pendant que j'écoute la mère d'Emyl raconter une de ses histoire je vois Kayla fouiller dans son sac.

• Qu'est ce que tu cherches ?

Elle me regarde avec yeux surprit comme un enfant qui aurait fait une bétise.

• Des vêtements... Regarde comment je suis, hier j'ai frotter mes flèches contre moi et j'ai plein de sang partout.
• Il y a un lac avec une petite casacade derrière les rochers un peu plus loin, vous pouvez aller vous nettoyer et laver vos vêtements si vous voulez. dit la mère d'Emyl en se levant rejoindre son conjoint qui sculpte un petit ourson dans un morceau de bois.

Nous nous dirigeons toute les trois vers le lac.

Alors qu'elles enlèvent leurs habits, font leurs linges, et glisse dans l'eau comme si c'etait un soulagement. moi je reste dans un renfoncement a coter de la cascade. J'ai peur de me montrer. j'enleve mes habits et redecouvre mon corps remplit de bandages, seule mes mains et ma tête n'en sont pas recouvert. Ils sont imbibé de poussières et de sang. Je ne me souviens meme plus quand je les ai changer.

Mes soeurs comence a se demander ou je suis et m'appelle.

• J'arrive !

Je me decide. Pour une fois je remontre mon ressentie, je n'ose même pas les regarder. elles ne prenoncent pas un mot, petit a petit je sens l'eau sur mon corps, j'ai l'impression qu'elle englouti tout mon être. Je me rend compte que je laisse une trainée rouge et noir sur mon chemin.

• Je suis desoler que vous aillez a voir ça de moi. J'ai honte et j'ai peur de leurs reactions, mon regard reste fixer sur l'eau qui devient impure.

Aucun mots ne sort de leurs bouches, je sens leurs bras m'entourer, la chaleur de leurs corps me rassure tellement. Mais je suis tout de même perturbé par leurs gestes.

• On t'accepte comme tu es petite soeur. Les mots de Kayla resonne dans ma tête, << petite soeur>>. une partie de moi que j'avais oublier me dit de pleurer et de les enlacer aussi fort que je les aime. Mais je n'y arrive pas, seul un sourire sincère ce dessine sur mon visage. J'aimerai tellement que le reste de ma vie soit comme ça.
• Je dois nettoyer mes bandages, et vous prenez soin de vous, profiter de ce lieu pendant que nous sommes tranquille. Je plonge la tête sous l'eau, je sens déja les bandages se dilatés et le sang se noyer dans l'eau du lac. Mon corps est enfaite si leger, je n'ai plus rien qui m'empeche de faire les mouvements que je veux.

Je vois Michael au loins se reposer sur les rochers. Je ne sais pas si leurs faire confiance a lui et son frère est une bonne idée, il faut que j'en sache plus sur eux, que ce soit leurs forces et leurs faiblesses, que je connaisse leurs vies.

La tête sous l'eau ne je me rend plus compte du temps autout de moi, lorsque je remonte à la surface je tombe nez a nez face a Michael accroupi qui me regarde avec un petit sourire.

• Je t'ai fais peur ? Dit-il en s'asseyant au bord de l'eau.
• Non, mais tu m'as interompu dans ma reverie. Mon ton est si froid. Comment je pourrais montrer mon humanité avec ce que j'ai sur le corps.

Son regard s'assombrit, il commence de devenir gener, peur peut être qu'il me derange.

• Tu veux de nouveau bandages ? ceux qui sont sur toi on l'air d'avoir vécu... D'une voix timide il me regarde tout entière en designant de son regard l'enveloppe qui entour mon corps.
• Merci mais je n'en ai pas d'autre, et puis il font parti de moi depuis que je les ai. J'ignore encore depuis combien de temps je les ai mais quelque chose me dis que je dois les garder, ça me rappelle aussi certain souvenir que j'ai perdu.
• << tu ignore encore >>, tu as perdu la mémoire ? Dans sa voix je ressens de l'inquietude, il veut me tendre la mains mais il hésite de peur que j'ignore sa compassion.

J'acquièce d'un mouvement de tête puis sort de l'eau. Son regard de détourne de moi rouge de gène, mais je n'en prend pas consciente.

• lavez vous aussi, dès que vous serez prêt nous partirons. La voix a nouveau glacial, je me dirige derrière la cascade pour m'habiller, comme si j'étais un robot et n'ayant aucun sentiment.