sans titre

3 minutes de lecture

Dans les chants épiques

Athéna au regard perçant

un fortissimo catharthique

et de grand rêve

éclose comme une Epiphyllum

Je pisse dans un buisson

ja lève les yeux sur les cieux

et un milliard d’étoiles…

Les êtres solitaires sont

soit des Dieux, soit des bêtes

J’ai dans un songe, la vision

de l’inintelligible transcendance

et noyé dans l’existence

la gorge sèche, j’ai soif de vérité

d’amour

et parfois au coin d’une rue

je vois une longue allée

qui s’étire entre la lumière et l’ombre du matin

Dans mas chambre, seule

l’orage gronde, dehors

au-dela de ma fenêtre , ouverte

la ville sous la pluie, évoque

le désespoir et la renaissance

la lumière est grise, dans ma chambre

La dolce vita

une rêve bourgeois

le matin , d’un jour de juin

de gros nuages

traverse le ciel

a la vitesse

de 2cm/minute

Oh Dame à l’olivier, puisse tu me guider

je t’offrirai sinon de l’or, le rameau d’un chêne trouvé

Pour avoir défié dieu Socrate bus la cigüe et son corps devint poussière et étoile

le martyr sous un grand ciel bleu sacrifie son corps

la terre est poisseuse du sang coulé et il ne reste que des cendres

j’en fais un grand château blanc mais

dans les couloirs toujours des ombres rôde

des ombres de sang et de peine.

dans les villes

où le gris de la mort rôde

l’espoir futile

a le forme des signes lumineux

qui éclaire la nuit

et cache les étoiles.

je me promène

l’eau coules sous les ponts

le ciel est d’azur

et le soleil chauffe mon visage

l’onde de mes pas

s’étire dans l’infini

une page déchiré

dans un carnet

des mots caché

peut être, jamais retrouvé

ont il étais

écrit a la table d’un café

ou dans le lit d’un être aimé ?

A fiery red

I sing to the sun

the blue steps of a dwarf

show themselves in the snow

les enculés

psychologiquement coincés

qui tienne leurs chiens

sur une laisse courte

un café allongé

un jour d’octobre

la pluie est douce

la folie petit à petit

tombe comme la neige duveteuse

dans mon corps et mon âme

j’attend impatiemment de laisser la bête libre

dansez toute la nuit

un rêve sucré, avec un café allongé.

Avec un rayon de soleil

je sombre dans un dédalle de pierre

est-je trahis mon coeur.

m’abonnant au chose admise

la voie désirée et noir

remplis de vin et de mort

puis-je t’être fidèle

Oh muse, mon coeur ne bat que pour toi

mais mon pas vacille

et la chemin de la sanité me paraît bien propre et fade

et le chaos semble si doux et le feu chaleureux.

La pluie descend

les âmes impures se cache

et je marche car

le ciel gris et si beau

Les flics

des vautours bien pensant

qui erre dans les rues

de leur yeux inquisiteurs

il scrute, juge et execute

les ames damnés

criante de liberté et de justice.

at the bewitching hour , there is

the beauty of th full moon

that shines onto the dark

and deserted streets

I hope to be killed riding a bicycle

high on drugs

and love

the sound of sadness is beautiful

because of the

true emptiness it leaves behind

I will live, live

through out this world

even thought the times

are hard

tomorrow the sun will shine

I wanna get blasted

dance, dance, dance

live as you are young

dispell the darkness

with the gentle caress of love

the cold wind will become

the ship to tomorrow

Black coffee and death

in the late morning

with a shining sun

and some tired thoughts

la nuit, l'hiver

les arbres sans leur plumage

évoque

d'ancien monstre

le son de la pluie sur la foret

mes fais penser, me faais rever

au bulles, au bulles d'une

bière bien brassée

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