Regard porté sur le bleu de l'eau, Contemplant les vagues, la mer est d'un calme apaisant.

Imprégnons-nous du doux bruit des vagues ce fracassant sur le sable.

Une douce journée, un peu de répit dans le tumulte ambiant.

Une légère brise rend l'air respirable.

Vogue, par ci par là, quelques bateau,

Circule sur les quais, de nombreux badauds.

Au gré du vent, vols quelques embruns.

Et toujours cette plage de sable bruns.

Un vent de liberté souffle sur ta falaise.

Celui de respirer à plein poumon.

Et l'immensité à perte de vue, entre deux monts.

On ne peut qu'être en accord, totalement à l'aise.

Déjà ton sable se recouvre quand vient la marée.

Laissant seul les galets entassés.

Invariablement, le temps est ainsi, navré.

Les vagues en rouleau frappent les galets, ils sont comme enlacés.

Flots tumultueux, emmenez-moi désormais ;

Loin d'ici, dans vos rouleaux, dans ce lieu paisible, qui en mon être résonnerait.

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